Le code de la Bible était muni d'un système de verrouillage temporel, d'une sorte de serrure à retardement. Il était impossible à déchiffrer avant l'invention de l'ordinateur.
Ce code était destiné, sans doute par une forme d'intelligence capable d'anticiper l'avenir, à être décrypté aujourd'hui. Il a été mis au point pour que nous le déchiffrions en cet instant précis de l'histoire de l'humanité. Voilà pourquoi Isaac Newton n'a pas réussi. Il fallait un ordinateur pour lire le code.
(...) Rips (Eliyahu Rips) a découvert le code dans la version originale hébraïque de l'Ancien Testament, celle que Dieu a, selon les Écritures mêmes, données à Moïse sur le mont Sinaï, il y a trois mille deux cents ans.
Rips a supprimé tous les espaces entre les mots, transformant l'intégralité du texte biblique original en une unique séquence continue... Il a mis au point un programme informatique capable de chercher dans cette longue séquence des informations nouvelles. (...)
Les évènements codés dans la Bible sont écrits en hébreu, la langue dans laquelle la Bible elle-même a été rédigée et qui est également celle que parlent aujourd'hui les Israéliens.
Les années indiquées dans le code sont celles du calendrier hébreu ancien, qui commence aux temps bibliques, soit trois mille sept cent soixante années avant le calendrier moderne.
Cela fait presque deux mille ans que de grands esprits débattent de ce paradoxe apparent : comment l'homme peut-il disposer du libre arbitre si Dieu sait tout à l'avance ?
Le code de la Bible conduit à se poser la même question, que l'on soit croyant ou non. Et la réponse paraît rejoindre ce qu'affirme la science : il n'existe que des probabilités, il n'y a pas un seul avenir possible, mais plusieurs.