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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Sympathiques les mémés ! Physiquement, ben ce sont de belles mémés en bonne et due forme, avec les seins à Marseille et le postérieur à Lille, teigneuses à souhait, virtuoses du caddie (qui revient régulièrement et comiquement sur le tapis), et on notera qu'elles ont beaucoup de vocabulaire, peu châtié, certes, mais du vocabulaire tout de même, d'ailleurs question vocabulaire, on remarquera leur côté geek, il faut dire qu'elles ont toutes un Facebook, que les likes et les pokes, elles savent faire, et qu'elle sont très au fait de l'actualité nationale comme mondiale. Question humour, elles ne le font pas exprès, et c'est pour cela qu'on les aime, ces mamies piliers de bar à leurs heures, amatrice de bibine qui excellent dans la production de brèves de comptoir, et pas que de comptoir, il faut les entendre refaire le monde dans le square. On ne s'ennuie pas avec ces mémés de choc.

Un seul tome pour l'instant, espérons que d'autres suivront !
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..
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Merci à Belette2911 sans qui je n'aurais pas connu l'existence de cette BD ! Si, comme moi, vous êtes fan de Carmen Cru, n'hésitez pas ! C'est moderne, c'est rigolo… avec un soupçon de vrai ! Tout y passe, l'informatique, les réseaux sociaux, la Covid, l'adultère, la politique…

J'ai pleuré de rire sur certaines vignettes ! Quelques attitudes ou réparties m'ont fait penser à celles que peuvent avoir certaines personnes de mon entourage (je peux le dire, elles n'utilisent pas d'ordinateurs et heureusement… car je serais appelée toutes les cinq minutes pour savoir comment débloquer ce satané machin qui ne veut pas qu'elles achètent la dernière trouvaille du Télé-Achète !)

Si vous voulez passer un bon moment, n'hésitez pas !
Lien : https://promenadesculturelle..
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'Un peu bancales, elles sont nonagénaires
Des seins ovales [et bas], et puis un gros derrière
Et j'aime ça.
Elles se dessinent sous leur vieux pardessus
Caddie en main, sur la tête un fichu
C'est comme ça.
Tellement si drôles quand elles mordent
Tellement si drôles, j'les aime ♥ tellement si fort.' ♪♫
Je les aime depuis ce soir, car je ne les connaissais pas avant ; j'en avais juste vu passer une sur FB...

Réécriture approximative (pour les rimes) d'une chanson, en hommage à ces mamies aux idées et mots revolvers qui dézinguent en vrac : l'actu, le gouvernement, les médias, le quotidien, la mort, la vie, leurs défunts maris et tous les bonhommes ("Moi, c'est bien simple : le 1er qui me met une main au cul, c'est direct #MonCaddieDansLaGueule !").
Des mamies à chien-chien, rock'n'roll, lucides, au franc-parler, branchées, connectées, ronchons, confinées.
Aussi vraies que des vraies : j'ai parfois pensé à ma grand-mère de 101 ans.

Merci L. pour cette surprise et cette soirée de grands sourires et éclats de rires 😁 avec #LesMémés pêchues.
Pourvu :
- qu'on soit comme elles dans 40 ans
- et qu'en attendant, on se marre avec une suite, ou plusieurs.

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• 2 extraits ici :
https://www.bandedessinee.info/Les-Memes-Chroniques-des-ages-farouches-bd
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Vieillir, c'est balayer chaque jour un peu de soi-même.
-
Ce tome constitue une anthologie de soixante-cinq gags ayant pour personnages principaux trois mémés : Huguette, Lucette, Paulette, seules ou ensemble. Il est paru pour la première fois en 2021. Chaque gag a été réalisé par Sylvain Frécon, pour l'histoire, les dessins et la mise en couleurs. Cet artiste a illustré la bande dessinée adaptée du dessin animé Oggy et les Cafards, ainsi que la série Les Barbares chez Hugo.

MeToo 1 : Lucette et Huguette papotent devant un mur sur lequel s'étale le slogan : À mort le patriarcat. Huguette demande à Lucette si elle a remarqué tous ces mecs qui flippent devant MeToo. On se croirait en 81. L'arrivée des socialos au pouvoir ! La grande panique ! La peur des chars russes sur les champs Élysées ! Les bourgeois qui planquent leur fric. À l'heure qu'il est, elle est sûre qu'il y en a qui sont déjà partis planquer leurs couilles en Suisse. Fond dépressif : Huguette et Paulette sont en train de prendre un ballon sur le zinc. La première sent son fond dépressif qui remonte. La seconde lui prodigue des conseils : laisser tranquillement le fond dépressif remonter jusqu'à ce qu'il ressorte, et là le choper et lui tordre le cou. Mais attention, le fond dépressif est malin et très méfiant. du coup, deuxième technique : l'empêcher de remonter en le repoussant encore plus vers le bas. En lui balançant des trucs sur la gueule, tout ce qui lui passe sous la main. de la nourriture par exemple. Ou aussi le noyer avec des bières. À un souhait de bonne année de Paulette, Huguette répond qu'elle y va un petit vite en besogne : on va déjà essayer de finir la journée. Petit Oiseau 1 : Lucette montre un petit oiseau sur une branche dénudée, à Huguette, comme il chante joliment. Si ça trouve, il n'est peut-être pas en train de chanter, mais en train de discuter avec un copain. Et peut-être qu'ils parlent d'elles et qu'ils en disent du mal.

Laisser une trace : dehors sur le trottoir, Huguette a détecté une trace de caddie. Elle l'examine et fait remarquer à Lucette que la trace permet de déduire que la roue gauche a pris une légère ondulation, vraisemblablement le roulement à billes fatigué. Elle comprend qu'il s'agit du caddie de Mme Bouglion : il faut aller l'avertir de toute urgence. Dimanche pluvieux : Huguette joue à un jeu vidéo de type Tir en vue subjective. le téléphone sonne : elle maugrée contre l'importun qui l'interrompt dans sa partie et décroche. En réponse à une question, elle indique que par ce dimanche pluvieux elle est en train d'écouter un quatuor de Brahms, en relisant les mémoires du Général, et elle s'enquiert de l'occupation de son interlocutrice. Turbo Quatro Deluxe : assises sur un banc, Huguette et Lucette voient passer une autre dame âgée avec un caddie flambant neuf. Elles en commentent chacune des options. Psy : Huguette est allongée sur le divan de sa psy et cette dernière lui demande ce qu'elle transporte dans son caddie, car il a l'air toujours vide. Caddie : Huguette annonce à son époux qu'elle sort faire des courses, et elle laisse son caddie dans l'entrée de l'appartement, contre le mur. Quelques instants plus tard, elle revient le chercher, mais il n'est plus dans l'entrée.

Ces gags ont été initialement publiés dans le magazine Fluide Glacial, connu pour son humour libéré et décalé, parfois potache, et souvent politiquement incorrect. La couverture montre une vieille femme courbée par l'âge, tirant son caddie, représentée de manière caricaturale, rien de très excitant d'un point de vue visuel. le titre renvoie évidemment au personnage de Rahan, de Roger Lécureux & André Chéret, dont le sous-titre était le fils des âges farouches. La page deux présente les trois principales protagonistes en un unique dessin et juste leur nom écrit au-dessus avec une flèche pointant vers chacune : Huguette très tassée et son caddie, Lucette plus grande avec un chapeau, et Paulette tenant également un caddie avec une chevelure coiffée dans un haut chignon. le lecteur relève de suite les caractéristiques du dessin : des morphologies exagérées avec un tronc en forme de poire, et des nez allongés dans le genre école Gros Nez, mais avec des formes bizarres. Effectivement Huguette et Paulette ont un bassin aussi large que la hauteur de leur corps. Il est également visible que leur poitrine tombe jusqu'au niveau de leur nombril. Il ne s'agit en aucun cas de grands-mères bien conservées, encore très actives, avec une silhouette sportive. L'exagération produit un effet comique, sans être moqueuse ou railleuse. Les traits de contour sont fins, assez assurés, donnant une impression de dessin d'humour, sans volonté de faire joli, sans peaufinage des contours.

La majeure partie des gags occupe une page chacun, avec douze pages qui en contiennent exceptionnellement deux. La majorité est racontée en plusieurs cases, l'artiste ayant opté pour ne pas en détourer les bordures, et leur donner des formes arrondies. Huit gags prennent la forme d'un dessin en pleine page. le dernier gag est le seul à être raconté en deux pages. La majeure partie des gags fonctionne sur une discussion, ou des remarques proférées à haute voix par Huguette ou par une des deux autres mémés. le dessinateur a l'art et la manière d'installer un environnement, soit en quelques traits, soit de manière détaillée, avec un rappel uniquement par camaïeu en fond dans les cases suivantes, soit en le représentant tout du long de la séquence. Ainsi dans le premier gag, il a réalisé quatre cases de la largeur de la page, et le mur est représenté avec son slogan dans les quatre, ainsi que l'établissement de coiffure en arrière-plan, l'arbre sur le trottoir et la voiture garée. Dans le gag suivant, il a uniquement représenté le zinc en premier plan des neuf cases. Dans un autre, il n'y a que l'arbre tout nu sans feuille dans les sept cases. Par contraste, dans le neuvième gag intitulé Caddie, chaque endroit est représenté dans les dix cases, pour situer où se trouve Huguette : dans l'entrée, dans l'escalier, dans la rue, dans sa chambre à coucher, dans un troquet.

L'artiste a donc conçu chacune des trois mémés de façon à être immédiatement identifiable, même si dans ces gags, elles ne font pas preuve d'une personnalité ou d'un caractère très différencié. Elles sont souvent en train de parler, installées de manière statique, ce qui correspond bien à un comportement de leur âge. Dans un gag, Huguette précise que sa vie compte déjà 34.632 épisodes, soit 96 ans. Il leur arrive de se livrer à une activité : le plus souvent papoter, mais aussi tirer leur caddie, promener leur chien, faire la queue, visiter une exposition d'art contemporain, faire le ménage, se recueillir au cimetière, etc. de ce fait, ces occupations apportent une variété visuelle, parfois surprenante, par exemple quand Huguette jour à une jeu vidéo, ou quand elle regarde une affiche d'un film de Rambo avec Lucette, ou encore un chantier de démolition. À une demi-douzaine de reprises, le gag est de nature visuelle.

En termes d'humour, l'auteur s'appuie régulièrement sur des éléments de société : le mouvement MeToo, les jeux vidéo, le luxe, la série Game of Thrones, l'état du monde, le confinement, les réseaux sociaux, l'art de Ron Mueck (mais appliqué à un caddie plutôt qu'à des corps géants), la mort de Michel Serres (1930-2019), l'absurdité du monde, la théorie du complot, les Black Blocks, l'obsolescence programmée, la surconsommation (avec cette observation définitive : quand on est mort, on ne consomme plus), le réchauffement climatique et l'usage du ventilateur, la théorie du grand remplacement, etc. Certains gags sont très classiques, comme celui sur la poussière : faire le ménage tout en pensant qu'après sa mort on retournera à l'état de poussière, et donc qu'on balaye un peu de soi-même. Certains jouent sur le physique : Huguette choisissant de ne pas se raser la moustache car ça lui donne un air Glam Rock, ou androgyne, ou encore ce gag sur la canicule où elle est nue dans son appartement. D'autres apportent une perspective différente en intégrant l'échéance de la fin de vie. Quelle disposition prendre sur Facebook en cas de décès : une question très pertinente en ce qui concerne le compte d'Huguette. le décès de Johnny Halliday : Huguette indique que son objectif, est surtout de survivre à Michel Drucker.

En découvrant ces trois mémés, le lecteur peut penser un instant à l'irascible Carmen Cru de Jean-Marc Lelong (1949-2004). Toutefois, elles sont trois et elles font preuve d'un sens de l'humour que ne possède pas Carmen Cru. Sylvain Frécon se montre tout aussi transgressif que Lelong, à sa manière tout aussi subversive. L'humour fonctionne souvent sur le principe que ces femmes se savent proches de la tombe. du coup, la mort fait sentir sa présence en filigrane, comme inéluctable et naturelle. Il y a bien sûr la déchéance physique : elle est visible dans la représentation visuelle avec ces silhouettes qui ont perdu contre la gravité, que ce soit l'affaissement de la poitrine ou le tassement de la colonne, même s'il n'est pas question des traitements médicamenteux, ou de leur état de santé. Fidèle à l'esprit Fluide Glacial, cela donne lieu à un ou deux gags très bien sentis sur la constipation. Dans le gag Stratégie, Paulette expose un de ses principes de vie : se fatiguer au minimum pour durer un maximum, une philosophie de vie à l'opposé d'espérer mourir avant d'être vieux, ou du slogan Vivre vite, mourir jeune et faire un beau cadavre. le lecteur côtoie ainsi des êtres humains qui ont accepté le fait qu'ils vont mourir dans un proche avenir, peut-être quelques jours, et qui continuent de lutter tout en ayant également accepter leur affaiblissement physique, des capacités diminuées, au lieu de simplement s'y résigner.

Une nouvelle série de gags en une page, sur la base de personnages peu séduisants : des vieilles mémés décaties. le lecteur découvre des dessins avec une bonne dose de caricature pour les personnages, une variété visuelle enrichissante, des situations et des environnements diversifiés. Dans un premier temps, il sourit à l'humour fonctionnant sur les remarques pleine de bon sens ou acerbes de Huguette, Lucette et Paulette, ainsi que les références culturelles. Rapidement, il ressent le décalage de point de vue qu'apporte leur âge avancé et la proximité de la mort, ainsi que l'absence de critique de l'auteur vis-à-vis de ses personnages. Sans méchanceté aucune, il met en scène des êtres humains qui ont le courage d'accepter que leur vie arrive bientôt à son terme, de vivre consciemment chaque instant avec le couperet de l'obsolescence programmée à l'esprit, une façon de penser particulièrement transgressive dans une société où tout est fait pour masquer la mort, pour la tenir éloignée de l'esprit de chacun.
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Chaque mois, la même attente, la même impatience : retrouver le dernier numéro de Fluide Glacial dans la boîte aux lettres. Puis, savourer… doucement, avec retenue, parce qu'il reste 30 jours à tenir avant le prochain.
Et s'il y a bien un rdv attendu et incontournable pour moi, c'est avec les mémés.

Je les adore ! Acides, caustiques, irrévérencieuses, elles sont justes ma-gni-fi-ques !
Après les avoir rencontrées, votre regard aura changé, celui porté sur les caddies par exemple, surtout les rouges…
Il ne faut pas croire, mais elles sont modernes les mémés, elles se tiennent au courant de l'actualité et de ce qui se passent autour d'elles, les ordis ne leur font pas peur : elles se rendent même sur Facebook. Elles sont juste un peu... différentes…
Les mémés, elles n'ont surtout plus rien à perdre, ni peur de rien d'ailleurs, pas même de la mort qu'elles narguent volontiers. Elles assument tout ! Leurs rondeurs, leurs idées et leurs modes de vie, ou presque... Parce que la pudeur, elle, elle reste, et leur sens de l'amitié : inébranlable.

Je les aime quoi.
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Album lu dans le cadre des Talents Cultura 2021

» Ce qui est bien avec l'âge, c'est qu'on n'hésite plus à donner son opinion sur tout ».

Et les mémés de Sylvain Frécon n'ont pas leur langue dans la poche ! Elles sont drôles, irrévérencieuses, politiquement incorrectes, parfois féroces mais aussi touchantes.

Elles parlent du confinement, de FB, de #MeToo, du quotidien, de la vie et du temps qui passe et de plein d'autres choses.

Chaque page m'a fait réagir : rire, sourire, m'attendrir.

J'ai adoré ces mémés !
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En bref :
J'ai adoré ce premier tome drôle et cynique.

De quoi ça parle ?
Des vieilles dames, les Mémés, dans leur quotidien. Entre leurs conversations, leurs confinements et leurs états d'âmes.

Ma chronique :
J'avais lu le tome 2 grâce à Babelio il y a quelques mois, mais quand j'ai enfin trouvé le tome 1 dans ma médiathèque, je n'ai pas hésité !

Ces mémés sont vraiment drôle et surtout cyniques, ce qui est loin de me déplaire !!

Les dessins sont super sympas, colorés et eux aussi drôle ! Parfois, il n'y a même pas besoin d'un mot pour que l'image joue son rôle et face rire ou sourire.

J'ai hâte de lire le 3 et de découvrir ce que nous réserve encore les mémés les plus drôles du monde de la BD !
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Voici un roman graphique qui vous donnera le sourire dès la première planche.

Les mémés, ce sont des histoires drôles, du quotidien de plusieurs mamies: actualités, réchauffement climatique, mort, tous les sujets sont abordés avec humour et absurdité.

J'ai adoré parcourir ses pages, car chaque page raconte une petite histoire différente. Elles parlent de chien, de caddie mais aussi du confinement, sans passer par quatre chemin.

Un petit recueil de « poésie » afin de se détendre et surtout de nous rappeler peut être une personne que nous avons connu, avec beaucoup de nostalgie.
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Les mémés de cette BD n'ont pas leur langue dans leur poche !
Elles donnent leur avis sur leur quotidien mais aussi sur de nombreux sujets d'actualité et de société (Confinement, Covid-19, #MeToo, le numérique...).

Résultat : une critique acerbe et virulente de notre société le tout avec une touche de poésie. Eh oui, certaines mémés jouent aussi aux jeux vidéo et surfent sur les réseaux sociaux, n'en déplaisent à certains.

Ces mémés sont touchantes et sympathiques. L'humour est caustique, noir, sans limite comme dans la plupart des BD parues aux éditions Fluide Glacial. On en redemande !

Gros coup de coeur !

Je vous conseille aussi la lecture des tomes 2 (paru en février 2022) et 3 (paru en février 2023) toujours chez Fluide Glacial.
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Tout simplement génialissime, Sylvain Frécon croque avec humour et affection ces chères mémés qui nous entourent, et qui ne tiennent pas leur langue dans leur poche. Toutes leurs manies et habitudes y sont, ça sent le vécu
Un bon moment de rigolade... vivement le Tome 2 !
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