Chaque mot est une force, chaque pensée négative est un poison. Commencez donc par vous contrôler dans vos automatismes à dire, relayer ou faire le mal [...].
Si nous [les défunts] sommes éternellement reliés à ceux que l'on aime par l'amour, il ne nous est pas possible de communiquer par messages trop souvent avec eux lorsqu'ils sont sur Terre. Cela ne peut se faire qu'exceptionnellement et pour un temps donné.
A partir du moment où vous prenez conscience que la création ne permet pas de sacrifier une vie [quelle qu'elle soit] et que vous continuez à le faire, alors, vous aurez des comptes à rendre. C'est ainsi [...]. Lorsque vous savez, vous ne pouvez plus faire semblant de ne pas savoir.
La fille de résistant que je suis, élevée dans le respect de la liberté et le dégoût des tyrannies, ne dit plus rien et sentit son cœur mettre un terme à la conversation, comme si tout cela était plus qu’elle ne pouvait en supporter. Le petit vieux s’effaça progressivement de ma vue pour disparaître totalement, comme chassé par ma volonté.
Vos défunts sont là où ils doivent être [...]. Ne cherchez pas à communiquer pour savoir où ils sont, car vous les engluez au lieu de les propulser.
Sur notre route se dressent pièges et tentations, si nous les discernons, nous parvenons à accomplir notre mission tant bien que mal, si nous ne travaillons pas notre discernement, nous tombons dans les filets de nos faiblesses.
Les réactions trop vives sont souvent engendrées par le fait que ce qui nous indispose chez l'autre fait souvent partie de nous. Nous voudrions repousser certains de nos instincts qui sont en sommeil et nous terrorisent. Les reconnaître chez l'autre nous ramène à notre propre imperfection.