Il est de ces livres qui vous laissent un sentiment volontaire d'inachevé.
Manhattan Transfer est de ceux-là. Une odeur d'éphémère planer sur ces personnages de conditions variés où
Dos Passos tente de donner la parole aux bébés tellement il ne veut rien laisser au hasard et cela malgré toute cette hétérogénéité. Son double, Jimmy quitte la ville dans les dernières lignes sans que l'on ait eu l'impression de se promener à New York. La question que l'on doit se poser : Aimait-il réellement cette citée…
Lien :
https://eric.bonnave@gmail.com Commenter  J’apprécie         20