Le cercle des 17, tome 7 : L'ultime étincelle

Ce sont les périodes les plus noires qui nous offrent les toiles sur lesquelles nous pouvons peindre notre grandeur.

Quand on fait du funambulisme sans filet, mieux vaut ne pas connaître la hauteur exact du fil.

- C'a été un plaisir de mourir avec toi, mon ami. Enfin, pas le fait de mourir en soi, mais d'être près de toi quand c'est arrivé.
- Non. C'a été un plaisir de vivre avec toi.

Si tu n'aimes que ceux qui t'apportent de bonnes nouvelles, tu n'aimeras jamais ceux qui sont dignes de ta confiance. Car ceux qui t'aiment te diront la vérité, et la vérité n'est pas toujours heureuse, mais c'est chaque fois une bénédiction.

Mais surtout, nous ne retrouverons jamais les amis que nous avons perdus.

Je m'appelle Michael Vey au tout début je vous avais dit que mon histoire n'était pas banal franchement pas et aussi que je souffrais de la maladie de Gilles de la que j'étais électrique. Vous m'imaginer sans doute pas où ça allait nous mener. Moi non plus. Et puis j'ai été embarqué dans cette histoire. J'ai failli laisser ma peau. Quelle aventure.

Vous voyez tout ce que j'ai enduré m'enseigner une leçon importante.

Peut-être qu'à vous aussi, qui sait ? Il m'a fallu faire le tour du monde pour la prendre mais ça en valait la peine. C'est leçon est la suivante: être différent ne croyez pas ce que l'on vous raconte en vrai ça déchire !

Que votre vie soit électrisante, mes amis !

- Une fois que tu es mort, tu es libre. Il n'y plus souffrance, ni Elgen, ni Hatch.
- Ni peur.
Jack et Ostin p414