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3,82

sur 1619 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
César s'interroge une fois encore sur la façon de venir à bout de l'irréductible village gaulois lorsque le médecin-chef de ses armées, Vicévertus, lui propose d'utiliser la philosophie de l'iris blanc, à base de pensée positive. César accepte de l'envoyer expérimenter sa solution sur place. ● Si l'on est content de retrouver les personnages mythiques de Goscinny et d'Uderzo, on ne peut que constater la faiblesse du scénario, qui bifurque en cours de route sur l'enlèvement de Bonemine, et ne fait que recycler les albums le Devin et La Zizanie, en moins bien. ● Les jeux de mots ne sont pas formidables non plus, pour la plupart. ● La satire de la pensée positive et des bobos parisiens est assez amusante, certes, mais ne suffit pas à faire un album qui manque de charpente. L'attaque contre la nouvelle cuisine aurait été d'actualité dans les années 70… ● Si les dessins de Didier Conrad sont toujours très bien, je trouve que Jean-Yves Ferri faisait bien mieux que Fabcaro pour le scénario et les dialogues. Une déception.
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Ma bibliothécaire préférée
- Tiens, lis-le en vitesse avant qu'on ne le mette en rayon
- Tu sais, les reprises, bof, pas ma tasse de thé
- Les critiques sont bonnes, allez, vas-y
Ok, me voilà installée, un peu comme à la Fnac, il y a fort fort longtemps, assise sur la moquette, à lire une BD à l'arrache.
Sérieusement, les critiques sont bonnes ???
Le scénario est une resucée de la zizanie,
Les jeux de mots ne m'ont pas arraché le début d'un sourire,
Et, sous prétexte de dérision, Fabcaro force le trait et tombe dans le caricatural
Les dessins sont bons mais ça ne suffit pas.
Ce qu'on attend d'un Astérix, c'est un moment de plaisir et on se retrouve avec un produit formaté, qui plaira au plus grand nombre et qui fera un cadeau facile et pas cher à glisser sous le sapin.
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C'est plat…

Même si les années ne se ressemblent pas, j'ai toujours plaisir à découvrir le nouvel Astérix et ce, en sachant bien que les derniers ne sont pas vraiment à la hauteur des premiers :-p

Celui-ci, j'ai été l'acheter le jour de sa sortie et lu dans la foulée et c'était juste une immense déception. Pour ne pas écrire une critique sur le vif, j'ai préféré attendre et le relire sans cette excitation qui précède une parution attendue. Et bien, pour le coup, j'ai le même ressenti et c'est un encore plus triste.

Pas de gags à répétition, pas de fous rires, juste une grande tristesse de voir nos gaulois accablés de la platitude de notre société qui surfe sur le vide. Et comme je n'ai rien trouvé dans le texte de particulièrement intéressant, je me suis concentrée aussi sur le dessin et là, même constat, les personnages sont botoxés, ils n'ont plus d'expressions et c'est désolant.

C'est tout à fait ça, une société lissée, moutonnée est ennuyeuse et n'amuse peut-être que les influenceurs de vide qui y trouvent leur compte...
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Ferry et fabcaro sont d'excellents scénaristes, alors pourquoi ratent-ils les scénarios d' Astérix ? Depuis la mort de Goscinny, les Astérix sont devenus fades et sans intérêt. Je ne comprends pas qu'il s'en vende encore des millions. courez acheter des livres de ferry et de Fabcaro , pas cet Astérix. J'ai mis 2 étoiles pour les excellents dessins.
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Le dessin: rien à dire, la tradition est respectée.
Le scenario: bof, il ne s'est pas cassé la tête.
Mon impression : plutôt désagréable, j'essaye de trouver pourquoi.
Il me semble que les "astérix " du temps de Goscinny-Uderzo se moquaient gentiment de quelques traits des héros et des régions visitées; ici il semblerait que la caricature est un but en soi, ou carrément le dénigrement même.
La cible = les bobos parisiens.
Je ne suis ni "bobo" ni parisienne, je n'en connais même pas personnellement, mais c'est tellement facile de les stigmatiser dans le but de disqualifier certaines idées et certaines revendications (au niveau par exemple de la qualité de l'alimentation);
bref, on se croirait dans un exercice de propagande de l'extrême droite, lorsque leurs "intellos" essayent de convaincre qu'ils représenteraient les vraies valeurs "populaires".
Mon avis: Achat à éviter ...
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Je suis venue, j'ai lu et j'ai... été déçue.

J'avais apprécié les autres BD de ces deux artistes et j'avais trouvé qu'ils avaient repris les dessins et l'esprit de la BD avec brio. Mais c'était pour les BD précédentes.

Ici, même si je reconnais la même qualité, l'humour qui reste et la caricature de BHL (Bernard-Henri Levy), l'idée est sympa, mais...
Pour ceux qui connaissent, j'ai trouvé que c'était une reprise de l'idée de le devin, un numéro paru en 1972
https://asterix.com/la-collection/les-albums/le-devin/
Donc, j'ai été déçue, puisqu'il y a eu gros recyclage d'une idée d'un album précédent.
Avant, au moins, on avait de l'innovation. J'aime l'idée de la bienveillance et son exploitation, c'est vrai qu'elle est chouette.
Elle a été atténuée par ce shéma, connu dans un autre numéro.

Dommage.
Lien : https://youtu.be/aiarV9OaYEU
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Il s'agit du quarantième tome de la série Astérix qui est paru chez Hachette en octobre 2023.
Le scénario est de Fabcaro et les dessins de Didier Conrad.

Dans cet opus, nous retrouvons César et son obstination à vouloir anéantir nos irréductibles Gaulois.
Vicévertus se propose alors d'appliquer sa méthode dite de l'Iris blanc. Entre bonimenteur et gourou, il parvient à faire une percée dans le village mais bien sûr c'est sans compter sur l'intervention d'Astérix et d'Obélix.

Je suis consciente que cet album fait l'unanimité mais en ce qui me concerne le charme n'a pas opéré.
Les dessins sont vraiment très bien et fidèles à la qualité des opus précédents mais j'ai trouvé le scénario plutôt pauvre et le personnage de Vicévertus m'a semblé flou tout comme sa fameuse méthode de l'Iris blanc. Grâce à cela, Bonnemine a néanmoins pu être mise en valeur dans ce tome et cela est plutôt positif.
J'ai également trouvé les références et les différentes 'vannes' très lourdes Bref, je suis passée complètement à côté de cet album. Dommage.





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J'ai eu l'occasion de lire le dernier album des aventures d'Astérix et honnêtement, je n'en garderai pas un souvenir inoubliable.

César est désespéré par le manque de motivation de ses troupes. Il décide d'engager Vicévertus (qui s'inspire beaucoup de BHL), une sorte de philosophe-gourou créateur de l'Iris blanc, un courant de pensée positive qui, à l'aide de phrases poétiques et motivantes, permet de remotiver n'importe qui et de prendre confiance en soi. Vicévertus va devoir se rendre en Armorique pour redonner du courage aux troupes romaines afin de vaincre enfin le village d'irréductibles gaulois.

Cet album veut parodier et se moquer de la mode de la pensée positive qui envahit nos vies depuis un certains temps et qui est censée nous aider à voir la vie du bon côté. Si l'idée est excellente et que certains passages sont réussis, je me suis beaucoup ennuyée et je n'ai pas été sensible à l'humour de l'album qui repose beaucoup (trop) sur des jeux de mots et clins d'oeil à notre société.

Toute l'action est centrée sur Vicévertus, un personnage particulièrement antipathique et nos deux irréductibles gaulois restent en arrière-plan et n'ont qu'un rôle secondaire.
Si l'intrigue entourant Bonnemine est bien trouvée, la résolution m'a fait grincer des dents. Je sais que tout le texte est ironique et à prendre au second degré mais j'ai trouvé que c'était trop.

Côté personnages, Astérix est égal à lui-même, Idéfix sert seulement d'élément de décor dans les différentes cases et Obélix est ici d'une stupidité abyssale et particulièrement inutile. Il ne comprend rien à rien, se contentant de suivre Astérix bêtement tout au long du récit et parle uniquement pour être à côté de la plaque. Il a bien sûr toujours été particulièrement naïf mais dans cet album le trait est encore plus forcé et je l'ai simplement vu comme une carricature de lui-même. Car Obélix c'est surtout un personnage attachant et finalement comprenant mieux la situation que les autres personnages plus sages.

En conclusion, entre un humour inexistant, un abus de jeux de mots et de clins d'oeil, des héros relégués au second plan et caricaturaux, je suis passée totalement à côté de cet album.
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Pas emballée par ce nouvel Astérix.
Je l'ai acheté en raison de la présence de Fabcaro dans le texte....Déception! Je n'ai pas goûté l'humour de celui qui m'a tant fait rire dans Zaï Zaï Zaï Zaï ou bien et si l'amour c'était aimer...
Bon il faut dire que je n'ai jamais été une grande lectrice d'Astérix!
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Le début est plutôt réussi, puis très vite l'absence d'histoire se fait sentir … à la recherche de Bonemine ? le devin + la zizanie + les lauriers de Cesar version moderne et « positive » on a une grosse impression de déjà vu. Pas convaincu du tout par ce nouvel opus
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