Il fallait vivre, "vivre du vivre". La vie ne pouvait se résumer à cette misère crevarde. Elle réfléchit, chercha tout au fond de dedans-elle ce qu’elle pouvait faire. Son cœur étouffait, à l’étroit dans sa poitrine.
La pensée surgit, rapide et limpide comme l’éclair : un jour, elle écrirait tout. (p.182)
Et à chaque battement du cœur de Mémé Rita naissaient des hommes. Toutes sortes d’hommes: des noirs, des blancs, des jaunes, des rosés, des pâles …