L'épouvanteur, tome 5 : L'erreur de l'épouvanteur

On en revient souvent, aux discussions « personnages classiques de fantasy » à discuter de Fitz et de son intelligence, enfin intelligence, son manque de. Je n'avais pas emprunté de livre de cette série de chasseur de démons depuis un moment, aussi avais-je oublié que l'assassin royal avait un maître. Tom Heinqwaquestcequiya Ward.

C'est simple, si on lui dit de ne pas se fourrer dans les ennuis, il bougonne, se plaint et il y va. Certes, mais s'il n'y allait pas, il n'y aurait pas d'histoire me diriez vous. le truc c'est qu'il rencontre n'importe quelle engeance/démon/adversaire, il reste planté bouche bée à ne rien faire. Au bout du temps il devrait apprendre et se bouger, non ? Et bien non, il attend (remarquez il a raison, il y a toujours quelqu'un pour le sortir d'affaire). Ce n'est pas l'Epouvanteur qu'il fallait titrer cette suite de bouquins mais l'Epouvantail.

Et encore... c'est apparemment le meilleur apprenti depuis des lustres, celui qui les sauvera tous. Que faisaient les autres ? Ils amenaient le pop corn pour que la sorcière démoniaque terribeuleuh de la muerte puisse s'engloutir un petit dessert après s 'être boulotté l'apprenti ? (Tiens à ce sujet, je vous laisse, j'ai l'envie subite d'une douceur).