L'écrivain Yachar Kemal ne renie donc nullement l'héritage de la transmission orale ; en choisissant entre les monts du Taurus et l'école d'Adana, il n'a pas sacrifié la culture que l'on appellerait orale sur l'autel de la religion de l'écrit.…
Chaque endroit avait son odeur propre. Même la nuit, dans l'obscurité totale ou l'on ne voit rien, Kodja Halil pouvait deviner les lieux rien qu'à l'odeur.