Au Moyen Âge et à la Renaissance, le rose reste un rouge pâle. Il n'en est pas insignifiant pour autant car il s'illustre dans des portraits majestueux, privilège des plus riches, se parant de nuances éblouissantes. Il peut se faire viril, en cousin du rouge, ou embellir des fleurs, si essentielles dans l'iconographie religieuse, tout en aidant à la modulation des carnations.