Un grand roman de Donoso. On y retrouve l'atmosphère propre aux écrivains d'Amérique Latine avec un côté
Faulkner par dessus le marché.
Fou, âpre, violent, torturé. Un livre marquant.
Dommage que Donoso, comme d'autres (
Carlos Fuentes,
Alejo Carpentier,
Julio Cortázar, Miguel Asturias ou
José Lezama Lima) soient les oubliés des éditeurs et des lecteurs, contrairement à
Garcia Marquez, qui semble avoir le monopole en ce qui concerne l'Amérique Latine.
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