Les Armes de la lumière

Un peu déçue par ce roman qui reprend les codes des précédents en changeant simplement d'époque et de héros. Comme toujours tout est très manichéen à la limite de la caricature. le final sur la bataille de Waterloo est beaucoup trop long et n'apporte pas grand chose au récit. C'est bien écrit, la narration est soignée c'est plaisant mais peut être le tome de trop pour moi.

Tout comme je n'avais pas aimé la série le siècle,je n'accroche pas à ce dernier roman à Kingsbridge alors que j'ai adoré les précédents !
Je pense que c'est une question d'époque,j'aime les livres du moyen âge et moins qd ça se situe plus près de nous et là,je ne vais même pas le finir…
Je suis déçue mais si après 400 pages,je n'accroche toujours pas,je préfère passer mon tour

Bon, Ken (tu permets que je t'appelle Ken ?), il faudrait que tu changes un peu la trame de tes histoires à Kingsbridge. Parce que j'ai eu l'impression de relire encore une fois Les Piliers de la Terre, mais en nettement moins intéressant. Les méchants puissants (sauf un ou deux) contre les bons pauvres (sauf un ou deux), on tourne en rond. Tout cela se lit sans effort car justement, on a l'impression que Ken, tu n'as pas fait d'effort.
Bon et puis c'est quoi cette manie de céder à la mode du moment : mettre des couples homosexuels dans l'histoire ! Si au moins ça servait l'histoire, mais même pas. le couple de lesbiennes, ce sont juste deux prénoms. Quand au couple homo masculin, on n'en sait pas beaucoup plus sur leur vie de couple.
C'est très bien de parler des minorités dans les romans (comme dans les films et les séries), elles ont été tellement oubliées. Mais encore faut-il le faire avec du sens, pas juste du plaqué.

Un livre avec la même rigueur historique et le style typique de Ken Follet. Malheureusement, l'histoire en elle-même est truffée de raccourcis qui nous laisse perplexe.pour ne nommer que ceux-là, Hornbeam et Will Reddick disparaissent si rapidement qu'on en reste pantois. La chute de l'histoire se fait au pas de course. Comme si l'auteur était pressé d'en finir avec certains pans de son roman, ou ne savait plus quoi en faire. Choix éditoriaux ou de l'auteur. Quoi qu'il en soit, c'est un roman de trop. Comme si
Ken Follet avait regrouper des personnages dont il n'avait jamais su quoi faire, pour les réunir dans un roman sans le souffle habituel de ses oeuvres.