Je n'avais jamais rien lu de
Marguerite Duras, un peu sans doute à cause de la réputation que lui avait faire
Henri Jeanson qui l'appelait malicieusement Marguerite Durasoir. J'ai vu
Hiroshima mon amour dans ma prime jeunesse et n'en ai pas gardé un souvenir impérissable. J'ai lu
Moderato cantabile avec certes un a priori mais n'y ai pas trouvé grand chose pour me sortir de mon ennui anticipé.
Henri Jeanson avait le sens de la formule et je reprendrais volontiers à mon compte son autre célèbre formule. J'ai lu ce roman d'un derrière distrait ...
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