Après m'être plongée dans la vie d'Alice, à travers le prisme très vivant des rêves éveillés, plein de miroirs et d'échos brisés... sur le ton de Lewis Carroll...
De "La reine Alice" me vient à l'esprit un petit haïku :
L'autre Alice :
Miroir sans teint... Une
Cruelle lucidité au
Pays des Supplices.
Alice Dépaysée... :
"Pays des Merveilles" ?
"Jardin des Délices" ? plutôt
Celui des Supplices...
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.