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sur 711 notes
Au décès de leur père, Philippe, Matthieu, David, Garance et Solène, se réunissent à la Casa Belasko, avant les funérailles et la lecture du testament. Beaucoup de tensions, de jalousies, de non-dits ont désuni ces cinq frères et soeurs… Et une lettre laissée par leur père, lue dans une maison transformée en forteresse, va ouvrir des vannes qu'il aurait mieux valu laisser fermées…
D'après ce que j'en avais entendu, c'était le thriller à lire en ce début d'année. Je dois admettre qu'au bout des soixante premières pages, j'ai failli arrêter, par ennui… L'exposition, la mise en place étaient trop lentes, à mon goût.
Et puis, d'un seul coup, l'histoire se précipite, et ça ne s'arrête plus : de fait, on va de rebondissements en rebondissements ; on peut relever quelques petites incohérences parfois, notamment dans les récits et la construction des personnages. Mais, au final, beaucoup de qualités : les points de vue adoptés, celui de la maison que j'ai trouvé poétique, celui de la seule personne rescapée de cette histoire, dont on ignore tout jusqu'au dénouement ; le huis-clos étouffant, l'originalité de l'intrigue…
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Ayant adoré le premier roman de l'autrice, L'Art du meurtre, je me suis jetée avec avidité sur le sang des Belasko, pressée de découvrir où l'esprit diaboliquement tortueux de Chrystel Duchamp allait cette fois nous emmener. Et je peux d'ores et déjà vous dire que je n'ai pas été déçue du voyage !

Toutes les familles ont leurs petits, voire grands secrets, et quelques squelettes dans le placard, mais la famille Belasko pousse le concept à un niveau difficilement imaginable ! Alors, rien d'étonnant à ce que la situation devienne explosive quand les cinq frères et soeurs se retrouvent dans la maison de leur enfance suite au décès de leur père, survenu six mois après le suicide de leur mère. Deux drames rapprochés qui auraient pu pousser ces cinq adultes à faire table rase du passé. Mais c'était sans tenir compte du caractère rancunier de cette famille, des petites mesquineries jamais pardonnées, des trahisons injustifiables, des secrets peut-être pas si bien gardés que cela, des jalousies tenaces, et de tous ces non-dits qui ont fini par semer la discorde au sein d'une fratrie pourtant très unie par le passé. Et ce n'est pas une lettre faisant mention d'une nouvelle fracassante qui risque d'apaiser les tensions…

Avec ce roman, Chrystel Duchamp répond à cette question obsédante que l'on se pose quand on s'éloigne de personnes dont on a été proches, au point parfois d'en venir à ne plus les supporter : comment en est-on arrivé là ? Comment des enfants qui ont une enfance heureuse, entourés par des parents aimants, et ayant vécu dans un certain luxe, ont pu en arriver à se détester autant ? Les parents, en favorisant certains plus que d'autres, n'ont-ils pas participé à cette débandade des sentiments ? Cela n'explique pas tout, bien sûr, mais ayant personnellement vite pris en grippe Solène et sa manière de considérer ses traitements de faveur comme chose acquise et normale, j'aurais tendance à croire que oui. Mais comme dans tous les drames familiaux, la situation ne saurait être aussi simple : il semble y avoir quelque chose de fondamentalement mauvais et vicié chez les enfants Belasko…

Pourtant, au cours d'une soirée qui changera la vie à la Casa Belasko à jamais, on sent encore quelques sentiments fraternels, réminiscence d'un passé heureux et insouciant. Quelques bribes de lumière dans cette maison coupée du monde extérieur, témoin nostalgique du bonheur passé, avant de devenir le témoin silencieux, mais pas consentant, d'un drame annoncé.

Une maison qui tient ici un rôle particulier et qui, d'une certaine manière, faire preuve de cette humanité qui tend à avoir déserté le coeur et la conscience de Philippe, Mathieu, David, Garance et Solène. Alors que le temps s'écoule au rythme des ressentiments, l'autrice nous plonge sans faux-semblant dans l'âme noircie de ses protagonistes tellement égocentriques, vaniteux, vindicatifs et ingrats qu'ils se révèlent bien incapables de compromis, de concession et d'une once de compassion… Et ceci même envers des personnes de leur propre sang avec lesquelles ils ont pourtant vécu des jours heureux et emplis de tendresse. de fil en aiguille, et à mesure que les barrières de chacun tombent, on comprend comment ces frères et soeurs en sont venus à développer de bien vils sentiments. Pêché d'orgueil, de jalousie, de luxure… plus de doute, le mal est en la demeure, mais il ne prend pas la forme que l'on aurait pu craindre.

Si vous espérez trouver chez les Belasko des personnages touchants, vous risquez la déception, mais si vous acceptez de vous plonger dans ce qu'il y a de plus vil chez les humains, vous allez adorer ce huis clos familial addictif qui, dans une ambiance de tension extrême, aborde avec brio des thèmes divers et variés, et soulève cette question intéressante de l'inné et de l'acquis. Sans vous en dire plus, j'ai également adoré cette impression de prophétie auto-réalisatrice qui plane sur l'ombre des Belasko, nous prouvant qu'en se focalisant sur le passé, on tend parfois à devenir le propre artisan de son malheur !

L'autrice, d'une main de maître et avec un sens diabolique de la mise en scène, happe l'attention de ses lecteurs dès le prologue, en donnant la parole à un personnage atypique, et en nous faisant vite comprendre que va se jouer sous nos yeux un drame familial violent, mais non dénué de réalisme. Un drame en cinq actes qu'il est impossible de lâcher : on souhaite avec une curiosité presque malsaine découvrir tous les tenants et aboutissants d'une histoire teintée de mystères, de secrets, de cachotteries, et empreinte d'une violence implacable et aveugle qu'il semble impossible d'endiguer. Mais les frères et soeurs Belasko, sont-ils seuls responsables de leur malheur ou quelque chose qui les dépasse est intervenu pour faire de la Casa Belasko le témoin meurtri d'un drame familial dont personne, ou presque, ne ressortira indemne ?

Pour ma part, et c'est assez rare pour que je le mentionne, j'ai été surprise par les révélations finales qui m'ont poussée à repenser l'action depuis le début, avant de conclure que Chrystel Duchamp a le don de construire des intrigues, en apparence simples, mais qui cachent en leur fondement des secrets que seuls les esprits les plus tortueux, ou peut-être les plus attentifs, sauront démasquer. Je ne suis pas l'un d'entre eux et tant mieux, parce que j'aime cette impression d'avoir été baladée du début à la fin par une autrice qui sait où elle veut aller et n'hésite pas pour cela, à semer la discorde chez ses personnages, et le doute chez ses lecteurs !

Machiavélique et cynique, mais humainement réaliste, du grand Chrystel Duchamp, assurément !
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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Chrystel Duchamp est l'auteur de « L'art du meurtre » sorti en 2020 aux éditions l'Archipel, roman dont la blogosphère avait énormément parlé au moment de sa parution. Je dois ma demande de lecture sur Netgalley à Caroline Vallat, libraire aux 100.000 volts qui avait compris que ce roman était fait pour moi. Un décès, une fratrie de 5 enfants, un secret, un héritage, un passé qui laisse des traces, quelques règlements de compte et surtout, une maison comme personnage principal. Une maison qui raconte l'existence de ceux qui ont vécus sous son toit, des secrets d'alcôve, des révélations. « Les rancoeurs avaient pris la place des chamailleries. Ce n'était plus des histoires de jouet volé ou de destins gribouillés. C'était plus dur, plus violent. Mes enfants étaient devenus des adultes. Jaloux. Vénaux. Méchants. »

J'ai toujours été fascinée par les histoires de famille, les défaillances, les secrets, les non-dits. Peut-être est-ce dû aux résonnances de ma propre histoire familiale dans laquelle mon grand-père a eu lui aussi 5 enfants. Comme la mère dans « Le sang des Belasko » il est décédé un 18 janvier, laissant derrière lui une demeure dans laquelle j'ai passé les meilleures années de mon enfance. Imaginez un peu ma surprise en lisant les premières pages… Comme dans l'histoire de ma famille, trois garçons, deux filles… de quoi me donner la chair de poule.

Ce roman, telle une pièce de théâtre en 5 actes se joue sous nos yeux. le chef de famille meurt et convoque ses enfants dans la maison pour ouvrir son testament. Mais les enfants innocents sont devenus des adultes pleins de ressentiments, de souvenirs qui ont laissés des traces, de blessures intimes, de rancunes mortifères. Philippe, Mathieu, David, Garance et Solène n'ont de fratrie que le nom. le décès du père a réveillé les animosités et a mis en exergue tout ce qu'on déteste chez « l'autre ».

La construction est diabolique. Sous la forme d'un roman choral, chaque chapitre est consacré à un personnage, mais vu par les yeux de l'un de ses frères et/ou soeurs. Cette manière de faire, originale, très à propos, donne du rythme, mais permet surtout d'analyser « la vérité » du passé sous des prismes différents.

Le personnage principal de ce roman est évidemment la Casa, cette maison de famille qui a vu grandir les enfants. Aujourd'hui, elle est dotée d'une voix et témoigne à la fois du passé, mais aussi d'une atmosphère présente extrêmement pesante. Elle est également équipée des instruments de domotique les plus élaborés ce qui va lui permettre d'agir en transformant les lieux et les retrouvailles des enfants en sombre huis clos. « La Casa était devenue une forteresse. Dans laquelle personne ne pouvait entrer. de laquelle personne ne pouvait sortir. » Cette maison a une âme. « La Casa. Elle seule connaît la vérité. Elle doit être si triste à présent. »

Tous les éléments sont réunis pour faire de ce week-end de recueillement, un joli moment de règlement de compte. Chrystel Duchamp prend son temps pour relater l'histoire personnelle de chaque personnage afin d'en extraire les failles, les animosités et parfois même les haines. La noirceur est mise sur le cercle familial dans sa globalité puisqu'on ne choisit pas sa famille, mais qu'il faut composer avec elle en faisant des compromis ou, au contraire, en laissant couler. Mais comment faire lorsque de vieux ressentiments vous empêchent d'avancer ? Comment s'en débarrasser ? Certains choisissent de vider leurs sacs, d'autres de se taire « Je n'ai rien à te dire. Et la mort de notre père ne changera rien au mépris que tu m'inspires. », mais pour combien de temps ?

Dans le panel des émotions humaines déjà évoquées, l'auteur met en lumière la jalousie et l'envie qu'elle secoue dans un immense chaudron en rajoutant les secrets et les non-dits. « Les émotions non exprimées ne meurent jamais. Elles sont enterrées vivantes et libérées plus tard de façon plus laide. » Jusqu'où un être humain est-il capable d'aller par jalousie ? Si les dialogues très percutants sont évocateurs d'émotions longtemps cachées, les silences sont quant à eux suffocants. Il y a ce qui est dit, et ce qui ne l'est pas. L'absence de mots c'est aussi un moyen de dire quelque chose, mais le ressenti est plus éprouvant.

Le roman est truffé de suffisamment de belles révélations pour tenir le lecteur en haleine jusqu'au bout. Honnêtement ? Il n'en avait pas besoin. Chrystel Duchamp a l'art et la manière de vous harponner dès les premières pages, la Casa et les personnages se suffisent presque à eux-mêmes. Lorsque vous parviendrez au dénouement, vous penserez à moi : cette femme est absolument machiavélique !

Je salue ici la réactivité de Mylène des éditions Archipel qui a bien compris que lorsqu'un titre est demandé par un blogueur sur Netgalley, c'est qu'il a envie de lire le roman tout de suite et pas dans 3 semaines, et qu'il a le temps de le faire au moment où il en fait la demande. L'acceptation est toujours accompagnée d'un petit mail fort gentil qui commence par dire « merci ». Je sais, dans notre monde 2.0 ça n'a l'air de rien… mais je vous assure que c'est rarissime et que j'y suis très sensible. Merci Mylène.

#LesangdesBelasko #NetGalleyFrance

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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Mon premier rendez vous avec l'auteure.
Quelle claque!
Déjà faire de la maison une personne à part entière,j'ai trouvé ça original et excellent.
C'est d'ailleurs elle qui ouvre le bal et le termine.
La tragédie qui va se jouer à l'intérieur est rondement bien mené.
Dès le début,on sait qu'il n'y a qu'un survivant mais lequel?
Chaque chapitre est dédié à un des frères ou soeurs et entre 2 passages cruciaux le fameux rescapé mystère qui raconte son histoire de son lit d'hôpital.

Une plume addictive, de la sournoiserie,de la jalousie,des faux semblants font de ce roman une vraie tuerie sans mauvais jeu de mots 😜

Laissez vous tenter par l'histoire des Belasko ^^
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Après la mort de leur père, les enfants, Philippe, Mathieu, David, Garance et Solène se retrouvent à la maison familiale, isolée, sans connexion téléphonique et Internet pour une ultime soirée afin de lire la dernière lettre de leur père. Une soirée où leur père les informe que leur mère ne s'est pas suicidée.

J'ai rencontré l'autrice au quai du polar à Lyon. Après quelques échanges sur ces livres car je n'avais, encore rien lu de sa part, j'ai fait le choix pour ce huis-clos. Et j'ai fait le bon choix car j'ai avalé ce roman choral en deux jours. Chaque chapitre est dédié à l'un des membres de la fratrie et nous découvrons que tout n'est pas rose. La jalousie, les manipulations, la rancoeur et les secrets de famille font surface et cette soirée tourne au drame. Et je vous laisse en découvrir la raison.
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C'est encore un one shot pour ce thriller et quel turn-page !
Un pugilat familial sanguin et psychologiquement intelligent.

Comme à son habitude @chrystel.duchamp nous amadoue avec sa plume douce et pragmatique, nous présente ses personnages si appréciables d'une sorte qui nous fait ressentir de l'empathie et de la compassion.
Ne vous y méprenez pas nous ne sommes pas dans un desperate housewife pour ado, ceci n'est que pour mieux nous faire voltiger dans un melting- pot émotionnel où tout nos repères sont balayés, tués et manipulés !
Une histoire de fratrie où personne ne se serait douté de cette finalité désarçonnée par le machiavélisme de l'auteure !!!
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Repas de famille, rancoeur et secrets… Alors, tentez ?

Ce livre que j'ai dévoré à la vitesse de la lumière est une pure dinguerie ! J'ai accroché direct avec la plume de Chrystel comme avec le premier roman que j'ai découvert : Délivre-nous du mal (que je vous recommande par ailleurs chaudement. )

Nous allons à la rencontre de la famille Belakso, lors de la réunion pour l'héritage de famille (on connaît bien est parfois on pourrait se rapprocher de cette situation :')) ) Tout pourrait se passer sans encombre sauf que voilà… Bah on parle d'héritage les gars.

Dès lors le repas et les retrouvailles qui jusqu'ici hormis quelques pics se déroulent bien. Souvenirs de leur mère décédé 6 mois plus tôt, de leur père et de l'enfance qu'ils ont partagés...
Mais c'est lors de la découverte de cette lettre faite par leur père pour partager l'héritage que tout se complique.
Entre secrets révélés, rancoeur du passé et jalousie, voici ici une véritable tuerie.

Oui, oui, rage et jalousie ne fait pas bon ménage. Mais surtout, pourquoi la famille se détruit-elle ainsi ? Que se passe-t-il pour que la famille s'en veuille à ce point ? Pourquoi le père était si secret concernant le passé de la Famille Belasko ? C'est ce que nous permet de découvrir l'autrice avec une plume addictive et tranchante au possible.

Je ne vous en dit pas plus au peur de trop spoiler, mais lisez-le !!
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En général je n'arrive pas à finir un livre que je n'aime pas. Or j'ai dévoré celui-ci en 2 jours. Dire que l'intrigue est cousue de fils blancs est bien en-dessous de la vérité. C'est à la fois téléphoné et complètement invraisemblable. Tout : les personnages et leurs côtés excessif et caricatural, leurs rapports totalement hystériques, la situation: cette famille de vigneron richissime avec cinq enfants... Pourquoi en faire cinq quand la famille est aussi tordue? Rien ne colle, tout fait faux... Et l'écriture est pleine de poncifs…
Et pourtant, on ne peut s'empêcher de continuer la lecture comme on suit un soap à la télé. Car regarder une famille déchirée par l'amour, la jalousie, la haine, la rancune... c'est jouissif. L'autrice a bien dosé les ingrédients. Un peu d'Agatha Christie pour le huis-clos mortifère façon Dix petits nègres. Ajoutez à cela des personnages dignes de Dallas : le patriarche, le fils violent, la petite dernière gâtée et capricieuse. Pour faire dans l'ère du temps : un peu de fantastique: une maison hantée façon Les Autres? Et que fait l'autrice de ces ingrédients archi-rebattus? Une nouvelle recette originale? Non un plat très ordinaire qui n'apporte pas grand chose... un petit plaisir coupable pour cerveau fatigué.
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Prenez une grande bouffée d'air voir carrément une assistance respiratoire avant de pénétrer dans ce bouquin.
Un patriarche qui décède, une immense bâtisse, des vignes renommées et une immense fortune à se partager entre ses 5 héritiers.
Une lettre laissée par leur père (ou pas...) les invitant à tous se retrouver au sein de la maison qui les a vus grandir pour la répartition de l'héritage.
"La petite maison dans la prairie", enfin plutôt "la grande maison dans les vignes", ça s'arrête là, point d'accolades affectueuses, point de " on s'appelle et on se fait une bouffe tous ensemble", très rapidement les jalousies, trahisons, lâchetés et les rancoeurs qui en découlent vont remonter à la surface, percer le vernis social et les plus vils instincts vont se révéler en 1 seule nuit cloitrés dans la maison, maison victime d'une panne générale, plus un code d'accès et donc de sortie ne fonctionne, plus de téléphone (une panne générale, vous êtes sûrs?)
Les plus vils instincts de l'Homme mais aussi le sang des Belasko, y'a pas que la couleur des yeux ou les capacités en maths que l'on se transmet de génération en génération dans cette famille.
Chaque membre de la fratrie intervient à tour de rôle dans le roman et un autre personnage nous livre ses impressions et ses secrets, quelqu'un qui est là depuis le début, qui a tout vu et qui sait tout: la maison elle même, la Casa Belasko; l'exercice peut sembler quelque peu casse-gueule mais c'est très bien amené et nécessaire au récit.
Une fin surprenante, une histoire haletante de bout en bout, un récit glaçant sur la perversité humaine, ne vous fiez pas aux apparences, le monstre n'est pas toujours là où on croit le voir....



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Construction au poil. Intrigue bien pensée. Réparties cinglantes. Style accrocheur.
Et la Casa, cette héroïne si originale...
J'ai passé un excellent moment de lecture. Je me suis procuré l'Art du Meurtre, histoire de continuer dans l'univers de Chrystel.
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