Cette fois, l'auteur, à l'approche de la soixantaine, aborde la question du vieillissement.
Et malgré son âge, au niveau de l'humour et de l'autodérision, il est au mieux de sa forme. Avec toujours en prime cette petite pointe de cynisme.
Comme quoi, un même sujet peut être traité de manière totalement différente (référence à ma dernière lecture : «
Les vieilles » de
Pascale Gautier.
Avec
Jean-Louis Fournier, on est sûr d'au moins toujours sourire, et de passer un bon moment. Et là, ce fut vraiment le cas.
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