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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Troisième roman relatant les enquêtes d'Adelia Aguilar, médecin légiste au Moyen Âge.


Après avoir aidé Henri II à faire la lumière sur une série de crimes d'enfants à Cambridge (La confidente des morts) et avoir permis de découvrir ce qui était arrivé à sa maîtresse Rosamund Clifford (La morte dans le labyrinthe), Adelia Aguilar aspirait à un peu de tranquillité. Seulement, son art est sujet à caution, les soins qu'elle donne aux habitants ne sont pas perçus favorablement par les autorités de Cambridge, la considérant comme une sorcière… Afin d'échapper à un Consistoire (une sorte tribunal de l'Inquisition), Adelia est obligée de trouver refuge auprès d'Emma Wolvercote (voir La morte dans le labyrinthe) avec sa fille, Allie ; son protecteur et ami Mansour et sa domestique et amie, Glytha.
Malheureusement, la tranquillité est vite mise à mal par Henri II requérant son expertise de toute urgence. Deux corps ont été exhumés sur les terres de l'Abbaye de Glastonbury et ceux-ci pourraient être les restes d'Arthur et Guenièvre. Adelia doit donc se rendre sur les lieux afin de mener son enquête et confirmer ou non cette hypothèse. Seulement, cette enquête se révélera pleine de danger, d'embûches, de secrets cachés…


Une intrigue mêlant à la fois le policier, l'historique et le fantastique via la légende du Roi Arthur. Par contre, une intrigue qui peine au départ à se lancer avec un début de livre un peu trop poussif où Ariana Franklin pose en quelque sorte le cadre historique de l'histoire, des relations entre Henri II et les Gallois… Par contre, une fois cette partie passée, le roman devient vraiment plaisant avec une intrigue complexe et enchevêtrée. L'intrigue principale concernant Arthur et Guenièvre est rapidement éclipsée par une enquête qui intéresse plus Adelia Aguilar, à savoir le devenir des ses amis disparus mystérieusement dans les bois de cette contrée.
Seulement, même si le livre a été un vrai plaisir à lire, il ne possède pas la même intensité que les deux précédents. Les intrigues sont « molles » et le côté suspens que possédaient les deux précédents livres est totalement absent. le lecteur ici n'a pas de monstre sanguinaire à trouver se cachant sous les traits d'un être innocent… L'ambiance presque thriller a complètement disparue au profit d'un roman policier historique.


Même si l'intrigue ne m'a pas extasiée autant que je l'espérais, le côté historique vaut vraiment le coup d’œil. Ariana Franklin nous propose ici une découverte à la fois sociale, politique et notamment judiciaire du XIIe siècle. Le lecteur découvre ainsi le Judicum Dei (justice divine) où lors d'un combat, le gagnant est considéré comme avoir été adoubé par dieu dans son droit ; la loi du Franc Plège permettant de maintenir l'ordre par la peur puisque les hommes dans ce système sont groupés (tithing) et si l'un d'eux est accusé d'un crime, les autres paient aussi ; enfin, les balbutiements des tribunaux avec l'instauration par Henri II d'un tribunal itinérant permettant une justice plus juste.


Une saga historique agréable à lire avec en bonus des couvertures de livres aux éditions 10/18 que je trouve vraiment fabuleuses avec des couleurs vives témoignant du "peps" de cette série.
Ce troisième roman se termine de plus sur un petit suspens : Adelia s'est en effet fait un ennemi qui semble bien décidé à se venger. Vivement le prochain tome pour découvrir comment... et la prochaine couleur de couverture. 😊
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J'ai aimé le contexte Médiéval, c'est d'ailleurs ce que je recherchais en choisissant ce livre. Je voulais des enquêtes, des mystères.
Le fait qu'Adélia Aguilar, douée dans bien des domaines, mène la marche afin d'élucider ces morts, donne une tournure intéressante et inattendue au roman.
Ce dernier est le troisième des aventures D'adélia, mais peut-être lu indépendamment, comme je l'ai fait.
Le point négatif, à mes yeux, est la lenteur avec laquelle démarre l'enquête, cependant Arthur et Guenièvre, en sont incontestablement le point positif. L'époque et les coutumes qui y font référence, comble cette lenteur, en accrochant le lecteur sur une période dont il est curieux, ce qui parait logique si il choisit ce livre.
De plus notre enquêtrice médiévale a un sacré tempérament pour l'époque, ce dont on ne peut être qu'admiratif
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Vesuvia Adelia Rachel Ortese Aguilar, est médecin diplômé de l'école de Salerne, ce qui reste un cas unique dans l'Europe du 12ème siècle.
Le roi la charge d'une mission à Glastonbury. Elle doit enquêter et prouver que les restes du roi Arthur sont bien inhumés dans le cimetière de cette cité : « Eh bien, il existe une hypothèse tenace selon laquelle Arthur serait seulement endormi, poursuivit Rhys, toujours aussi évasif. Dans une grotte de cristal à Ynis-Witrin, l'île de Verre. Avalon »
 « C'est-à-dire Glastonbury, lâcha le roi avec brusquerie. »
Les lecteurs familiers de Ariana Franklin connaissent Adelia Aguilar dont c'est la troisième aventure. Pour ma part, je découvre le personnage, son caractère obstiné, « Mais elle s'appelait Vesuvia Adelia Rachel Ortese Aguilar, medica de l'école de Salerne, et si elle ne s'attachait pas à la découverte de la vérité, alors elle n'était plus rien. » ; son charme et sa familiarité avec le roi Henry Plantagenet : « Elle eut droit à un baiser royal sur la joue et une tape tout aussi royale dans le dos. le scribe Robert fut invité à rédiger un sauf-conduit au bénéfice de « mon bien-aimé seigneur Mansur et son interprète, maîtresse Adelia Aguilar. »
Adelia est l'une des premières médecins légistes : « Certes, il lui faudrait admettre qu'elle découpe les cadavres. Mais grâce à ça, argumenterait-il, elle avait révélé un crime et mené les coupables devant la justice. Vous devez sans doute approuver cela. »
Femme se démenant dans un monde d'hommes, elle n'en parvient pas moins à s'affirmer et malgré les hypocrisie et les faux-semblants des autorités religieuses, à dénouer l'intrigue dont le Roi l'a chargée.
« Le père Geoffrey s'efforça de recouvrir d'un voile le souvenir des explications d'Adelia selon lesquelles un homme castré, bien qu'incapable de procréer, pouvait connaître une érection durable. Pardonnez la franchise de ses paroles, Seigneur, elle ne sait pas s'exprimer autrement. »
Ariana Franklin , un peu à la façon de Ellis Peter avec Frère Cadfael ou (je n'hésite pas) Umberto Eco avec Guillaume de Baskerville, nous guide dans les méandres d'une société médiévale qui ressemble au fond fort à la notre : Autorité peut y rimer avec abus de pouvoir, religion avec peur, humain avec lâcheté.
Un roman bien documenté où l'on apprend beaucoup sur les meurs de l'époque : « Les rues étaient engorgées. Des chariots grillagés continuaient d'amener du fin fond du comté des hommes et des femmes tirés de leurs geôles pour passer en jugement. Les clercs couraient partout, sommations en main. Les inspecteurs officiels allaient d'une porte d'auberge à l'autre, d'un pas un peu titubant, pour goûter la bière et vérifier qu'elle n'était pas trop coupée. Les boulangers patientaient à côté de leur four pendant que l'on contrôlait que les miches d'un sou avaient le poids réglementaire. Partout les bonimenteurs, patente prudemment exhibée, aguichaient le chaland par leurs clameurs. Jongleurs, acrobates et autres conteurs profitaient de l'occasion pour divertir les foules. On négociait les chevaux ; ainsi que les jeunes filles à marier. Nombreux étaient ceux qui étaient venus de loin pour espérer apercevoir leur monarque. »
Enfin, Ariana Franklin rappelle dans ce roman que la geste des Chevaliers de la Table Ronde s'articule aussi autour des relations tumultueuses du trio amoureux Lancelot, Guenièvre, Arthur : « Arthur avait enflammé et enflammait encore l'imaginaire du pays. Ses prouesses mythifiées, ses chevaliers, ses batailles, son mariage avec Guenièvre et l'infidélité de celle-ci étaient contés par les ménestrels amateurs et professionnels dans les châteaux, les manoirs, les marchés et jusqu'au coin de la cheminée. »

Adelia, l'héroïne succombe au charme des histoires de chevalerie qui hante son sommeil perturbé : « Cette nuit-là, Adelia fit un nouveau rêve, un beau rêve élégiaque. Au début. Elle était sur la berge de la Brue en compagnie de chevaliers en armure, juste au-delà de la place du marché. On entendait des voix de femmes, unies dans un chant funèbre. Un des chevaliers leva le bras, brandissant une épée qu'il tint un instant, offrant au clair de lune sa longue lame et les pierres précieuses de sa poignée. Les lamentations enflèrent jusqu'au cri.
« Arturus, Arturus, Rex quondam, rexque futurus. »
Le chevalier lança l'épée qui tournoya dans les airs, éclair noir et argent décrivant un grand arc. Il y eut une gerbe d'eau, puis Excalibur disparut dans les flots. »
C'est en revoyant son rêve qu'elle comprendra que la réalité du pouvoir ne se parera jamais de la magnificence et de la noblesse des valeurs de la chevalerie arthurienne :
« Deviendrez-vous également une légende ? Non, l'Église y veillera. Les générations futures qui vivront avec les lois que vous avez édictées ne verront en vous que l'assassin de Thomas Becket. » pense-t-elle en regardant Henri II Plantagenet.
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Vesuvia Adelia Rachel Ortese Aguilar est une femme de caractère, de par sa formation, rare pour l'époque en tant que medica de l'école de Salerne mais aussi par son honnêteté en tous points.

Alors lorsque le roi Henri II de Plantagenet la convoque séance tenante afin de la missionner sur Glastonbury, voit-elle rouge. Au cours des deux enquêtes précédentes qu'elle a mené pour le roi, la mort et le danger ont beaucoup trop frayé en sa compagnie pour se lancer dans l'aventure avec entrain. de plus, le trajet à bride rompue qu'elle vient de subir pour découvrir cette mission n'arrange pas un caractère déjà bien trempé.

Selon les dires d'un barde, Arthur Pendragon, celui que les gallois vénèrent et dont ils attendent le retour aurait été enterré entre deux pyramides il y a de cela 24 ans près de l'abbaye de Glastonbury. Henri veut se servir de cette nouvelle pour couper court à toute rébellion galloise au nom du roi légendaire qui viendrait les sauver.

Adelia, en compagnie de Mansur, son ami Maure et accessoirement nommé médecin officiel, sa fille Allie et la nourrice Glytha, vont donc devoir trouver une manière de prouver que ce grand homme est mort. Ou du moins que les cadavres trouvés dans le cercueil à l' endroit des dires du barde datent de suffisamment longtemps pour être crédibles. Car le cercueil ne renferme pas un mais deux corps enchevêtrés que la rumeur voudrait voir comme ceux d'Arthur et Guenièvre.

C'est donc dans l'optique d'une enquête facile et surtout sans danger qu'elle et sa troupe vont se lancer sur les routes en direction de Glastonbury. Mais la vie n'a jamais été un long fleuve tranquille pour Adelia. Et la présence de l'évêque de St Albans, accessoirement le père de sa fille, va troubler sa sérénité. Hélas ce sera probablement le risque le moindre qu'elle devra croiser cette fois encore. Et ce qui s'annonçait comme une mission de routine va devenir une quête de vérité et un des plus grands défis d'Adelia. Car un événement dramatique a eu lieu sur place et va transformer une quête simple en chemin semé d'embuches.

En nous plongeant à la fois dans la geste arthurienne, les complots familiaux et la folie des hommes, Ariana Franklin signe là un roman fascinant à la plume déliée et surtout hypnotisante.

Nous suivons les aventures d'Adelia d'un seul souffle.

Mansur et elle vont nous emporter à leur suite dans cette histoire et le faire de façon directe et percutante. La plume de l'auteure est telle que le scénario se déroule tel un écheveau de soie.

Ariana Franklin a su poser une trame complexe et nous la faire suivre sous les yeux d'Adelia avec une facilité déconcertante. Des éléments s'entrecroisent, des coïncidences apparaissent fortuitement ou non et la lumière va se faire sur la folie des hommes, la jalousie et autres vices.

C'est une auteure qui mérite attention et un suivi particulier. J'ai adoré la rencontrer sur ce tome et je compte bien prochainement lire ses autres récits avec Adelia.
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Ce livre se lit facilement. L'écriture est fluide. L'histoire bien menée. Deux enquêtes se mêlent. : celle liée aux deux corps retrouvés enterrés dans l'abbaye (qui sont peut-être, ceux du roi Arthur et de Guenièvre) et celle de la mystérieuse disparition d'Emma qui entend rentrer en possession du domaine de son feu mari.
Les deux histoires s'imbriquent l'une dans l'autre. Adélia, en enquêtant, fait remonter au jour des secrets que leurs gardiens ne comptent pas laisser révéler sans réagir. Elle et les siens se retrouvent très vite en danger...
L'époque du roi Henri II est assez bien retranscrite, particulièrement tout ce qui touche à la justice.
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Troisième roman de la série Adelia Aguilar, il peut se lire sans avoir connaissance des deux premiers épisodes. C'est un roman historique faisant cependant peu référence à des faits avérés.
Adelia est le syncrétisme personnifié (fille adoptive d'un médecin juif, accompagnée d'un Maure endossant pour son compte le rôle de médecin, évoluant en terre chrétienne) elle va être mandatée par Henri II Plantagenet pour identifier les restes présumés du Roi Arthur. Il s'en suit une enquête à rebondissements multiples, mettant sa vie et celle de sa fille à rude épreuve, où elle devra exhumer moult squelettes et s'opposer à des brigands patibulaires. Il est vrai que retrouver la tombe d'Arthur arrangerait bien des choses, notamment faire revenir les pèlerins de Glastonbury dans une abbaye détruite par un incendie qui a réduit en cendres ses reliques. Un » road trip » médiéval, traité dans un langage contemporain, avec une description des modes de vie de l'époque où lèpre, meurtres, enlèvements et rapines ne donnent pas franchement la nostalgie de l'époque … un bon suspense avec quelques romances en plus où le plaidoyer féministe aussi ne laisse pas indifférent. Et en prime, on retrouve Excalibur !!!
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Le roi Arthur, protagoniste d'un polar historique

En 1154, le lendemain de la Sainte Etienne, un tremblement de terre a lieu dans le Somerset, plus précisément à Glastonbury (dans les marais d'Avalon, célèbre île où, selon la légende, le roi Arthur serait allé soigner ses blessures). Les moines de l'abbaye se sont réfugiés dans la chapelle Saint Michel au sommet du Tor, un des monts entourant Glastonbury.
Frère Caradoc entend Saint Dustan lui demander de sauver le livre de Glastonbury, la relique de l'abbaye. Caradoc tente de le sauver mais n'y parvient pas. Pendant cette tentative, il est témoin de l'inhumation d'un cercueil qu'il prend pour celui d'Arthur et de Guenièvre dans une faille ouverte puis refermée par le séisme. Avant de mourir, il confie ce qu'il a vu à son neveu, Rhys.
Puis nous arrivons en 1176, année pendant laquelle Henri II mate une révolte galloise menée par ceux croyant le roi Arthur immortel. Rawley, évêque de Saint-Albans, amène une femme voulant récupérer son fils - Ryhs- contre des informations sur Arthur et sa tombe.
Rhys fournit les informations apprises par son oncle et Henri demande l'aide d'Adelia Aguilar, enquêtrice de la mort et médecin diplômé de l'école de Salerne, afin d'authentifier le cadavre. Etant une femme, Adelia fait croire que c'est son assistant maure qui est médecin et non elle.
Adelia s'enfuit avec ses proches (Mansur son assistant, sa fille illégitime Allie et Gyltha, la nourrice de celle-ci) et Emma, dame de Wolvercote.
Cette dernière doit aller récupérer son domaine et Adelia est contrainte d'aider le roi. Les deux femmes se séparent donc et là commencent vraiment les péripéties que l'héroïne, Adelia, doit affronter pour mener à bien sa mission.
Suspens et action sont au rendez-vous dans ce livre que je conseille vivement à ceux qui aiment les polars historiques.
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Suspens historique très agréable à lire. Adelia est obligée par le roi Henri II d'enqueter sur des corps découverts à l'abbaye de Glastonbury, peut être ceux d'Arthur et de Guenievre? L'abbaye a subi un incendie et doit être reconstruite entierement. Sans des reliques ou l'attraction d'avoir les corps de ce roi et de cette reine légendaires, cela risque d'être difficile à être mis en oeuvre.
Une fois encore son chemin va croiser celui de l'éveque de St Albans, son grand amour et père de sa petite fille. Au XII malgré sa science des ossements, cela risque d'être compliqué de déterminer ne serait ce que l'age des corps retrouvés.
L'heroine et ses comparses, ainsi que ses nouveaux amis (entre autres les braconneurs comparses d'Eustace, accusé d'avoir initié l'embrasement de l'abbaye) sont particulierement savoureux.


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Premier ouvrage que je lis de cette auteure et je ne suis pas déçu. L'intrigue est assez originale, le style enlevé, les personnages suffisamment étoffés pour être intéressants. On retrouve un peu l'ambiance de la série du "colporteur" de Kate Sedley. La toile de fond historique est assez bien dépeinte, sans qu'il y ait surcharge de détails et de descriptions. Il m'a fallu un petit moment pour rentrer dans le livre, le temps d'apprivoiser tous les personnages, puis je me suis pris au jeu et je l'ai terminé assez rapidement. Je pense que je vais m'intéresser à d'autres livres d'Ariana Franklin.
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En bref, un peu craintive face à l'époque très lointaine du XIIème siècle, je ressors de cette lecture comblée. Malgré une mise en place un peu lente, Ariana Franklin accroche ensuite le lecteur grâce à une plume accessible et des personnages récurrents attachants. L'intrigue marche parfaitement bien tout en collant le plus possible aux faits historiques.
Lien : http://rizdeuxzzz.canalblog...
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