Bien que préférant nettement, chez
René Fallet, la veine du Beaujolais ("
Les vieux de la vieille", "
La soupe aux choux", "
Un idiot à Paris"...) je ne dédaigne pas le veine du Whisky, celle des amours difficiles et de la mélancolie, à laquelle il est habituel de rattacher "la trilogie sentimentale" : "
L'amour baroque", "
Y a-t-il un docteur dans la salle ?", "
L'angevine"…
«
L'angevine », troisième volet de la trilogie, met donc un terme aux amours (baroques) de Régis Ferrier. Tour à tour violent, goguenard, romantique, lucide, tendre ou émouvant,
René Fallet y met les tripes...
Désespérant, me direz-vous ? Telle est la veine du whisky ; souvent.
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