L'épouvanteur, tome 5 : L'erreur de l'épouvanteur

Ce cinquième tome est à nouveau un peu décevant pour moi.
L'histoire en elle-même prend plutôt une tournure intéressante, avec pas mal de nouveautés.

Tom, pour échapper à l'enrôlement de force dans l'armée du roi va poursuivre sa formation, vers un ancien apprenti de Grégorie, Bill Arkwright. Un homme sombre, porté sur la boisson et adepte d'une éducation plutôt violente. Après des débuts plutôt difficiles, il va lui enseigner tous sur les monstres aquatiques ainsi que sur les sorcières des eaux. Il va également lui enseigner le maniement du bâton, lors de combats plutôt douloureux. Tom et Lucie vont devoir utiliser la magie noire et Tom va également trouver des alliés plutôt étonnent pour vaincre les filles de l'obscure. Tom et Lucie vont devoir prendre des décisions importantes pour la suite.

Par contre, j'ai trouvé les combats très simplistes, un coup de bâton ou un lancé de chaîne et voilà le combat contre les meilleures sorcières est fini !
Dans le tome quatre, je trouvais que Tom prenait des décisions un peu plus réfléchies et là patatras, malgré quelque trempe et des coups de bâton, il recommence à faire n'importe quoi.

Attendons de voir la suite…

Ce cinquième tome est très intéressant, même si je l'ai trouvé un peu jeunesse. Je dois reconnaitre que Tom m'énerve, mais j'essaye sincèrement de comprendre ses réactions. J'ai beaucoup aimé l'épouvanteur qu'on suit dans ce tome 5, même s'il est énervant de temps en temps. Je vais continuer de lire la saga pour voir ce que donne la suite, mais j'ai un peu de mal à continuer. Je vais quand même continuer pour voir ce que donne la suite.

Après le précédent tome où les sorcières de Pendle avait invoqué le Diable en personne, j'étais assez impatiente de lire la suite. Cette fois, nous retrouvons Thomas Ward qui sera apprenti d'un autre Epouvanteur, Bill Arwright. Celui-ci habite dans un moulin qui est hanté, près des marécages où vivent des sorcières des eaux très puissantes. Y compris la fille du Diable elle-même, chargée de tuer Tom.

J'ai trouvé que c'était appréciable d'avoir un tout autre contexte, avec Bill Arwright, peu sympathique et très penché sur la bouteille, qui a des façons très différentes de procéder par rapport à John Grégory. Selon moi, certaines méthodes étaient meilleures, d'autres plus que douteuses. D'un autre côté, les personnages évoluent énormément, notamment la relation entre l'Epouvanteur et son apprenti, et entre Tom et son amie Alice.

Cette évolution est sûrement très importante pour la suite, et je pense que ce cinquième tome marque un véritable tournant dans la saga. J'ai apprécié cette lecture pour ces raisons, mais j'ai vraiment trouvé dommage les combats qui avaient lieu. Tout était beaucoup trop simple. Tom est censé se trouver face à des créatures puissantes, ça ne devrait pas être si évident de les combattre.

Malgré ce petit bémol, j'ai bien envie de lire le sixième tome prochainement, et de voir ce qui va arriver aux protagonistes...
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Meilleur que les 4 premiers tomes dont l'intrigue se faisait un peu répétitive ... j'ai passé un moment sympa, mais rien d'exceptionnel.

Cet ouvrage entraîne Tom dans un nouveau coin du Comté, là où il va découvrir un nouveau genre d'épouvanteur (Bill Akwright) et de nouvelles créatures telles que les sorcières d'eau et les selkies (je crois me souvenir que c'est bien ça). Ce tome est plutôt intéressant, nous permettant de découvrir un nouvel aspect du monde de Joseph de Delaney, nous permettant de voir que tout ne se passe pas comme chez John Gregory.

L'ouvrage permet également de mieux connaître Tom qui se montre, certes intelligent, mais aussi un peu buté. Il ne pense à rien d'autre qu'à faire ce que John Gregory lui a appris, allant jusqu'à agir contre les ordres de son nouvel instructeur pour suivre les dogmes auquel il est habitué.

On découvre une nouvelle part de frayeur et d'horreur dans l'histoire des parents de Bill. C'est une chose que j'apprécie beaucoup dans les Chroniques de la Pierre de Ward. S'il est vrai que je lis sans problèmes ces livres la nuit et que je les pense ouverts sans mal à la jeunesse, ce sont des histoires où les horreurs de la vie quotidienne se mêlent sans soucis au fantastique. Que demander de plus ?

Dans ce tome, Monsieur Joseph Delaney sort sa toute nouvelle carte : le malin. Et il en use avec brio. Au moins, on se demande ce qui va en être dans les tomes à venir.
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