Un intrus s'est immiscé dans ma PAL. Ma main s'est posé dessus. Un sentiment de déjà vu et au bout de quatre-vingts pages, j'ai compris que j'avais déjà lu «
Le cimetière des Saints » de
Richard Paul Russo. J'avais deux livres de
Philip José Farmer en attente et j'ai opté pour le plus ancien : «
L'univers à l'envers ».
Je suis passé complètement à côté. À vrai dire, j'ai lu la quatrième de couverture pour comprendre un peu l'histoire, sans réellement rentrer dedans. C'est dommage, car je me faisais une joie de retrouver
Philip José Farmer après le coup de coeur «
Les amants étrangers ».
Quand on parle de l'enfer, on pense à la « divine comédie » de
Dante Alighieri (ouvrage que je n'ai pas lu).
Clive Barker a, lui-aussi, sa version («
Les évangiles écarlates »), bien plus trash. Quoi qu'il en soit, il faut avouer que
Philip José Farmer est un excellent écrivain, malgré mes difficultés à m'immerger dans l'histoire. Il parvient à fournir des passages à réflexion, notamment sur la religion, l'un des points fort de l'auteur. le récit est dynamique. À cela,
Philip José Farmer a parsemé, ici ou là, quelques éléments mythologiques. Mais, il faut le suivre, le bougre, dans ce dédale d'égouts. Les personnages m'ont laissé de marbre.
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