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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Bitch Planet, c'est en quelque sorte un heureux mélange entre Handmaid's Tale et Orange Is The New Black. Dans un certain futur, les femmes qui ne réussissent pas à incarner à la perfection l'idée patriarcale de la Femme sont déportées sur un astre carcéral communément appelé la Bitch Planet.

L'histoire du comic, c'est celle du fonctionnement du pénitencier, des femmes cis et trans qui l'habitent, et des révoltes qui y grondent. On n'entend parler de la Terre que de loin. Une espèce de contre-révolution masculiniste et mysogyne semblent s'y être déroulé. La BD est d'ailleurs magnifique et s'amuse avec les codes esthétiques des vieux comics vintages, et ceux des films d'exploitations. ?
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Un monde, pas si éloigné du nôtre. Disons que dans cette société, le patriarcat est décomplexé, officiel, les points communs avec notre réalité sont différents car ils sont vraiment décomplexés, connus et revendiqués.

Dans la réalité une femme en surpoids, à compétence égales, aura 8 fois moins de chances d'être embauchée. Dans ce monde elle risquera d'être envoyée dans une prison sur une autre planète. Statistiquement, dans notre réalité, « les Afro-Américaines ont trois fois plus de risques d'être condamnée à des peines de prison que les Blanches. »
Des corps très différents les uns des autres : des gros, des maigres, des jeunes, des vieux, des blancs, des noirs, les chaires ne sont érotisées, ce sont juste des corps de femmes, normaux, banals, réels.
Cette BD, aux allures de comics, est résolument féministe et envoie un message de lutte contre le patriarcat : dans cette société, les femmes sont des objets qui doivent être obéissants, avoir un certain type de corps, de comportement, dans le but de plaire aux hommes (et à la société mais c'est pareil en fait). Et nous partageons l'expérience des NC, les Non-Conformes, envoyées en prison sur une autre planète, pour avoir été différentes. Cet exil planétaire m'évoque les mises à distances, marginalisation sociales, qui, elles, sont bien réelles. Non-Conformes à un idéal impossible à atteindre, Non-Conforme à un fantasme qui n'existe que sous forme de programme, non sans rappeler les injonctions à la beauté, fixées par des images photoshopées...
Motifs d'enfermement : 1 : Séduction et tromperie, manipulation émotionnelle, agression ; 2 : déshonneur patrilinéaire, meurtre ; 3 : naissance illégale, erreur génétique, incarcérées sur demande de la famille ; 4 : trisomie 21 ; 5 : irrespect ; 6 : mauvaise mère...

Un sport au poids : pas un nombre d'équipiers, mais un poids total, des humains déshumanisés, de la chair à utiliser, des objets mouvants par la volonté d'une société patriarcale.

Les fausses pubs (une page à chaque fin d'album, il y a 5 albums regroupés dans ce tome) sont très intéressantes : « tu ne seras jamais assez bien », au point de croix sur fond rose ; la rubrique « échec relationnel » : «Au niveau mondial, 35% des femmes ont subi soit des violences de la part de leur partenaire intime, soit des violences sexuelles de la part d'une autre personne au cours de leur vie », les fausses pubs avec des injonctions bien réelles (« maigris ») se mêlent aux informations, etc.

La partie BD se termine de manière abrupte et j'ai eu du mal à croire que c'était fini... J'attends la suite.
Après la partie BD il y a des interviews, des textes, des témoignages et des affiches (ou couvertures). Ces documents sont également très intéressants. Une partie parle de femmes NC réelles comme Olympe de Gouges, celle qui a écrit la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, humaniste, décapitée ; Simone de Beauvoir ; Camille Claudel, sculptrice, internée et morte de malnutrition, une reine africaine, Anna Nzinga (je crois qu'il y a une BD sur elle dans Les Culottées : http://lesculottees.blog.lemonde.fr, au passage je conseille vivement ce blog (une BD par semaine) qui présente en BD des femmes inspirantes, qui ont marqué l'histoire, ou comme l'auteur le dit : « Chaque lundi, une femme qui ne fait que ce qu'elle veut. ») etc.

Je comprends que de nombreuses femmes (et quelques hommes) se soient fait tatouer le logo « NC », pour Non-Conforme, en fait il s'agit d'un cri de libération et de s'autoriser à être soi-même, juste soi et pas ce qu'on attend de nous (ou ce qu'on pense qu'on attend de nous).
C'est un excellent comics féministe et d'une grande puissance.
Lien : http://lesculottees.blog.lem..
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Franchement, j'ai adoré. Bitch Planet se déroule dans un monde dystrophique ou les femmes non conformes (noire, non blanche, troubles mentaux, non féminine.. ) sont envoyées dans une prison sur la Lune pour leur crime. A noter que délinquantes, criminelle et simples femmes ne correspondants pas aux standards des pères sont mélangées.

Je vais pas en dire plus, le scénario semble être bien ficelé et Penny est mon personnage favori. L'action se déroule surtout en prison mais on a aussi d'autres point de vue extérieure et notamment ce qui se passe sur Terre

Il y a la fin tout un dossier sur les auteurs, le féminisme intersectionnel, c'est super intéressant.
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Ce comics me faisait de l'oeil depuis fort longtemps et le moins que je puisse dire, c'est que je n'ai pas été déçue. Univers, personnages, tonalité, tout est une réussite.
Côté perso, je pourrais vous parler de Kam Kogo, sportive et secrète, de la génialissime Penny Rolle, si extravertie, si forte et ayant l'audace outrageuse d'aimer son corps en surpoids, de Meiko Maki, petit gabarit et grande intelligence, mais je préfère ne pas trop m'étendre et vous laisser le plaisir de la rencontre. Cependant, si vous voulez du courage, de la diversité, des femmes déterminées, vous avez toqué à la bonne porte. Et impossible de ne pas s'attacher à elles, sans parler que l'on est forcément de leur côté.

La critique est féroce et les échos au sexisme, au racisme, à la grossophobie et à la transphobie de nos sociétés sont nombreux. C'est un comics qui parlera à la plupart d'entre nous tant le pas hors de la conformité peut être minime. Trop mince, trop grosse, trop frisée ou trop blonde, trop extravertie ou pas assez souriante, tout peut être prétexte à être montrée du doigt et détaillée du regard.
Je ne vous dévoile rien de l'intrigue, autant avoir la surprise, mais je peux vous dire qu'il est impossible de décrocher face aux nombreuses péripéties. le rythme est bien dosé entre action, réflexion et flash-backs sur le passé de nos héroïnes.

Autre détail jubilatoire : des pages publicitaires humoristiques remplies de produits destinés à aider les femmes à être jolie ou de conseils pour tenir efficacement leur maison sans jamais oublier de se dévaloriser. Un côté vintage qui rappelle d'anciens magazines féminins, mais un ton ironique qui rappelle que les injonctions d'être belle et jeune et performante restent d'actualité. de quoi rire, quoiqu'un peu jaune parfois.

Un mot sur les illustrations. Elles ne sont pas particulièrement ma tasse de thé, notamment au niveau de la colorisation parfois trop franche, trop nette. de même pour les visages qui ne m'ont pas toujours séduite (même si certaines expressions ont parfois fait mouche). Néanmoins, c'est un aspect auquel je me suis habituée, qui ne m'a pas ralentie dans ma lecture et qui ne vous freinera pas plus que moi, je l'espère.

Pour son monde futuriste qui fait furieusement écho au nôtre, pour son ironie mordante, pour sa dénonciation d'injustices flagrantes, je vous conseille donc vigoureusement ces deux tomes énergiques et critiques (même si ma chronique est particulièrement foutraque…).

Je dois tout de même soulever une question : aurons-nous la suite ? Parce que les deux premiers volumes sont sortis à deux ans d'intervalle, sauf que le second date de 2017… Et je dois admettre qu'en rester là va être assez frustrant.
Lien : https://oursebibliophile.wor..
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Une petite découverte Comic Outcast

Vous le savez, j'adore écouter les podcasts sur les comics, et lors d'une des émissions, on a eu l'éloge de Bitch Planet, un comic bien féministe, aux graphismes intéressants, toussa toussa. Et il devait sortir en français, même que c'était en version numérique. Beaucoup de choses pour me plaire en fin de compte. Et je me suis rendue compte que pendant mes vacances, les Lundi Comics ont perdu de leur fréquence donc, j'ai décidé de vous faire des séances de rattrapage parfois le vendredi.

Et oui. Donc Bitch Planet, pour changer un peu des Marvel et des DC, surtout que ma fille s'est abonnée à une nouvelle série (les All-New, donc vous allez bouffer du Marvel et du DC, donc une pause dans un tout autre univers cela va vous faire du bien. Et oui.

Ainsi, on a une dessinatrice et une scénariste. On a un milieu féminin, qui prône un idéal féminin. Vous avez des propos féministes à souhaits qui mettent en exergue tout ce qu'on nous oblige en tant que femme à faire pour plaire aux hommes. Et puis il y a les femmes atypiques, celles qui ne se conforment pas aux codes. Et c'est un régal.


Le mélange entre Vintage et modernité est vraiment intéressante..

C'est même charmant. Et nous avons donc des personnages féminins très forts (bah tien) qui ont décidé de ne pas se conformer aux codes de la société. Elles se retrouvent sur une planète prison : Bitch Planet et elles se retrouvent à subir en fin de compte une espèce de rédemption pour réintégrer la société. Entre ces différents épisodes où on tente de dresser toutes ces nanas adorables, on a des publicités styles années 50 qui montrent comment devenir une femme parfaite (et j'ai adoré). Et il y a aussi quelques présentations de textes sur le féminisme.

Donc mes nanas d'amour qui veulent lire du comic en étant fière de leurs ovaires. Allez y, franchement. Pour les mecs qui n'ont pas peur de revendiquer aussi leurs testicules en pur respect de nos ovaires, vous apprécierez ces personnages féminins forts qui sont de plus en plus à la mode et c'est tant mieux.
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Toutes les femmes dont le physique et/ou le comportement brûle les pauvres yeux fragiles des hommes sont envoyées sur une autre planète pour un redressement.
Ce comics a une histoire et des héroïnes vraiment super. C'est une ode à l'acceptation de soi qui dénonce la dictature d'un type de beauté et pousse à l'extrême les conséquences d'une soumission aveugle.
J'ai adoré cet univers et j'ai hâte de pouvoir lire le tome deux.
Si je n'ai pas fait de cette lecture un coup de coeur c'est que y a rien a faire j'accroche pas aux dessins. Mais l'histoire est tellement immersive qu'on oublie vite le style graphique très particulier.
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Bitch Planet est un comics à la fois dystopique et féministes. Aux commandes, Kelly Sue DeConnick en charge du scénario, et Valentine de Landro qui s'occupe des dessins.
Dans cet univers, le patriarcat est exacerbé, et les femmes n'entrant pas dans la norme sont envoyés en prison. La norme est cet hologramme, une femme blanche, plantureuse, obéissante – si elle n'existe pas réellement, c'est tout de même ce qui est attendu des vraies femmes. Or, celles que nous allons suivre sortent de cette norme : trop grosses, trop violentes, trop noires, homosexuelles, pouvant ne pas être tout le temps douces… Alors elles sont envoyées dans une prison – ou plutôt un « Etablissement auxiliaire de conformité » -, dans l'espace, surnommée Bitch Planet : la Planète des salopes. le but est de faire entrer ces femmes dans le moule de la pensée, et dans le moule du physique.
Dès les premières pages, nous suivons quelques-unes de ces nouvelles prisonnières, fraîchement débarquées. D'emblée, deux d'entre elles se détachent du lot : la mystérieuse Kamau, ancienne sportive, et Penny, dont le crime est de s'assumer et de s'aimer telle qu'elle est : grosse. J'ai adoré ce personnage, que j'ai trouvé à la fois fort et touchant. J'en voudrais plus, des héroïnes comme elle !
En parallèle, nous faisons connaissance avec le directeur de la prison et d'autres hommes dont j'ai oublié la fonction – il faut dire que cela fait un mois que j'ai lu Bitch Planet. Ce que je retiens d'eux, c'est qu'ils veulent faire entrer nos héroïnes dans la norme (en utilisant ce qui est pour moi de la torture, qu'elle soit physique ou psychologique), ou, à défaut, s'en servir pour en tirer des bénéfices. En effet, l'un d'entre eux gère des matchs de Mégaton, un sport de balle aussi violent que Rollerball (Rollerball, film de Norman Jewison, 1975).
J'admets qu'au début, c'est un peu perturbant de passer des prisonnières aux hommes, d'une stratégie à une autre ; d'autant plus que nous connaissons alors peu les protagonistes, et que cela casse alors occasionnellement le rythme. Mais le récit s'avère très prenant, et a sa dose de rebondissements – sans compter sur les héroïnes de ce comics qui sont toutes très différentes les unes des autres : impossible de ne pas se retrouver dans l'une d'entre elles ! Surtout, le féminisme et l'anti-conformisme qui se dégagent de ce livre sont superbes à lire et à regarder.
Pour ce qui est des dessins, ils ont ce côté rétro que j'apprécie, et mettent en avant les corps et les actions des héroïnes, sans les sexualiser. le vintage est poussé à son paroxysme avec les pages de journaux glissées entre chacun des chapitres : ce sont des condensés de publicités pour objets inutiles, d'annonces, de déclarations… dignes des 70's, et non dénuées d'humour ! Cela n'est pas sans rappeler les films grindhouse, avec en exemples récents Machete de Robert Rodriguez et Ethan Maniquis (2010) et Boulevard de la mort de Quentin Tarantino (2007).
(...)
Il ne vous reste plus qu'une seule chose à faire : vous ruer sur Bitch Planet !
Lien : https://malecturotheque.word..
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Vous avez certainement déjà entendu parler de ce fabuleux comics, tout d'abord parce qu'il est sorti il y a plus de deux mois, mais aussi parce que des blogueurs fantastiques en ont déjà parlé, notamment Comics pour Noob, dont je ne peux que conseiller la chronique, vu que je rejoins son avis mais avec moins d'éloquence !

Bitch Planet présente un monde dystopique où les femmes n'ont pas le droit à un seul faux pas : elles doivent entrer dans le moule et si jamais elles apparaissent comme « non conforme », elles sont écartées de la société, littéralement, puisqu'elles sont envoyées sur un satellite qui fait office de prison. Et pour être non conforme… il ne faut pas grand-chose. Parler un peu trop, ne pas correspondre à l'idéal de beauté décidé, bien entendu, par les hommes, refuser la patriarchie, prendre trop de place, ne plus plaire à son mari, etc.

Le principe de la dystopie est de créer un monde inquiétant où le danger est omniprésent, mais Bitch Planet fait bien plus que cela. Finalement, ce monde où de nombreuses femmes sont mises à la marge, est affreusement proche du nôtre. Les conséquences sont poussées à l'extrême, certes, mais le comics pointe du doigt les attentes irréalistes qui sont portées sur les femmes. C'est d'autant plus flagrant pour les personnes qui ne sont pas blanches, hétérosexuelles ou cisgenres. Je suis donc infiniment reconnaissante aux auteurs de présenter des personnages noirs, asiatiques, latinos, lesbiens ou bisexuels, etc. Même si on peut en trouver de plus en plus, les personnages féminins intéressants ne sont pas une majorité, que ce soit dans le comics ou dans la pop culture en général. Quel plaisir donc de pouvoir lire ces femmes aux caractérisations diverses !

Si je devais trouver un point « faible » à Bitch Planet, ce serait probablement son histoire un peu décousue et qui manque de fluidité dans son déroulement. le passage d'une mini-intrigue à une autre est parfois brutal et on ne sait plus où on doit donner de la tête. Enfin, j'avais l'impression que l'histoire était très centrée sur le « sport » auquel les personnages principaux doivent jouer (une sorte de combat de gladiateurs, en téléréalité pour ravir les audiences) mais au final on en parle beaucoup pour seulement quelques pages d'action. Malgré, tout, l'histoire est un plaisir et la fin de ce premier tome montre à quel point les enjeux sont élevés : les femmes de « Bitch Planet » sont au centre du danger.

pub bitch planetL'un des points forts du comics se trouve dans les fausses publicités qui séparent les chapitres : on a l'impression d'avoir affaire à un mauvais magazine féminin, avec des pubs affreusement sexistes, tout droit sorties du monde de Bitch Planet. Elles vont donc parfaitement avec le comics et renforcent son propos (mais j'aurai apprécié que le texte soit pas aussi illisible parfois…). Ces publicités ne sont pas le seul paratexte intéressant, bien au contraire. À la fin du comics, le paratexte de la V.O. a été traduit : des interviews très intéressantes. Mais, Glénat ne s'arrête pas là puisqu'ils ont ajouté un appareil critique sur le féminisme et la pop culture, rédigé par Pia-Victoria Jacqmart : un vrai plaisir à lire et une mine d'information. En plus de tout cela, on peut lire des interviews exclusives des auteurs, que demander de plus ? Ah oui, Glénat a eu une couverture exclusive pour l'édition française… Autant dire que cet éditeur nous chouchoute !
Lien : https://deslivresetlesmots.w..
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Dans le futur, ce sont les hommes qui gouvernent le monde.
Pas de place pour les femmes, encore moins les « non-conformes » qui dérogent aux règles par leurs actions ou simplement leur physique. Celles-là doivent être rééduquées, et pour cela elles sont envoyées sur Bitch Planet ou plutôt devrait-on dire, un « établissement auxiliaire de conformité » ; en gros, une prison en orbite autour de la Terre.
Là-bas, des programmes numériques sont chargés de leur rééducation à grand renfort de psaumes évangéliques et autres joyeusetés.
D'une grande violence, Bitch Planet est aussi le lieu de la solidarité féminine envers le diktat masculin, le lieu où les femmes se rebellent contre l'injustice et l'arbitraire.

Cette BD est un coup de poing dans la gueule de la société « moderne » patriarcale, au rythme narratif aussi musclé que le dessin, enrichie d'interviews des auteurs, de fausses pub et d'un carnet documentaire sur le féminisme.
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