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Critique de Lalivrophile


Le livre s'ouvre sur un prologue qui se déroule en 1968, et qui raconte certains événements qui arrivent alors qu'Emma a 78 ans. Ensuite, il y a l'histoire, de 1904 jusqu'en 1950, puis l'épilogue qui est la suite du prologue. Je trouve cela un peu dommage, car dans le prologue, on apprend des choses qu'il aurait mieux valu découvrir au long du livre. On apprend d'abord qu'Emma a réussi à devenir très riche. On s'en doute, bien sûr, mais le savoir dès le début gâche un peu le plaisir de la découverte.
On apprend aussi qu'Emma a 5 enfants. Et si on fait attention à leurs noms de famille (et pour l'une à son prénom), au fur et à mesure qu'on découvre les personnages, on sait avec qui Emma les a eus. On apprend aussi que malheureusement, Emma ne s'entend pas bien avec ses enfants, sauf avec l'une d'eux.

La quatrième de couverture signale que "L'espace d'une vie" est un ouvrage comparable à "Les oiseaux se cachent pour mourir". Effectivement, c'est une longue saga familiale qui s'étale sur quatre générations (le McCullough s'étale sur trois générations), avec des amours impossibles. Mais on retrouve certaines ressemblances qui peuvent faire penser au lecteur que Barbara Taylor Bradford s'est un peu inspirée de certaines situations, de certaines ambiances de Colleen McCullough. C'est un peu dommage. Par exemple, Winston, le frère aîné d'Emma veut s'engager dans la marine, et entre en conflit avec son père à ce sujet; le frère de Meggie veut s'engager pendant la guerre de 14-18, il veut s'en aller de la maison, de toute façon, et entre en conflit avec son "père". Bien sûr, ce n'est pas les mêmes conflits, mais les affrontements père-fils rappellent un peu McCullough.
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Lien : http://www.lalivrophile.net/..
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