J'ai beaucoup lu et aimé
Lawrence Durrell et ses récits et romans sur
les îles grecques (
Citrons acides,
l'île de Prospero,
Venus et la mer, et, en cours de lecture, Cefalu).
Les récits de
Michel Déon, regroupés dans les
Pages grecques, ont la même résonance.
Déon est un raconteur hors paire.
Ce type d'ouvrage peut être consommé au gré des envies du lecteur. On en li
t un chapitre, ou plus ; on le laisse quelques temps pour le reprendre plus tard, avec le même plaisir.
Oui, c'est beau ! Nul n'est besoin de connaître la Grèce, il suffit de se laisser porter par cette prose si belle, de fermer les yeux quelques instants, les paysages, les petits ports, les petits cafés se créent devant vous, avec la chaleur, les vents et les odeurs.
Bref, des vacances pas chères.
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