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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Il est le dernier-né d'une race en voie d'extinction. Mais des siens, il n'a hérité que son appétit vorace et ses instincts féroces. Sa taille quant à elle, est plus proche de celle des hommes que de celle des ogres, d'où son nom : Petit.


Caché par sa mère pour lui éviter la mort et élevé par sa tante, une vieille ogresse philanthrope, Petit est l'héritier d'un peuple dégénéré et affaibli par la consanguinité, un peuple qui, de génération en génération, devient plus petit et plus bête mais dont la cruauté, elle, n'a pas de limites. Sa mère voit en lui l'ultime chance de survie de son espèce. Comme le fondateur, qui a su restaurer la gloire des ogres au moment où ils risquaient de disparaître, Petit a la responsabilité d'engendrer une nouvelle race, plus puissante et plus forte. Mais son éducation humaniste a fait naître en lui une tolérance et une sensibilité pour les humains qui sont en contradiction avec sa mission… Petit trouvera-t-il sa place entre une famille qui l'a rejeté parce qu'il était différent et un monde auquel il n'appartient pas vraiment ?


Quelle merveille !!! Attirée par la couverture brillante, en noir et blanc avec son titre doré, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre en ouvrant « Petit », le premier tome des « Ogres-Dieux ». Tout de suite, j'ai été séduite par la rondeur du dessin, ses lignes harmonieuses et délicates. Un trait soigné et agréable, dont la beauté s'accorde tout à fait à l'histoire, imaginée par Hubert et qui nous plonge dans un univers que j'adore : le conte.


A travers les aventures (et mésaventures !) de Petit, l'auteur nous plonge dans l'Histoire des ogres, brossant le portrait sur cinq générations d'une race toute puissante mais qui, à force de mariages consanguins, a perdu peu à peu sa noblesse et sa force. L'histoire est entrecoupée de pages de texte, dans lesquelles on découvre les ancêtres de Petit et le rôle qu'ils ont joué dans leur famille. Des parenthèses passionnantes, qui permettent de développer le conte davantage, sans nuire au rythme du récit.


On découvre ainsi les moeurs d'un peuple terrible et fascinant, aux origines à moitié humaines .Une race qui s'est enrichie de cette mixité avec les hommes, avant de s'enfermer sur elle-même. On apprend comment les ogres se sont élevés au rang de dieux, comment ils se sont mis à manger de la chair humaine et comment leur cruauté et leur folie s'est développée en même temps que leur taille, quelques exceptions au sein de la famille faisant office d'excentriques…


Les personnages quant à eux sont hauts en couleurs, tantôt attachants par leur courage, tantôt effrayants par leur cruauté. Une histoire fascinante, qui mêle savamment amour, drame et violence. Bravo à Bertrand Gatignol pour ses dessins de toute beauté reliés avec soin dans un magnifique livre-objet. Bref « Les Ogres-Dieux » est une bande-dessinée superbe et originale à côté de laquelle il serait vraiment dommage de passer ! Vivement la suite !!!


Un grand merci à Babelio et aux éditions Soleil pour cette découverte !



Challenge Variétés : Une bande-dessinée
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Cette fois-ci je vais commencer par parler du livre, de l'objet en lui même. Ce "détail" qui fait qu'on prend un livre et qu'on le feuillette. Ce "petit" détail qui attire l'oeil.
Magnifique BD de la collection métamorphoses. Couverture cartonnée, mat, douce au toucher (oui oui faut caresser les livres ^^). Toute vêtue de noir et or elle en jette ça c'est sur. Et puis elle pèse son poids, on sent qu'on va en avoir pour notre argent. Un esprit gothique évident, se melant à celui des contes.
Découpage en quelques chapitres, commençant par une page de titre presque enluminé et s'ouvrant sur le récit d'un des ancêtres des ogres-dieux.
Le dessin en noir et blanc, au fond souvent noir au lignes blanches donnant la dimension gothique à un décor qui l'est déjà, est clair simple épuré. En un mot efficace.

Après tant de compliments sur la forme parlons un peu du fond.
Une réussite également.
C'est donc l'histoire des Ogres. Grands, à la hauteur de leur cruauté et de leur domination sur les hommes. Malheureusement pour eux, issu d'une même lignée, ils en ont été réduit à se reproduire entre eux. Et qui dit mariage entre frère soeur cousin cousine dit tares génétiques. Non seulement plus les générations passent plus la taille diminue, mais l'intelligence semble également se réduire comme peau de chagrin... tss la consanguinité n'est pas une belle affaire...
C'est alors que va naitre Petit. Presque de la même taille qu'un homme! Ridicule! Aussitot rejeté par sa famille qui ne pensait qu'à en faire un amuse-bouche pour l'apéro il ne doit sa survie qu'à la fibre maternelle... Ou plutot au fait que celle-ci voit en lui l'avenir de sa famille d'ogre dégénéré. Ben oui qui dit taille humaine dit reproduction possible avec femelle humaine... brassage génétique... sang neuf tout ça...

C'est une belle découverte. J'ai aimé découvrir cet univers gothique, voir Petit devenir grand, connaitre cette famille de son fondateur à son dernier représentant. J'ai aimé cette ambiance de conte qui m'a fait penser à mes lectures de Perrault (étant moi petite mais déjà une ogresse en lecture) tout en me proposant quelque chose de nouveau, de neuf. Et de beau!
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Tout d'abord un grand merci à Babelio et aux éditions Soleil pour ce livre magnifique.
Je ne m'attendais pas à cela, j'avoue. Je n'avais coché que deux livres, dont celui-ci, "récit gothique" dans le résumé m'ayant bien accrochée... Je m'attendais à une bande dessinée classique, alors quelle surprise en ouvrant le paquet ! Rien que la couverture est superbe, noire et or, un vrai beau livre de collection. Et le poids... 152 pages, c'est pas rien.

Ici on est entre récit et bande dessinée, une sorte de roman graphique. Les portraits des différents "rois" sont sous forme de longs textes, très intéressants. L'histoire du conte, qui concerne Petit, dernier né de cette longue généalogie, est sous forme de bande dessinée en noir et blanc, avec des dessins d'une sobriété très classe, mais qui exacerbent le côté glauque de l'histoire.
Ne cherchez ni romantisme ni "tout est bien qui finit bien" ici, vous ne trouverez pas. D'ailleurs ce conte ne s'adresse absolument pas aux enfants, si ce n'est les "grands", ou les vieux, comme moi ! ;-)

C'est vraiment sombre, les ogres sont de vrais ogres, monstrueux, limite dégénérés à la génération précédant Petit. Il nait "petit". Menacé d'être bouffé tout cru par son paternel, sa mère le sauve in extremis et le confie à Tatie Desdée, qui va tenter de lui inculquer un peu de "savoir-vivre" et de respect de la vie.
En grandissant, Petit va se retrouver tiraillé entre son éducation et sa "nature", hésitant d'un côté et de l'autre. Conte philosophique à la morale ambigue, je dois dire que j'ai vraiment beaucoup aimé l'ensemble, équilibré dans la composition, frappant dans le dessin, résolument moderne à tous les niveaux.

C'est un coup de coeur particulier pour une oeuvre particulière, que je n'aurais sans doute jamais achetée de moi-même, mais dont, maintenant, je vais guetter la suite, même si ce livre est clairement un "one-shot" qui peut se lire seul et tel que.
Un superbe cadeau à faire et à se faire !
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Les ogres dieux sont des géants terribles, qui possèdent un royaume où les humains sont à leur service. Les ennemis capturés se reproduisent dans une feme spéciale pour leur fournir de la chair humaine à se mettre sous la dent, mais quand ces géants sont de mauvaise humeur, ennemi ou pas, n'importe qui peut se faire gober. C'est un monde extraordinaire inspiré des contes anciens, avec leur cruauté, les héros pas tout blanc, un monde d'ambition, de laideur et de beauté, de lâcheté et de bravoure. le rapport au conte classique est maîtrisé avec talent, force et ambition. Il y a en parallèle, l'histoire de “Petit”, un géant à peine plus grand que les humains, racontée en BD, et la saga familiale des géants, racontée en prose, ponctuant chaque chapitre d'un intermède historique, avec un style de narration à la manière de Perrault ou Grimm. le graphisme et assez particulier, les trait sont très fins et réguliers, tout est en noir et blanc avec des tons de gris limités, en aplats, (en général une ou deux valeur de gris plus le noir et blanc). Les décors sont plein de détails d'ornementation, donnant à cet univers un aspect grandiose et glacial. L'histoire est assez effroyable, tragique, romantique, et je dirait même wagnérienne. C'est une BD vraiment impressionnante, l'univers fantastique et effrayant du conte, à l'opposé de Disney.
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Attention, conte enchanteur et objet magique envoûtant.
Ouvrir cet album est comme ouvrir un vieux coffret de chêne sombre et patiné par les années qui seules savent donner au vieux bois ce touché soyeux et glacé inimitable capable dans le même temps de piéger et de réfléchir la lumière…
Ainsi, le plat de couverture est fabuleux. En somptueuses lettres d'or, le titre apparaît avec un T central aux allures de coutelas d'ogre et il surplombe un dessin précis et mystérieux comme ciselé par des orfèvres. Cela tombe à pic car d'ogres il est question ici.
La deuxième et la troisième de couverture qui ne sont pas oubliées sont agrémentées d'un contreplat luxueux aussi doux qu'une mousseline de Mossoul et beau comme un damasquin aux motifs tissés venant de Perse ou de Damas… Vous aurez compris que j'adore ce livre !
Mais un livre n'est rien sans le conte qui l'anime. Et les éditions Soleil dans leur collection Métamorphose ont permis à Hubert (scénario) et Bertrand Gatignol (mise en scène et dessins) de donner naissance à une oeuvre majeure.
Une dynastie d'ogres puissants règne sur une vaste contrée. Ils se repaissent de puissance, de terreur, de viande humaine et de sexe et asservissent quelques humains pour les servir, et d'autres pour s'en nourrir.
Mais il y a la grande Desdée qui par amour de la danse se perdit et déshonora sa famille. le Fondateur qui, bien que semblable aux humains, engendra la race des géants. Il y eu Emione qui, épouse et reine, se sentit destinée à sauver sa famille de son funeste destin et le Roi-Dieu, le plus grand des géants, qui se voulut plus grand encore et immortel jusqu'à devenir l'égal des dieux.
Il y eu aussi Coor, l'explorateur, le seul de sa famille à avoir parcouru le vaste monde au point d'atteindre la connaissance, presque la sagesse, et enfin Eliabaal qui fut surnommé le Roi-Philanthrope parce qu'il prônait la tolérance et en perdit le trône car chez ces gens-là, on n'aime bien les humains que pour s'en repaître.
Et il y eu Petit. Petit, parce qu'il était petit…
Voici enfin un conte cruel, immoral et beau comme je les aime.
Et ce n'est que le tome 1 !
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Tout commence avec la naissance de Petit, issu d'une famille d'ogres gigantesques autoproclamés dieux. Sa petite taille le rendant ridicule et faible aux yeux des autres ogres qui ne veulent en faire qu'une bouchée, sa mère le sauve in-extremis et le cache aux yeux de tous afin de l'élever dans le secret, car elle voit en lui le sauveur de leur race qui dégénère un peu plus à chaque nouvelle génération.

Attirée par cette couverture sombre dominée par une personnage impressionnant, voire effrayant, j'ai tout de suite adhéré au style du dessinateur. Les dessins sont beaux, les grands applats sombres frappent le regard à chaque page et renforcent l'impression de gigantisme et de mégalomanie de cette race d'ogres. L'histoire, intriguante, s'avère vite passionnante car tout pique la curiosité.

Les pages de BD sont parfois entrecoupées de pages de texte biographique contant l'histoire et le destin de quelques personnages-clé, et qui nous permettent de mieux comprendre comment d'un monde d'Hommes nous sommes passés à une société dominée par ces brutes dégénérées élevées au rang de dieux, et qui ne pensent qu'à se goinfrer de chair humaine.

Je continue cette série avec plaisir en espérant que la même qualité graphique et narrative soit au rendez-vous.


Challenge multi-défis 2019
Challenge BD 2019
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Dans la même journée, j'enchaîne sur un autre Hubert.. après Peau d'homme, me voici ainsi mangeant avec voracité ce Petit d'une autre collaboration. Petit ? Pas par sa taille ni son épaisseur et encore moins, son impact.

Pouah, c'est quand même une sacrée claque que j'ai pris avec cet énorme volume. de l'imagination sans limite combinée à un art noir et blanc si pointu et sombre ! Vraiment génial et je ne regrette pas du tout d'avoir emprunté le second tome que je vais m'empresser de lire. Alternant entre la bande dessinée et le texte, on découvre les aïeux des Ogres-Dieux et l'histoire de Petit, cet enfant d'Ogre inattendu et extraordinaire.
Je m'arrête là, je vais lire la suite :D
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J'ai vraiment été enchantée par cette lecture. Encore une fois, c'est un rattrapage de la sélection Cezam de 2016. Et comme souvent le titre ne m'enthousiasmait pas, la couverture non plus, et quand je l'ai eu en main et que j'ai vu son épaisseur, je l'ai un peu laissé sur le bas de la pile.
Mais quand je me suis lancée dans cette lecture, je ne pouvais plus m'arrêter. Sous la forme d'un conte, on aborde le grand thème du droit à la différence, et comme le dit si bien la 4ème de couv', "le déterminisme familiale"....
Vaste sujets donc.
Et il me tarde de lire le second... mais je crains que ma bibliothèque ne l'ait pas en stock...
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Une BD que je trouvais peu engageante du à la couverture et aux dessins en noir et blanc dont je n'ai jamais été une grande fan. Mais au final c'est une très belle surprise.
On a l'impression de plonger dans un conte. Ce grand format, ces dessins épurés en noir et blanc, les ogres, et le récit interrompu par quelques pages sur les ancêtres de Petit. Tout ceci nous raconte une fabuleuse fresque sur les ogres, de leur naissance à leur déchéance, de leur folie de grandeur à leur espoir d'un renouveau. C'est beau, doux et cruel. Parfois poétique. Un très beau récit en tout cas, drôle, attendrissant, parfois triste.
Un récit servi par de bons personnages. Bien sur il y a les méchants et les abrutis tels que les triplés et le roi mais il y a surtout les autres. Emione, la mère aimante qui peut se montrer butée et ambitieuse. Desdée, la rêveuse qui refuse d'être ce qu'elle est et qui élève Petit comme un humain. Sala, la belle blonde et la touche de glamour. Il y a surtout Petit, un peu naif et tellement attachant. Et il y a tous les autres qui apportent à chacun un petit quelque chose à l'histoire.
Il n'y a rien à redire à cette BD. J'ai adoré les dessins, et même le noir et blanc !
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Petit, c'est un prénom : celui du personnage principal. Petit est un enfant, plutôt grand pour son âge. Mais il est né dans une famille de géants. Son propre père peut saisir un homme dans sa main et le broyer. Sa mère est sept fois plus haute que la plus haute des femmes. Issue de la lignée du Dieu-Roi, ces gens vivent des siècles, ont tout pouvoir sur les humains de leur royaume, les mangent comme nous mangeons des animaux, et sont particulièrement cruels. Et stupides.
La faute à la consanguinité.

Comme vous pouvez le constater, ce sont des relations familiales saines et épanouissantes. Petit aura souvent l'occasion d'entretenir sa forme physique (en fuyant pour ne pas être mangé), son sens de la stratégie (en bernant ses prédateurs) et son esprit critique (en réalisant que les humains ne sont pas de la nourriture, parce qu'on fait tous partie de la même espèce).
La meilleure des écoles…
Et donc il grandit, caché par une tante pacifiste pour ne pas se faire dévorer par ses frères débiles. Jusqu'au jour où sa mère (la seule, avec Tante Desdée, à ne pas vouloir le tuer) décide de le faire s'accoupler avec des humaines. Son idée : apporter du sang neuf dans la lignée pour redorer le blason des Ogres-Dieux. En somme, reproduire le mythe du Fondateur.


Cet ouvrage n'est pas seulement une bande dessinée. Des plages de textes sont insérées en fin de chapitre et apportent des précisions sur un personnage (vivant ou mort) de la famille des géants. Bien écrits, pas trop descriptifs, humoristiques ou sombres, ils sont souvent nécessaires à la compréhension de l'histoire et se marient fort bien aux dessins.
Le trait de Gatignol est fin, clair. Épuré. D'inspiration manga, il met l'accent sur le mouvement et les expressions – loin des personnages coincés de la bande dessinée franco-belge. En contrepartie, les décors sont très précis, cherchent le détail.

J'ai été sensible à TOUS les personnages. Certains étaient attachants, à l'instar d'Émione (mère de Petit, reine des ogres). Bien que tout aussi cruelle que les autres membres de sa famille, elle est intelligente et déterminée à sauver sa famille du déclin. Desdée, la tante du roi, est ce qui se rapproche le plus d'une végétarienne puisqu'elle refuse de manger les humains. Cloitrée dans ses appartements, il est défendu de lui parler – de crainte de propager des idées de tolérance et d'amour qui seraient bien mal placées.
D'autres sont délicieusement haïssables : le roi Gab, mari d'Émione (et laid comme un pou), ou ses trois premiers enfants (cruels, moches ET stupides, rien à sauver). On prend certains en pitié (comme Nibie, martyrisée par ses cousins ; ou ces nombreux humains, brisés ou dévorés pour des raisons aussi aléatoires qu'injustes). Même Sala – la créature blonde, belle et un peu fade qui sert de love interest au héros – a remué quelque chose en moi. Malgré sa maladresse et son manque de jugeote, elle inspire la compassion.

La fin était très satisfaisante. C'est une boucle qui se ferme, et de la meilleure des manières : avec ironie. Je vais de ce pas me jeter sur le tome 2 dans l'espoir d'avoir plus de réponses.
De découvrir un peu plus cet univers fascinant.
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