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La famille d'Addie, d'origine juive polonaise, émigre dans des conditions épouvantables.

Certains enfants n'y survivront pas.

Addie, elle, a la chance de n'être pas encore née.

Boston. Etats-Unis d'Amérique. Terre de tous les possibles.

Mameh, la mère, ne s'y fera jamais, enjolivant les souvenirs et calfeutrant les sentiments. le père fera avec, se réfugiant dans la religion.

Addie, tête bien faite et bien pleine y découvrira la vie.

Une vie qu'elle entreprend de raconter à 85 ans, en 1985, à sa petit-fille qui l'interroge.

Une certaine photographie d'une époque, des changements qui la caractèrise.

On assiste ainsi aux diverses évolutions de la société américaine, la place des femmes, le travail, la guerre...

Beaucoup de tendresse et une écriture agréable et fluide.

On se laisse gentiment glisser d'une année sur l'autre, emmenés par l'attachante Addie.

Un émouvant et vibrant portrait de famille.

A ne pas manquer !
Lien : https://abcdlivres.blog4ever..
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Vivre parce qu'on le veut
OU
Vouloir croire au bonheur, toujours !

Oui, j'ai adoré ce livre, c'est vrai !
Non, ce n'est pas de la grande littérature. C'est du vécu.
Une grand'mère raconte sa vie à la plus jeune de ses petites filles.

Ses parents : des juifs immigrés à Boston, de Pologne, vers la fin du 19ième siècle. le père, un homme calme, digne, gagne sa vie comme il peut, en usine. La mère, paysanne, est enfermée dans les codes très stricts de sa culture d'origine, et, pour elle, l'Amérique est un cauchemar auquel elle n'arrive pas à s'habituer. La Pologne, c'était le paradis, même si on s'y faisait sabrer par les cosaques et qu'on y crevait de faim. Au moins on y était chez nous, et on comprenait le monde. Ici, l'air est irrespirable, la nourriture sans goût, les femmes sont des putes et les hommes des brutes. Et on vit à cinq dans un taudis d'une pièce et demie ( un couloir où on a mis le lit des trois filles). Alors les parents s'engeulent tous les soirs. Comme tout le monde dans l'immeuble. Donc ca ne dérange personne, sauf peut-être les rats qui hantent les palliers.

Annie a deux soeurs, nées là-bas, elle est la seule à être née ici, aux Etats-Unis. Elle pourrait devenir comme sa soeur Célia, fille fragile aux tendances auto-mutilatrices et à l'anorexie. Celia qu'on n'arrive pas à marrier...Ou sa soeur Betty, que sa mère traite de pute parce qu'elle en a eu assez des portes claquées et des pommes de terre au chou vert: elle est partie gagner sa vie comme vendeuse en magasin de mode en disant ciao. Non, Annie a eu une vision de la beauté : l'école, son silence (relatif), la propreté des locaux, la lumière des grandes fenêtres, l'étude, les bonnes notes à la place des coups de geule.

Ce n'est pas une introvertie inclinée à l'examen de soi. Elle cherche le mieux, elle a de l'espoir, elle veut s'en sortir. C'est une fille courageuse, puis une femme d'action. Elle étudie tant qu'elle peut : quelques années du secondaire. Elle travaille, cherche des meilleurs boulots, et les trouve. Intelligente, rapide, sociable. Elle fait son chemin.

Alors sur ce chemin, il y pas mal d'embûches. Les hommes, dont beaucoup sont des prédateurs, surtout dans un environnement professionnel . Elle manque de peu d'y passer... Les filles qui n'ont pas eu cette chance, et les avortements clandestins - une pratique éffroyable. L'alcool, chez les hommes, et pas la bière, mais le tord-boyaux de la prohibition. Des conditions de travail que l'on trouve maintenant au Pakistan ou au Cambodge.

Des embûches, mais l'amour aussi. Pour une fois, un homme qui n'est pas un muffle qui veut lui faire une passe. Un homme attentionné, un avocat qui plaide les causes sociales, un homme doux qui a le sens de l'humour. Ils sont restés ensemble jusqu'à sa mort, un demi-siècle de bonheur. Des enfants, des petits enfants. Des amies, aussi, plus des soeurs que des amies - et quelques amis .Un réseau, de filles surtout, qui s'épaulent, qui ne se laissent pas tomber quand la maladie, la dèche ou " l'accident" surviennent. Presque toutes de familles juives immigrées la génération précédente. Elles ont connu la même chose, plus ou moins.

Alors c'est quoi, ce livre ? C'est un grand bol d'air frais, salé, venu de la mer. C'est une leçon de vie, de courage. Pas d'une psy qui vous écrit que tout ca se tient. Mais d'une femme qui s'est frayée un chemin, un chemin de vie. Sans devenir insensible, sans prendre des airs, et, surtout , sans perdre espoir. Bravo ! Et Merci !
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"Boston girl" nous plonge dans la vie d'Addie Baum, fille d'immigrés juifs polonais aux Etats Unis au début du 20ème siècle. Une enfance marquée par des drames, des privations, mais aussi des moments forts en amitiés et en découvertes.

J'ai été happée par l'histoire d'Addie jusqu'à son mariage avec Aaron et adoré le style enjoué et pétillant du personnage. Les drames vécus dans son enfance et les relations compliquées avec sa mère sont poignants. La narration sous forme de journal intime renforce la proximité du lecteur avec Addie.

Le roman est particulièrement précis et détaillé sur l'enfance et l'entrée d'Addie dans l'âge adulte et la vie active. Malheureusement, le style change à partir de la rencontre avec Aaron, le futur mari d'Addie. le roman se transforme en "roman à l'eau de rose" et devient superficiel. La fin (ou plutôt les quarante dernières années) de la vie d'Addie sont rapidement évoquées, sans émotion, à la "va-vite"... Quel dommage!! On ressort de la lecture déçu et frustré....
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Parfois, les meilleures "pioches" se font complètement par hasard et si je n'avais pas été attirée par le titre , je serais probablement passée à côté de ce livre émouvant et instructif.
Ce roman commence lorsque Ava demande à sa grand- mère Addie Baum ( 85 printemps ), née en 1900, comment elle est devenue la femme qu'elle est aujourd'hui. S'en suit toute une vie déroulée sous nos yeux ébahis et on en oublie presque LA question tellement on vit cette histoire ; (notamment quand à la page 250, Addie brûle les étapes en annonçant l'identité de son futur mari, chose que sa petite fille peut déduire grâce au prénom du petit- ami... mais pas nous !) .
A travers la jeune Addie, c'est tout un pan de l'histoire du XX ° siècle qui défile, et surtout l'évolution de la condition féminine , mais pas que...
En 1915, Addie a 15 ans, et pour échapper à sa condition sociale et à l'oppressante atmosphère de chez elle , elle se réfugie dans les livres . Son univers changera lorsqu'elle aura l'opportunité de rejoindre un club de lecture pour filles. Elle s'y créera des amitiés solides, de celles de toute une vie. Cadette de trois filles, ses parents ont fui la Pologne , et très tôt (7/8 ans...) , les gamines travaillent pour apporter leur salaire à la maison. Son père est lointain, sa mère a un caractère exécrable, et lui préfère sa deuxième soeur. Mais grâce aux livres, à l'instruction, au travail, et aux belles rencontres, Addie s'en sortira .
Parcours de vie, mérite , coups du sort, tragédies : la vie ne fera pas de cadeaux à sa famille Baum . Mais au-delà de ces personnages , l'auteur nous parle de la condition de la femme , de la parentalité, du travail des enfants, du lynchage des Noirs, et de tous les changements survenus au XX° siècle. Le fait qu'Anita Diamant soit spécialiste des traditions juives, ajoute un plus, un cachet , une petite musique , qui fait de ce roman , un récit très original et savoureux.
Instructif, extrêmement agréable à lire, j'ai eu l'impression de quitter , en refermant ces pages, des gens que je connaissais, de vrais gens ... Troublant...

Challenge Multi- défis 2020
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Boston Girl d'Anita Diamant traîne dans ma chambre depuis au moins un an. Je le sais car il était dans ma valise de vacances l'été dernier. Malheureusement, je suis rentrée sans avoir eu le temps de le lire. Alors cette année, j'ai remis dans ma valise tous les livres que je n'avais pas lus en juillet 2018 – en plus de quelques nouveaux – et Boston Girl s'est offert un deuxième séjour à la mer. Et moi, j'ai décidé de ne pas lui faire le coup de la bouder une seconde fois, d'autant que c'est tout à fait le genre de lectures qui me plaît lorsque je suis en vacances et que je peux consacrer plusieurs heures d'affilée à une histoire – tant pis pour le sommeil.

Nous sommes en 1985 et la petite-fille d'Addie lui demande comment elle est devenue la femme qu'elle est. Alors Addie va raconte sa vie, celle d'une petite fille née en 1900 à Boston de parents juifs polonais peu affectueux. Elle lui raconte ses soeurs qui ont commencé à travailler alors qu'elles n'avaient pas dix ans, pour aider la famille à payer le loyer de l'appartement sans eau chaude. Elle lui raconte le club de lecture du samedi et sa bande de copines, ses déboires avec les garçons, sa soif d'étudier, ses différents boulots avant d'avoir la chance de trouver sa voix. Elle lui raconte Celia, sa soeur trop fragile, la grippe espagnole qui va toucher durement sa famille. Et Aaron…

Avec Boston Girl, on plonge dans l'histoire d'Addie et il est très difficile de s'arrêter tant c'est addictif. Cette grand-mère est très chouette, pleine de vie. Son récit qui est aussi un instantané du début du XXe siècle à Boston. Les enfants qui travaillent, les femmes qui commencent à porter des pantalons, à travailler et devenir indépendantes. Un roman sur l'amitié et la famille. Un joli récit que je suis ravie d'avoir lu.

Question style, on est dans un témoignage, donc c'est un peu comme si Addie était à côté de nous, à nous raconter ses souvenirs, son premier reportage, sa fugue pour partir en vacances. Alors ce n'est pas inoubliable de beauté, on ne va pas s'extasier sur la beauté des phrases, mais on sera touchés par la gentillesse d'Addie, et son histoire. Bref, je me demande pourquoi je ne l'ai pas lu l'été dernier, mais je suis ravie de l'avoir remis dans ma valise cette année.
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..
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Ce livre est sorti il y a quelques années maintenant. À l'époque, je l'avais repéré avant même sa sortie et il me faisait énormément envie. Il avait atterri dans l'une de mes obscures Wish lists en attendant la sortie et… il y était resté depuis. Et puis, il y a peu, France Loisirs lance des soldes, et je commande ce titre pour trois euros. Que demander de plus ?

Je crois que j'ai rarement aussi bien investi trois euros. le sujet me tentait énormément, et je dois dire que je n'ai pas été déçue. J'ai eu un peu peur au début, pourtant. le roman est construit comme si c'était la petite-fille d'Addie que demandait à sa grand-mère de lui raconter son histoire. du coup, Addie s'adresse parfois directement à elle – et donc au lecteur-, cassant ainsi ce qu'on appellerait le quatrième mur au théâtre. Et il y a également des tournures assez orales, du vocabulaire yiddish (elle est juive), et c'est un procédé littéraire avec lequel j'ai vraiment beaucoup de mal. Mais finalement, c'est très bien dosé et bien réalisé, et ça n'a pas gêné ma lecture.

Je me suis vraiment prise d'affection pour cette jeune ado juive à Boston, petite dernière d'une famille disloquée : un père renfermé, une mère agressive et haineuse, une grande soeur éprise de liberté et une benjamine dépressive. Addie est perdue au milieu de ce cirque, a une soif inextinguible de connaissance, veut être libre et décider de son destin. Contre tout ce à quoi la destinait ses origines sociales, elle gagnera sont indépendance petit à petit, deviendra une jeune femme cultivée, dactylo, puis journaliste, professeure d'université. Son parcours et son énergie ne semblent souffrir aucun obstacle, elle les surmonte tous avec une force de vie incroyable, et fait preuve d'une impressionnante modernité.

Un roman qui, malgré son fond historique, et criant de vérité et terriblement actuel.
Lien : https://unlivreenhiver.wordp..
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Je ne vous ai pas encore parlé d'Addie Baum, cette jeune femme que l'on suit année après année à travers les chapitres de cette superbe lecture.

D'une famille juive immigré à Boston, l'histoire d'Addie commence en 1915 et avait tout pour me plaire : une héroïne forte, qui n'a pas peur de vivre sa vie à sa façon. Malgré les catastrophes qui vont tomber sur le monde et sur sa famille, elle nous livre son histoire avec toute simplicité et avec humour. Tellement que : je m'y suis cru.

Un chouïa féminine et déterminé, voilà ce que je retiendrai d'Addie. Elle m'a tout de suite convaincue lorsque après quelques pages, elle fait le mur pour intégrer un club de lecture ultra féminine.

Un personnage que je n'oublierai pas. Que j'ai aimé suivre au fil des pages et que j'ai été triste de quitter.

Bonne lecture à tous et bonne semaine 📖
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Un très bon roman, à la limite du coup de cœur. Il s'agit d'un roman réaliste racontant le périple d’Addie Baum née en 1900 de parents immigrés polonais. La jeune fille va devoir s’adapter à l’Amérique avec des parents suspicieux face à cette nouvelle culture.

Le récit commence en 1985 lorsque la petite fille D’Addie lui demande comment elle est devenue la femme qu’elle est aujourd’hui. Addie se plonge alors dans ses souvenirs jusqu’en 1915. C'était alors une jeune fille pleine d'espoir et surtout curieuse.

Personnellement, j’ai adoré le personnage d’Addie, excepté au début où elle était un peu naïve. Puis ce qui m’a plus a été son rapport à la littérature qui lui a ouvert des portes, son esprit et son culot vont parfois la pénaliser mais pas toujours. Cependant, si elle est devenue ce que l’on, appelle de nos jours une femme moderne, il faut tout de même souligner qu’elle s’est mise de nombreuses fois sa famille à dos ou qu’elle a eu des difficultés a trouvé un travail convenable.

Puis n’oublions pas que la narratrice à un regard extérieur, quand elle raconte sa vie à sa petite fille, elle fait le point sur celle-ci. Elle a vécu une vie enrichissante marquée par des faits historiques importants, le récit est donc véritablement historique bien que ne s’appuyant pas sur la vie d’une personne ayant existé. C’est d’ailleurs étonnant, l’auteur a donné vie à son personnage dans une Amérique du début du XXes au point que l’on se demande si cette histoire n’a pas un fonds véridique, si Addie n’est qu’un personnage fictif.

Je vous recommande vraiment ce livre, il est axé sur l’évolution du rôle et la perception des femmes sans être féministe. Il évoque simplement des faits. L’auteur a également une écriture fluide et un style qui rendent la lecture agréable. Si vous cherchez un roman intéressant en termes d’histoire et de réflexion, n’hésitez pas.
Lien : https://lesdeuxartistes.word..
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Addie Baum naît à Boston en 1900, de parents pauvres, juifs polonais fraîchement immigrés. Alors que ceux-ci tentent, envers et contre tout, d'élever leurs enfants dans la tradition juive, Addie fait tout pour s'intégrer dans la société américaine et devenir une femme moderne. Au fil des évènements majeurs du XXème siècle, elle va vivre l'émancipation féminine : travailler, opérer des choix nouveaux pour l'époque, faire preuve d'indépendance.


Anita Diamant nous livre un beau portrait de femme, vivant et attachant, reflet de tout le chemin parcouru par la condition féminine en un siècle. le récit est porté par la voix d'Addie, qui, vieille dame, se raconte à sa petite-fille. Cela apporte à l'histoire une intéressante mise en perspective et une touchante coloration légèrement nostalgique.


Addie est une femme de tempérament et sa vie riche en rebondissements s'avère captivante. Peut-être un peu trop pour être totalement réaliste ? Addie incarne l'émancipation progressivement acquise de la femme moderne, l'optimisme, la volonté et le succès. Elle réussit tout ce qu'elle touche, quand nombre des femmes qui l'entourent illustrent les drames auxquels elle échappe : mariages arrangés malheureux, opprobre en cas de relations hors mariage, suicides, avortements clandestins, maltraitance, impossibilité de faire des études... La réalité est sans doute plus subtile et plus compliquée, plusieurs générations s'avérant souvent nécessaires pour réussir les grandes mutations.


Quoi qu'il en soit, même si peut-être parfois un peu trop simpliste et rapide, ce roman est à la fois intéressant (que de chemin parcouru en un siècle !) et très plaisant à lire.


On retrouve ici plusieurs thématiques récurrentes dans l'oeuvre d'Anita Diamant : la judaïcité, de beaux portraits de femmes, la côte du Massachusetts (Boston, Cape Ann, Dogtown), dans une version encore une fois complètement différente de celle de ses précédents romans, et elle aussi hautement recommandable. Coup de coeur.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Boston girl, c'est le titre original, et celui qui figure sur l'édition française que j'ai empruntée à la médiathèque.

C'est une chronique familiale et historique contée de façon dynamique avec les confidences d'Addie Baum à sa petite fille qui veut en apprendre plus sur elle. C'est un roman, mais le procédé utilisé rapprochent les personnages de nous, comme si nous étions aussi dans la pièce à écouter Addie.

Anita Diamant, nous livre ainsi un aperçu de la difficile intégration de la première génération de juifs américains qui ont fui les pogroms de l'Europe de l'Est. S'installer loin de chez soi n'est pas chose aisée que l'on fuit la guerre, des persécutions ou la misère. Addie est celle des trois filles de la fratrie qui est née à Boston et n'a jamais connu l'Europe. Ses copines sont italiennes et irlandaises. Elles portent aussi en elles d'autres histoires terribles.

Elle nous raconte également par l'intermédiaire de son héroïne, ses soeurs et ses amies une histoire d'émancipation des femmes par le travail et l'éducation. Les choses ne sont pas simples dans la première moitié du 20 eme siècle . C'est un vrai combat, comme celui de limiter le travail des enfants et de lutter contre le lynchage des noirs . C'est un peu une histoire féminine de l'Amérique, un autre regard sur le siècle .

Addie nous raconte toutes ces histoires, avec ses joies, ses douleurs, ses rencontres, ses amours, pour que jamais nous ne puissions dire que les choses étaient mieux avant...vous savez, quand les filles n'allaient pas à l'école, quand les gamins mouraient à l'usine . S'il y a bien un progrès qui vaille, c'est bien dans la condition humaine qu'il est à rechercher.

Un bien joli message à méditer !






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