C'est un émir du GIA. C'est un homme sans visage, sans nom. Appelons-le Kakar. On sait seulement qu'il a dirigé, de 1992 à 1996, un groupe de combattants dans la région d'Oran. Et qu'il a une trentaine d'années.Kakar a donc tué. Il a participé à des enlèvements, il a torturé aussi. Simple combattant puis émir, il a mené sa guerre sainte à Oran et dans les maquis algériens.Mais aujourd'hui, Kakar s'est repenti et parle. Ces pages sont donc un témoignage pour l'histoi...
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