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Critique de Bellisa55
Ouvrez l'oeil ! Elles sont partout et beaucoup plus nombreuses que vous ne le pensez !
Qui ? Les sorcières bien sûr !
Ces créatures diaboliques vouent une haine farouche aux enfants et ne reculent devant aucun stratagème pour les approcher. Maîtrisant l'art de la dissimulation, elles prennent l'apparence de femmes ordinaires au-dessus de tout soupçon et il apparaît peu aisé, dans ces circonstances, de les identifier.
La grand-mère norvégienne du personnage principal de ce récit, un jeune orphelin de huit ans, nous révèle, cependant, quelques astuces permettant de les reconnaître. Sachez, par exemple, que ces êtres maléfiques ont un crâne aussi lisse qu'un oeuf qu'elles sont contraintes de dissimuler sous des perruques qui irritent fortement leur cuir chevelu, provoquant de terribles démangeaisons. Apprenez également que les gants et les chaussures pointues sont pour elles des accessoires indispensables mais je vous laisse en découvrir les raisons par vous-mêmes...
Roald Dahl nous livre un début de roman dynamique où il dresse un portrait assez drôle et original de celles que nous appelons les sorcières. Par la suite, le rythme s'essouffle quelque peu (la vieille dame et l'enfant s'efforcent de déjouer les plans machiavéliques des épouvantables créatures) mais l'ensemble reste relativement sympathique grâce notamment à l'omniprésence de l'humour, humour rendu d'autant plus appréciable par les coups de crayon de Quentin Blake et humour qui permet, par ailleurs, d'aborder avec délicatesse et légèreté un thème extrêmement sensible tel que celui de la mort.
Qui ? Les sorcières bien sûr !
Ces créatures diaboliques vouent une haine farouche aux enfants et ne reculent devant aucun stratagème pour les approcher. Maîtrisant l'art de la dissimulation, elles prennent l'apparence de femmes ordinaires au-dessus de tout soupçon et il apparaît peu aisé, dans ces circonstances, de les identifier.
La grand-mère norvégienne du personnage principal de ce récit, un jeune orphelin de huit ans, nous révèle, cependant, quelques astuces permettant de les reconnaître. Sachez, par exemple, que ces êtres maléfiques ont un crâne aussi lisse qu'un oeuf qu'elles sont contraintes de dissimuler sous des perruques qui irritent fortement leur cuir chevelu, provoquant de terribles démangeaisons. Apprenez également que les gants et les chaussures pointues sont pour elles des accessoires indispensables mais je vous laisse en découvrir les raisons par vous-mêmes...
Roald Dahl nous livre un début de roman dynamique où il dresse un portrait assez drôle et original de celles que nous appelons les sorcières. Par la suite, le rythme s'essouffle quelque peu (la vieille dame et l'enfant s'efforcent de déjouer les plans machiavéliques des épouvantables créatures) mais l'ensemble reste relativement sympathique grâce notamment à l'omniprésence de l'humour, humour rendu d'autant plus appréciable par les coups de crayon de Quentin Blake et humour qui permet, par ailleurs, d'aborder avec délicatesse et légèreté un thème extrêmement sensible tel que celui de la mort.
