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Citations sur La Fiancée américaine (51)

elle se sentait excitée comme un ministre conservateur chez les effeuilleuses. p.864
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les Allemands disent; sich zusammentreissen, se ressaisir. Et cette ressaisie du soi est chez eux la chose la plus attendrissante du monde.
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Mais c'est souvent à la faveur d'un hasard que les hommes deviennent des héros.
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… jusqu’en 1945, la malariathérapie était utilisée contre la démence. Je ne sais pas ce qu’on se disait. Peut-être que les fièvres affaiblissaient les patients à un point tel que la folie devenait une fantaisie au-dessus de leurs forces. Vous devez comprendre encore autre chose. Un diagnostic de schizophrénie en 1932, ça restait douteux. À cette époque. il était encore possible de faire enfermer une épouse chiatique.

(Marchand de feuilles, p. 421)
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Les bras de la religieuse tombèrent sur le plancher. Irène les ramassa et les lui rendit tout en continuant.
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- Mesdemoiselles, comme vous le savez, la Sainte-Enfance vous permet de sauver, par votre générosité, l'âme d'un petit chinois autrement promise à l'enfer. En achetant un chinois, vous permettez à nos missions étrangères de le baptiser et de lui donner ainsi une âme. Il restera par sa race, hélas !, chinois, mais il aura au moins une âme chrétienne et un nom bien chrétien, ce qui lui évitera de brûler dans les feus de l'enfer comme certaines.
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À Fraserville, sur le point de devenir Rivière-du-Loup, la nouvelle de l'arrivée de l'américaine se répandit comme la syphilis dans un bordel berlinois.
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Comme quoi il est moins dangereux de s'offrir comme proie que de chasser. On ne sait jamais ce qu'on peut attraper.
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Comme quoi il est moins dangereux de s'offrir comme proie que de chasser. On ne sait jamais ce qu'on peut attraper.
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Pauvre Denise qui jamais ne saurait que la destinée du Cheval et de ses descendants est prise en charge par des forces qui dépassent l’entendement d’une chroniqueuse et qu’il y a des moments où il ne s’agit pas d’être pour ou contre, mais d’avancer avec le vent qui vous pousse.
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