Minuit à Pékin

J'ai exercé mon droit de lecteur, comme le prescrit Daniel Pennac dans « Comme un roman » : le droit de ne pas finir un livre. Après plusieurs tentatives et hésitations, j'ai abandonné cette lecture à la page 119. Phénomène assez rare pour ma part, je dois l'avouer, mais devant les nombreuses belles lectures à notre portée, pourquoi se forcer… Je pense que je n'ai tout simplement pas accroché ; le mélange documentaire à la fiction a pris trop de place à mon goût face à l'enquête et au côté polar de cette histoire, cela m'a gênée et a provoqué de l'ennui et de la lassitude.

Je n'ai rien trouvé de bien interessant dans ce livre, désolée, ni l'histoire, ni le lieu, je l'ai lu dans le cadre dun jury mais vraiment si je l'avais acheté j'aurai regreté mes "euros"