Citations sur Une année avec Gandhi : Une pensée par jour pour mieux vi.. (30)
Si j’étais sûr de trouver Dieu dans une caverne de l’Himalaya, je m’y rendrais sur le champ. Mais je sais qu’Il n’est nulle part ailleurs qu’au cœur de l’humanité.
La première exigence de la non-violence est de respecter la justice tout autour de soi et dans tous les domaines.
Les instruments nécessaires à la recherche de la vérité sont aussi simples que complexes. L’arrogant pourra les trouver parfaitement impraticables ; comme l’enfant innocent, parfaitement praticables.
Il est des domaines où la raison ne peut guère nous éclairer et où il faut nous en remettre à la foi pour continuer notre route. Dans ce cas, alors, la foi ne contredit pas la raison, mais la dépasse.
Je ne fais aucune distinction entre les différentes races, pour moi un homme est toujours un homme.
La non-violence ne consiste pas « à s’abstenir de tout combat réel, face à la méchanceté ». Au contraire, je vois dans la non-violence une forme de lutte plus énergique et plus authentique.
La clémence est l’apanage des forts.
Je ne suis jamais arrivé à comprendre comment les gens pouvaient se sentir honorés de voir un frère humain s’humilier devant eux.
Je suis lent à voir les défauts de mes semblables, sans doute parce que moi-même, je n’en ai que trop, et qu’à ce titre, j’ai besoin de la charité des autres. J’ai appris à ne juger personne avec sévérité et à faire la part des choses pour les défauts qu’il m’arrive de remarquer.
Le bien et le mal sont des termes relatifs. Ce qui est bien dans certaines conditions peut devenir un mal ou un péché dans d’autres circonstances.