Citations sur Il y a quelqu'un dans la maison... (40)
-- Si on veut nous l'indiquer, je peux vous assurer qu'on trouvera le moyen.
-- Qui, "on" ?
Je souris : Eva ne pouvait pas savoir...
-- Ceux que j'appelle ma hiérarchie, mes guides, si vous préférez. Vous comprenez ?
J'ai appris que nous avions le choix de nos actes dans un plan de vie que nous avions dessiné avant de nous incarner sur cette Terre. Ce plan nous offre des possibilités mais a tout de même déterminé quelques événements incontournables destinés à notre évolution.
-- Désolée, mais Miss Wisigothe, comme tu dis, m'intrigue. Je pense qu'elle a vu quelque chose, et que le fait que quelqu'un l'écoute et la croie lui ferait le plus grand bien.
-- Oh non ! Pitié ! Je ne suis pas venue passer un week-end avec Mère Teresa !
On ne peut pas mentir à l’âme, et celle-ci nous rattrape bien souvent, en nous imposant, soit par les maux de l’esprit soit par ceux du corps, de faire la lumière en nous-mêmes.
-- Tu la crois, toi ? me demanda mon amie. Elle me paraît gentille mais très âgée. Tu ne penses pas que, chez elle, la sénilité pourrait se substituer à la médiumnité ?
Dans notre société, en effet, on parle peu de la mort, on la craint comme un néant absolu. Même ceux qui croient en Dieu la redoutent, c’est un comble ! Pour ma part, à la lumière de mes expériences, j’ai juste la conviction que notre vie est éternelle. Quelle que soit la forme qu’elle prend après le trépas, la conscience d’un homme ne meurt pas. Bien des sociétés orientales ont totalement admis ce postulat mais notre société occidentale la réfute le plus souvent.
Quand on récite ainsi une prière dans un but déterminé, il faut plus s'attacher à la fréquence sur laquelle vibrent les mots qu'à leur signification, même si celle-ci est importante. La vibration des mots accentue leur sens et leur portée. Et c'est la fréquence émise par les mots qui va toucher le sujet avec lequel nous voulons communiquer.
Ce n'est pas la première fois que je vois des instruments technologiques, tels qu'un téléphone, être utilisés d'une manière inexplicable par des forces qui le sont tout autant. Et ce n'est pas moi qui ai découvert ce phénomène, mais le Suédois Friedrich Jürgenson, un peintre et cinéaste qui , en juin 1959, alors qu'il réécoutait un enregistrement de chants d'oiseaux, crut entendre une voix parlant en norvégien.
Il pensa d'abord à une interférence radiophonique, puis il se rendit compte qu'il n'y avait pas d'émetteur là où l'enregistrement avait été réalisé.
Il fit d'autres enregistrements et capta d'autres voix, dont celle de sa mère défunte. Il décida alors de transcrire ces messages, venant de parents ou amis décédés, et il les rassembla dans un ouvrage publié en 1964, Voices from Space.
Ainsi naquit ce qu'on allait appeler la transcommunication instrumentale, qui consiste à capter des voix venues d'ailleurs sur bande magnétique, ordinateur et même, plus tard, des images sur écran télé.
Comme je l'explique souvent, les matérialisations se développent mieux dans des lieux où filtre peu de lumière, où l'atmosphère est glaciale ; d'ailleurs tous ceux qui témoignent d'apparitions fantomatiques racontent l'abaissement de la température, et parlent d'un taux d'humidité très élevé (l'eau est conductrice d'électricité, or les matérialisations sont des manifestations électromagnétiques).
Et parmi tous ceux qui pensent assister à des phénomènes paranormaux, beaucoup le souhaitent seulement et inventent le reste.