Citations sur L'Epouvanteur, tome 8 : Le destin de l'épouvanteur (20)
Je m'éveillai en sursaut, le corps baigné d'une sueur froide. Pourtant j'avais repris courage. Chaque cauchemar me rendait-il plus fort, m'enseignait-il mystérieusement quelque chose ?
Si tu n’es plus satisfait de ta propre compagnie, alors tu seras vraiment seul.
Chacun de nos actes prépare notre avenir. Ce que nous nommons le destin n'est qu'une illusion, une vision rétrospective des choses.
"Ne jamais renoncer, même quand la situation paraît désespérée ! Voilà la véritable qualité d'un héros !
Une troisième voix s’éleva, un timbre mâle que je reconnus aussitôt : celui de l’Epouvanteur.
Bien? Je ne serai plus jamais bien, désormais, Tom. Mais je veux rester avec toi. Je le veux plus que n'importe quoi au monde. C'est ce qui nous a sauvés tous les deux.
- D’ailleurs, le travail ne manque pas, ici, pour un Épouvanteur. [...] On appelle parfois l’Irlande l’île Hantée ! Elle abrite plus que son lot de fantômes !
Elle était allongée sur le dos, la tête appuyée contre la souche. Bien que jeune, elle avait les cheveux blancs d'une vieillarde. De sa robe dépassait des ouliers pointus. Stupéfait, je reconnus Alice.
Je vais rebâtir ma maison, réunir et rédiger de nouveaux ouvrages pour reconstituer ma bibliothèque.
Des larmes brillaient dans ses yeux, des larmes d'espérance et de joie.
Puis, lentement, il grimpa sur ma poitrine. Frissonnant, je sentis quatre petites pattes me marcher sur le corps. Même à travers mes vêtements, elles étaient aussi froides que quatre glaçons. La chose, quelle qu'elle fût, était maintenant devant mon visage, et la panique m'envahit. Qu'est-ce que c'était ? Quelle horreur se cachait sous cette couverture mouvante ?
Le cœur battant à tout rompre, je voulus rouler sur le côté, mais n'en trouvai pas la force. Je réussis tout juste à relever un peu la tête. Je ne pouvais pas non plus repousser la chose rampante avec mes mains : elles gisaient, tremblantes, inutiles, de part et d'autre de mon corps, tandis que la sueur me ruisselait sur le front et me piquait les yeux.
La chose était sur ma gorge, à présent. Elle se souleva un peu en s'appuyant sur ses mains minuscules comme pour mieux me regarder. Alors la couverture glissa et me révéla son visage.
Je m'attendais à découvrir un monstre ; ce fut presque pire.