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EAN : 9782364083172
56 pages
Fondapol (01/03/2024)
4.5/5   1 notes
Résumé :
« Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ». Cette formule de Camus, bien souvent citée, nous rappelle l’importance des mots. Si la question de la mort programmée occupe depuis quelques mois une place médiatique importante, elle s’inscrit dans de subreptices glissements sémantiques qui génèrent de graves confusions. La fin de la vie est nécessairement redoutée. L’euphémisation du vocabulaire voudrait laisser croire que la suppression des mots efface... >Voir plus
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Indéniablement, le rapt effectué sur le mot même de « dignité » par l’association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD) en a perverti la compréhension commune ; la perte de dignité s’attache aujourd’hui à décrire le ressenti de la dégradation physique. Or la dignité ne se mesure pas à cette aune. Pour le dire très simplement, la dignité n’est pas liée à l’état du corps ; il n’existe pas de dignitomètre. Inaliénable, elle est « intrinsèque à l’humanité ». Notre responsabilité commune est de permettre aux personnes devenues plus vulnérables de ne pas se sentir indignes en raison d’une dépendance accentuée.
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Notre société permissive et individualiste, valorisant avant tout
la performance, repousse ce qui dérange le fantasme d’immortalité.
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Les mots modèlent nos représentations et par conséquent notre réflexion, notre vision du monde, nos projections, jusqu’au sens de notre vie.
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