C'est dans cet état d'esprit procrastinatoire que j'ai ouvert "
L'Italie si j'y suis" de
Philippe Fusaro, une orgie de lumière dans la grisaille, le road-movie sensible d'un père et de son fils sur fond de banale rupture amoureuse, une histoire qui vise juste avec ses personnages attachants et plus qu'un décor, l'Italie comme personnage à part entière, l'Italie qui nous illumine et nous fait rêver et se révèle écrin idéal pour panser les plaies.
Et soudain l'hiver est apparu un peu moins long et rude...