Le deuxième tome de la sage de la sage-femme et herboriste Marthe est tout aussi palpitant que le premier. L'auteur a un don pour donner vie et mort aux personnages. Certaines scènes de violence sont un peu répétitives. On reste néanmoins suspendu au sort de Marthe et du chevalier Christian. Richenza est une véritable Cruella et l'ambiguïté de Ekkehart est intéressante. Elle met en lumière les contradictions du Moyen-âge entre vertus et violence.
Commenter  J’apprécie         00