Elle comprend que ces médisances, ces calomnies, qui ne procèdent que de la jalousie, établissent implicitement sa supériorité, que les Zoé, les Augusta, vieilles et flétries, ne lui pardonnent pas d’être jeune avec éclat, que les femmes dédaignées lui en veulent d’attirer les regards des hommes, et que toutes celles qui sont passées à côté de la vie s’offensent de sa raisonnable audace à vouloir vivre.
Les affaires, c’est comme une guerre ; l’adversaire, le plus souvent, est une abstraction, on ne lutte pas contre lui, mais contre une entreprise concurrente, pour assurer l’expansion de la sienne, à soi, c’est-à-dire sa survie, car toute entreprise qui ne s’étend pas périclite.
Les affaires, c’est comme une guerre, on y triomphe par la ruse et le secret, et c’est parfois aussi cruel, mais être homme, c’est être cruel, dévorer pour n’être pas dévoré, abattre pour n’être pas abattu : c’est ça qui m’a fait ce que je suis devenu, c’est ça qui me conserve.
Pour moi, la médecine, c’est l’étude de l’homme, corps et âme, raison et folie, lumière et ombre, parce qu’au fond du mystère de l’homme, il y a tout le mystère de l’univers. C’est ça qui me passionne…
Chez les gens bien, arriver à l’heure c’est arriver en retard juste ce qu’il faut pour qu’on n’ait pas eu l’impatience de vous attendre…