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Bitch Planet tome 1 sur 2
EAN : 9782344014653
176 pages
Glénat (04/05/2016)
3.94/5   71 notes
Résumé :
Seule une vraie femme peut survivre à... Bitch Planet !


Le futur. Le monde est gouverné par le diktat des hommes. Les femmes qui ne se plient pas aveuglément à leur volonté doivent être « rééduquées ». À l issue d un discours évangélisateur psalmodié en boucle dans leur sommeil, elles sont expédiées dans l établissement auxiliaire de conformité, une prison pour femmes en orbite au-dessus de la Terre. Ces rebelles qui rejettent les règles mascu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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Irrémédiablement attirée par cette couverture et les quelques mots sur la quatrième, je n'ai pas résisté à l'emprunter. Ce comics, de quoi ça parle ? de femmes NC (non-conformes) emmenées sur "Bitch Planet" dans le but d'être réformées. Pour la plupart, elles sont noires, grosses ou lesbiennes et ne se plient pas aux règles inculquées.

Dans ce monde créé par Kelly Que Deconnick et Valentine de Landro, la différence est interdite et, si tu n'es pas conforme à ce que la société attend de toi en tant que femme, tu vas te retrouver sur une autre planète... Ainsi, nous faisons la connaissance d'héroïnes badass, aux physiques tous différents, malmenées sur Bitch Planet.

C'est probablement le comics le plus féministe que j'ai découvert jusqu'à présent. Les corps des femmes ne sont absolument pas sexualisés, et Valentine de Landro, l'illustrateur, n'est pas tombé dans ce piège malgré les nombreux passages de nudité. Rien que pour ça, ce livre se distingue de beaucoup d'autres...

Ensuite, on pourrait qualifier cet ouvrage d'anticipation. En effet, dans notre monde actuel, le patriarcat est toujours aussi présent et les femmes sont obligées, de manière tacite, de se conformer à certaines choses (il faut être blanche aux cheveux lisses, mince mais pas maigre, musclée mais pas trop, une peau "sans imperfections", épilée, et la liste est infinie, au point qu'aucune femme ne pourrait être considérée comme vraiment "conforme"...). Bien que celles qui ne correspondent pas à ce que la société attend d'elles ne soient pas envoyées sur une autre planète, elles subissent d'autant plus de discriminations.

J'en viens justement à mon point suivant : ce comics ne dénonce pas seulement le sexisme, mais aussi de racisme, de lesbophobie et de grossophobie. Et, à la fin du livre, il y a un dossier complet avec une interview des auteur·rice·s, des témoignages de femmes et le féminisme dans la pop-culture. C'est l'occasion de parler d'intersectionnalité (c'est-à-dire subir plusieurs oppressions à la fois, comme le racisme et le sexisme pour les femmes noires), ce que j'ai trouvé vraiment génial.

Pour conclure, c'est un premier tome prenant, aux héroïnes toutes différentes et aux profils intéressants, avec beaucoup d'action et une véritable dénonciation du patriarcat. C'est avec plaisir que je lirais la suite, et je vais même acheter cette saga, qui s'annonce plutôt bien.
Lien : http://anais-lemillefeuilles..
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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il comprend les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2014/2015, tous écrits par Kelly Sue DeConnick, dessinés et encrés par Valentine de Landro (sauf l'épisode 3 dessiné et encré par Robert Wilson IV), avec une mise en couleurs réalisées par Cris Peter.

L'histoire se déroule dans le futur à une date non précisée. Une animatrice de radio arrive juste à l'heure pour commencer son émission. Elle évoque la Terre comme une planète Père, et l'espace comme la Mère. Dans l'espace, sur une planète prison pour femmes, les dernières arrivées sortent nues de la douche obligatoire, pour aller récupérer leur combinaison réglementaire de détenues. Ça dégénère tout de suite en baston avec les matons (mâles) parce que l'une d'entre elles (assez imposante) estime que sa combinaison n'est pas à sa taille et qu'elle n'a pas la place d'y caser son deuxième sein.

Sur Terre, les responsables exécutifs du sport Duemila (ou Megaton en argot) recherchent comment améliorer les audiences. L'un d'entre eux suggère de constituer une nouvelle équipe amateur, composée de prisonnières volontaires. Père Ed Josephson transmet la proposition à Roberto Solenza, le responsable de l'entreprise de détention. La pression des responsables de la prison (représentés par Miss Whitney) pèse fortement sur Kamau Kogo pour qu'elle constitue une équipe. Qu'est-ce qui va la convaincre de choisir Katrina Jaimes-Freyre, Nut Suhair, April Liu, Marilyn Gunning, Alika Kahale, Danielle Zubiate, Meiko Maki, Penelope Leona Rolle ?

Dès le titre et la couverture, le lecteur a compris que Kelly Sue DeConnick ne va pas faire dans la dentelle. Elle met en scène des détenues condamnées pour des crimes réels, traitées sans ménagement, ne se laissant pas faire, et n'ayant pas peur des affrontements physiques. Dès la deuxième scène, le lecteur voit les corps nus et de face de 5 d'entre elles, et d'une dizaine d'entre elles la page suivante. Il y a également une scène dans les douches collectives, avec quelques caresses et un voyeur. Si le scénariste était un homme, il serait taxé d'exploiter le corps de la femme, comme s'il s'agissait d'un objet. Comme c'est une femme, elle dispose du bénéfice du doute.

L'intrigue principale concerne le groupe de détenues de femmes, avec Kamau Kogo comme personnage principal, et Penelope Rolle (la détenue massive) et Miss Whitney (représentante de l'administration de la prison), dans les seconds rôles. Il y a plusieurs intrigues secondaires, à commencer par les stratégies du père Josephson (le responsable du sport Duemila) avec Roberto Solanza, mais aussi une détenue qui souhaite retrouver sa soeur, un mari (sur Terre) qui souhaite savoir ce qu'il est advenu de sa femme qui a été emprisonnée, un arrière-plan politique quant à la forme de gouvernement.

Oui, ce récit s'inscrit dans une forme de genre d'exploitation, amalgamant des éléments de science-fiction, une pincée de politique fiction, et des femmes qui n'ont pas froid aux yeux qui apparaissent dénudées au moins une fois pour 3 épisodes sur 5. le lecteur est ainsi placé en situation de voyeur. Toutefois ce parti pris narratif ne se limite pas à de la titillation gratuite. Pour commencer, ces femmes présentent des morphologies diverses et variées, pas uniquement des plastiques de mannequin. Ensuite dans l'épisode 4, Rick Weldon (le maton qui reluque les femmes sous la douche) se fait choper par l'une d'elle et son sort est peu enviable, avertissant le lecteur qu'elles ne sont pas réduites à de simples objets.

En effet, tout au long de ces 5 épisodes, le lecteur en apprend plus sur ce qui leur a valu de se retrouver en prison, sur leur caractère et sur les attentes. de manière inattendue, il en apprend plus sur Penny Rolle que sur Kamau Kogo, car un épisode entier lui est dévolu, le numéro 3. de manière plus ou moins explicite, en fonction des séquences, la scénariste établit que ces femmes sont coupables des crimes concrets pour la plupart. Quelques-unes sont avant tout coupables d'être non-conformistes, c'est-à-dire de ne pas se conformer aux normes de la société. Dans cet épisode consacré à Penny Rolle, le lecteur découvre une femme au caractère bien trempé ayant des difficultés à contenir son énervement, face à des petites vexations de la vie de tous les jours, des remarques insidieuses, dont les responsables ne se rendent même pas compte de leur caractère blessant.

Le lecteur ne peut pas cautionner les agressions physiques commises par Penny Rolle qui ne va pas jusqu'à tabasser celui à la langue trop bien pendue, mais il ne peut pas complètement lui donner tort. Tout le monde a déjà ressenti ce moment où l'accumulation de petites vexations, de sous-entendus plus ou moins voulus et d'attitudes à connotation agressive, finit par faire qu'il suffit d'un tout petit rien pour faire déborder le vase, et faire sortir de ses gonds.

De fait, Kelly Sue DeConnick se révèle très futée et pertinente dans sa manière de mettre sur le même plan des actes criminels et des réactions répréhensibles, mais compréhensibles. Elle joue à la fois sur le comportement dures-à-cuire de ses protagonistes, et sur les conséquences de leur non-conformisme. Elle utilise les conventions de genre (prison, SF, exploitation, sport brutal) pour mieux faire apparaître les mécanismes de contrainte que la vie en société génère, applique et implémente pour conserver sa cohésion. En insérant quelques écarts mineurs sanctionnés comme des crimes, elle fait ressortir le côté arbitraire de certaines lois, ainsi que leur application mécanique, sans recul.

Valentine de Landro réalise des dessins qui appartiennent à la catégorie réaliste, avec un niveau de détails moyen. La composante science-fiction est présente visuellement de manière discrète, sans beau vaisseau spatial ou technologie rutilante, juste quelques accessoires ou tenues vaguement futuristes. Les arrière-plans contiennent suffisamment d'informations visuelles pour savoir où se déroule la scène. de manière chronique, ils peuvent présenter plus de détails quand la scène le requiert pour une meilleure compréhension. L'artiste sait composer ses cases pour qu'elles présentent un bon niveau d'informations visuelles sans paraître vides ou creuses, ni surchargées. Il utilise un encrage un peu appuyé ce qui apporte le degré de noirceur et de sérieux voulu au récit.

Cet artiste est donc amené à représenter des corps dénudés de femmes dans les épisodes 1, 2 et 4 (il n'y en a pas dans les 3 et 5). Il le fait de manière pragmatique et réaliste. Il représente la zone de pubienne par une zone noire, plus ou moins importante en fonction de la pilosité, sans aller jusqu'à représenter chaque poil. Il représente les mamelons et les auréoles, sans non plus aller jusqu'au grain de peau. Il attribue des postures réalistes aux personnes qu'il dessine. Il s'agit donc d'une approche naturaliste, à l'opposé des codes des magazines de charme ou des films pornographique. La tonalité visuelle se situe plus dans le naturisme que dans l'érotisme.

Robert Wilson IV réalise des dessins également dans un registre représentatif, avec un niveau de détails similaire à celui de de Landro. Son encrage est moins appuyé et il a tendance à exagérer légèrement les expressions, ce qui introduit un second degré comique, pas forcément le bienvenu dans ce récit, mais pas trop marqué. L'histoire de Penny Rolle ne bascule pas dans le registre de la farce.

Ce premier tome tient ses promesses de récit de type exploitation, avec une tonalité Grindhouse, que de renierait pas Alex de Campi (voir Grindhouse: Doors open at midnight Double feature). Kelly Sue DeConnick ne se contente pas de titiller et d'émoustiller le lecteur avec de simples provocations. Son récit utilise les conventions des différents genres auxquels il les emprunte, pour évoquer la contrainte de conformisme que la société fait peser sur ses membres. Il y a également une intrigue principale qui n'avance pas beaucoup du fait du nombre d'intrigues secondaires que la scénariste souhaite visiter. du coup ce premier tome se lit plus comme un prologue que comme un chapitre à part entière. de Landro réalise un travail compétent, transcrivant bien l'atmosphère du récit et dépourvu de l'hypocrisie pudibonde habituelle. Il y a bien des représentations de face du corps féminin dénudé, mais elles ne s'inscrivent pas le registre de l'érotisme, de la pure et simple exploitation. 4 étoiles pour un premier tome bien ficelé, manquant un peu d'unité, en voulant aborder trop de choses.
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Bitch Planet, c'est en quelque sorte un heureux mélange entre Handmaid's Tale et Orange Is The New Black. Dans un certain futur, les femmes qui ne réussissent pas à incarner à la perfection l'idée patriarcale de la Femme sont déportées sur un astre carcéral communément appelé la Bitch Planet.

L'histoire du comic, c'est celle du fonctionnement du pénitencier, des femmes cis et trans qui l'habitent, et des révoltes qui y grondent. On n'entend parler de la Terre que de loin. Une espèce de contre-révolution masculiniste et mysogyne semblent s'y être déroulé. La BD est d'ailleurs magnifique et s'amuse avec les codes esthétiques des vieux comics vintages, et ceux des films d'exploitations. ?
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Bitch planet ! le titre a de quoi surprendre !
Une planète où sont envoyés des criminelles. En fait, c'est une planète-prison où elles ne sont plus rien, elles n'ont plus de droits. Zoom sur Kamau Kogo qui semble une femme de poigne, elle sera choisie pour constituer une équipe pour faire de l'audience face à une forte équipe (et masculine).
On en apprend un peu plus sur certaines des détenues, leur passé où elles sont souvent considérées comme peu de choses. Attention, l'intrigue reste forte, il y a beaucoup de bagarres, les femmes ne se laissent pas faire face à des hommes qui se veulent dominateurs. C'est parfois un peu décousu mais Kelly Sue DeConnick utilise la science-fiction pour mettre en avant des femmes, des femmes non-conformistes. Il y a d'ailleurs un long dossier à la fin sur les femmes de quoi comprendre ce qui a motivé l'écriture de ce comics. J'ai aimé le dessin même s'il est parfois choc, parfois déformé pour mettre en perspective certains moments.
J'attends impatiemment le second tome pour voir comment nos filles vont s'en sortir (ou pas ?)

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Bitch Planet est un comics incisif et explosif, mais par-dessus tout féministe et inclusif.

Dans cette dystopie, le patriarcat est poussé à l'extrême : le monde est dirigé par des hommes, qui se font appeler les « pères » et prétendent agir pour le bien de tous (la plus dangereuse des tyrannies, n'est-ce pas ?)

Quant aux femmes, elles se doivent d'être des épouses exemplaires, attentionnées, dévouées, et n'aspirer qu'à satisfaire exclusivement leurs maris. Et ça passe bien évidemment par des injonctions concernant leur physique : il faut plaire, et pour plaire, il faut être mince et souriante, bien coiffée, bien habillée. Et blanche, ça c'est le top du top (c'est évidemment ironique).

Toutes les femmes qui ne correspondent pas à cet idéal sont surnommées « non-conformes ». Dès qu'elles font un pas de travers, à savoir si elles ont le malheur d'être trop attirantes, trop séduisantes, d'élever la voix en public, de lever la main sur quelqu'un, de jouer avec de la nourriture, ou simplement d'être nées trisomiques ou jumelles, elles sont presque systématiquement expédiées sur une planète prison, Bitch Planet. Révoltant. Vous vous en doutez bien, là-bas on ne fait pas dans la dentelle. Les prisonnières sont rabaissées, humiliées, torturées.
Mais Kam refuse d'offrir à ses bourreaux le plaisir de la voir plier. Elle ne se fait pas d'illusions non plus, elle sait qu'elle ne pourra jamais s'échapper de Bitch Planet, mais elle n'a pas l'intention de se laisser briser par ses tortionnaires.

Un jeu/sport fait fureur auprès de la population, il s'agit de Mégaton, un sport où quasiment tout est permis pour gagner.

Entre chaque chapitre, des « pages de pub » sont insérées, façon magazine. On y fait l'éloge de produits absurdes, comme des parasites à ingérer pour maigrir. Des messages plus que dévalorisants y sont formulés : comme quoi l'appareil génital des femmes serait dégoûtant et qu'il faudrait en avoir honte.
Ces pages sont tellement outrageuses qu'on sait que les auteurs ne font que critiquer les injonctions faites aux femmes dans notre monde à nous. Ca n'en est pas moins rageant, un rappel mordant de la pression sociale que subissent encore les femmes.

Les graphismes sont bruts, sans chichis, dans les tons rose, mauve, bleu, très comics en somme. Ca m'a piqué les yeux au début, au milieu et à la fin, mais je trouve qu'ils correspondent bien au fond de l'histoire.

Comment ne pas se révolter à la lecture de cette BD tant ce qu'on y trouve est aberrant et rageant ! J'ai hâte de voir comment les détenues vont s'en sortir (car spoiler alert : les auteurs ont révélé à la fin de la BD que nos chères NC vont l'emporter ! La question est de savoir comment…)
Je recommande cette BD, mais âmes sensibles s'abstenir, car l'univers est bourré de violence…
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critiques presse (3)
MadmoizellePresse
16 janvier 2023
Punk, violent et féministe, Bitch Planet est un coup de poing dans la gueule du patriarcat.
Lire la critique sur le site : MadmoizellePresse
BDGest
21 juin 2016
A l’image de son graphisme qui fleure bon l’iconographie pigmentée des années 70’s, il reste à prendre Bitch Planet pour ce qu’il est : un exercice de style qui se garde de faire dans la demi-mesure.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
29 avril 2016
Bitch Planet reste une étonnante découverte que je vous conseille très activement !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Tu es non-conforme ?
Tu ne rentres dans aucune case ?
Tu es trop grosse,
Trop maigre,
Trop effrontée,
Trop timide,
Trop croyante,
ou pas assez,
Trop prude,
Trop sexy,
Trop noire,
Pas assez blonde,
ou trop ce-qu'ils-ont-décidé-de-te-reprocher-aujourd'hui ?
Tu pourrais bien finir sur... Bitch Planet.
Commenter  J’apprécie          276
Je crois que la véritable misogynie est très rare. Elle se niche dans les milliers de petites réflexions désobligeantes. Ce sont les mecs qui veulent notre bien, mais qui ne se rendent pas compte qu'ils ne nous considèrent pas comme des humains à part entière. Ils croient bien faire, mais ils sont convaincus que nous sommes limitées par notre sexe et que nous n'avons pas les mêmes capacités qu'eux. Le plus dangereux sexisme c'est celui qui vous aime, celui qui vous protège.

[Interview: Kelly Sue Deconnick]
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Les jeunes filles noires sont renvoyées de leur école entre six et dix fois plus souvent que les blanches, pour des infractions au règlement équivalentes. Elles doivent faire face à des sanctions bien plus dures et à un plus grand risque de voir la police impliquée dans ces affaires.

[Documents en fin de tome, dans "témoignage de meufs..."]
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- Le sport construit la personnalité. Dans l'antiquité, les Grecs considéraient les prouesses sportives comme un indicateur de l'autorité morale de l'athlète.
- Ils croyaient aussi que leurs dieux vivaient sur une grande montagne et que les ennuis qui les frappaient étaient causés par de petits hommes à bite de cheval, jouant de la flûte de pan... Les choses ne sont pas plus intelligentes parce qu'elles sont anciennes.
Commenter  J’apprécie          20
- Les hommes sont obsédés par ce sport et ces deux tonnes de fun.
- Hey, tu es célibataire? Imagine un peu ses yeux s'illuminer quand tu lui auras fait croire que tu partages sa passion!"

[Dans une "vidéo éducative"]
Commenter  J’apprécie          20

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Vidéo de Kelly Sue DeConnick
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Quelques titres cités au fil des conseils : - le Long des ruines, de Jérémy Perrodeau (éd. 2024) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22529076-le-long-des-ruines-jeremy-perrodeau-editions-2024 ; - Conduite interdite, de Cloé Wary (éd. Steinkis) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/10916331-conduite-interdite-chloe-wary-steinkis ; - Saison des roses, de Cloé Wary (éd. Flblb) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/15354644-saison-des-roses-chloe-wary-flblb-editions ; - La Maison de la plage, de Victor L. Pinel et Séverine Vidal (éd. Marabulles) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/15249795-la-maison-de-la-plage-victor-pinel-marabulles ; - Puisqu'il faut des hommes, de Victor L. Pinel et Philippe Pelaez (éd. Bamboo) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16073127-puisqu-il-faut-des-hommes-joseph-joseph-victor-lorenzo-pinel-bamboo.
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