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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce numéro supplémentaire des aventures de San Antonio. Notre ami se voit confier une mission risquée : il devra s'incruster parmi les malfrats et leur faire croire qu'il est des leurs.

Evidemment tout ne se passera pas comme prévu et le taf se révélera des plus compliqués. Heureusement il fera une rencontre très agréable (si vous voyez ce que je veux dire et si vous connaissez bien notre lascar !).

Une petite allusion à Berurier (un petit texte que je n'ai pas trop compris pour le coup), il arrive tout doucement le bonhomme !

Sans spoiler vous vous doutez que, finalement, tout est bien qui finit bien.

Une très bonne aventure. J'attends avec hâte mon prochain rendez-vous avec Antoine !
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Le Boss l'avait prévenu, San-A. : « Puisque vous aimez jouer aux durs… » et lui, vous le connaissez, quand on lui dit ça…

On verra donc San-A débarquer dans le troquet de Fifi-les-belles-noix avec l'unique intention de provoquer Paul-le-pourri, déclencher une bagarre et se faire embarquer avec lui dans le seul but de l'aider à s'évader et entrer dans son équipe de malfrats afin de remonter une filière de kidnappeurs de sommités scientifiques dans le domaine du nucléaire… Ouf !

« Messieurs les homme », quinzième volume de la série, un San-Antonio de belle facture : une intrigue élégante et bien ficelée qui se termine par une surprise bien amenée dans les dernières pages.
Pas de Bérurier. Tout juste le voit-on écouter à la porte du Vieux quand San-Antonio est au rapport.
Quelques calembours, utilisation accrue de l'argot … mais pas de digressions surréalistes, peu d'ajouts dans le Kama-Sutra personnel du commissaire… Non, simplement une intrigue bien menée ; du classique…
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Un dur chez les durs

Un San-Antonio de 1955 c'est une valeur sûre, le genre de bouquin qu'on lit sans en avoir l'air, et qui déride aussi sec le zygomatique ! Dans celui-ci, point de Bérurier ni de Pinaud, les fidèles acolytes, mais nous retrouvons notre commissaire préféré infiltré dans une bande de truands qui, nous l'apprendrons sur le tard, menace grandement la sécurité nationale.
San-Antonio alias Bernard Tonaci pour les besoins de la cause, est chargé de prendre « contact » avec Paul-le –Pourri (le bien nommé) et de se faire présenter à son boss, histoire de mettre un pied dans la bande… et, accessoirement, dans la fourmilière !
San-A m'a fait passer un excellent moment ! Langage truculent et argot parigot, rebondissements, situations tendues (notamment au niveau du slip !), bastos à gogo : tout est là !
Classique et vintage (et merci Papa pour m'avoir fait découvrir ces bouquins il y a bien longtemps !).
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Ce livre contient tellement de pépites de langage argotique (essentiellement dans la première partie) que c'est juste jouissif. Vrai plaisir de lecture.
L'intrigue se tient, pas énorme mais se tient.
Pas de Béru dans ce S.-A. Si ce n'est deux petites allusions.
Ce qui n'empêche pas cet opus d'être un bon opus
Frédéric Dard était un killer.
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Ahhhh

San-Antonio ! Je poursuis ma découverte avec cet opus qui démarre sur les chapeaux de roues !
On suis San-A, se faisant passer pour un truand afin de prendre attache auprès de Paul pour démanteler un trafic.

Sincèrement, j'aime beaucoup San-Antonio pour sa plume, mais aussi pour l'histoire. Elles sont vraiment bien, enquêtes policières racontée en mode second degré, c'est vraiment bien !
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Bon, ce qui me manque un peu, ce sont les copains de SAN-A, mais en contre partie j'aime bien les allusions temporelles qui me permettent de revivre ma (folle) jeunesse.
D'autant que ce fut pour Frédéric Dard une année 1955 très prolifique.555555555555555
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Quand je sors d'une lecture décevante, pour me requinquer, ces derniers temps, je me plonge dans une valeur sûre : « San-Antonio ».

Enfin, devrais-je dire : les débuts de San-Antonio. Oui, allez savoir pourquoi, contrairement à la plupart des aficionados de Frédéric Dard, je préfère les débuts de San-Antonio à sa « grande période » plébiscitée par la presse et les lecteurs.

Du coup, puisque ma précédente lecture n'était pas un moment de plaisir littéraire, je me plongeais à nouveau dans l'univers Sanantonien.

Pour ce faire, je dévorais la 16ème aventure du commissaire.

Messieurs les hommes : Savez-vous que la pègre vient de s'enrichir d'une nouvelle recrue ? Et pas une demi-portion, croyez-moi ! du vrai casseur... du qui file la rouste aux caïds de Pigalle... du qui se permet de descendre un flic en plein commissariat. Son nom ? Pour Messieurs les hommes, il s'appelle Bernard Tonacci... Ça ne vous dit rien ? Alors, je vais vous en balancer davantage : à la P.J., ce zigoto est plus connu sous le nom de commissaire San Antonio. Pas de panique... Rassurez-vous, je n'ai pas changé de bord... Mais il faut admettre que tout pourrait le laisser croire au début de ce chef-d'oeuvre.

Et on retrouve avec un grand plaisir notre commissaire San-Antonio qui, pour mener à bien une enquête sur l'enlèvement de spécialistes en nucléaire, décide de se rapprocher du « pourri », un truand souffrant d'eczéma. Pour ce faire, il se fait passer pour un caïd débarqué à la capitale et s'en va se foutre sur la gueule avec le pourri dans un troquet afin de se faire alpaguer avec celui-ci par la Rousse. le plan, une évasion sanglante pour faire croire que c'est un dur à cuire et se faire ami-ami avec l'affreux afin de s'approcher d'un gang de kidnappeurs de scientifiques.

San-Antonio va même participer à l'enlèvement de l'un d'eux et, très vite, les choses tourneront vinaigre, mais c'est toujours le cas avec le commissaire.

Dans ce titre, San-Antonio joue les méchants et se retrouve mêlé à l'histoire qui va très vite partir en sucette. Pour le coup, difficile, pour le commissaire, de faire son boulot et de rester crédible. Pourtant, il s'y attachera du mieux possible, mais cela suffira-t-il ?

Le lecteur n'assistera pas à la meilleure intrigue de la série, bien que la fin puisse surprendre, mais, le tout est agréable à lire et c'est une quasi-certitude que l'on peut avoir avec le commissaire, c'est que même ses moins bonnes aventures sont meilleures que bien des romans policiers.

Au final, c'est toujours un plaisir de retrouver le commissaire San-Antonio et ce n'est pas ce titre qui vous fera penser le contraire. du classique, donc, loin de l'excellence de certains titres de la série, mais dans l'ambiance agréable de la première décennie de l'oeuvre de Frédéric Dard.
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Une aventure de San-Antonio sans fioriture ni personnages secondaires récurrents, animée par des figurants borgnes ou eczémateux, dignes de la cour des miracles, et ponctuée de scènes de torture et de morts violentes. L'auteur va à l'essentiel, construit une intrigue efficace et accrocheuse, très noire, dans la langue argotique et imagée dont il a le secret.
L'article complet sur Touchez mon blog, Monseigneur...
Lien : https://touchezmonblog.blogs..
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1955, un seizième tome bourré d'argot, normal, San Antonio doit infiltrer une bande truand. Une virée dans la campagne du Havre qui ne tourne pas comme prévu. Il se lit vite mais ce n'est pas le meilleur.
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16ème San-Antonio, paru en 1955 dans lequel le commissaire est confronté au monde de la vraie pègre de l'époque qu'il va même infiltrer. Un vrai bon San-A
qui tient son lecteur en haleine sur une bonne intrigue policière comme il les construisait à ses débuts.
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