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Critique de DHALLUIN
Titre : La maison jaune
Auteure :Martin Gayford
Genre : récit traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Cécile Chartres et Elisabeth Samama
Éditions : Anne Carrière
Année : 2016
Cote : 7/10
1. le titre :
La maison jaune à Arles, c'est là qu'ont habité quelques mois Vincent van Gogh et Paul Gauguin.
2. L'auteur :
Martin Gayford est professeur d'histoire de l'art à l'académie de Buckingham.
3. Les idées :
Vincent van Gogh cherche la lumière de la Provence, trouve Arles, s'installe dans la maison jaune qui devient son atelier, y invite son ami Paul Gauguin. La petite ville d'Arles leur sied bien. Il y a la nature qui permet d'y installer leur chevalet, les voisins que l'on croque sur la toile, les bordels que l'on fréquente et leurs locataires, les tournesols...
9 semaines de vie à Arles avec les sautes d'humeur de Vincent, ses moments de folie et de tendresse envers son frère Théo, sa soeur Whil, et les amis du coin. Il y a les débordements qui suscitent une pétition. La cohabitation avec Paul Gauguin devient impossible, d'autant que l'état mental de Vincent van Gogh réclame une hospitalisation.
4. le style :
Martin Gayford nous relate de façon très précise la vie de ces deux éminents artistes. Les tableaux qu'ils ont peints sont bien détaillés et, cerise sur le gâteau, certains se retrouvent au milieu du livre. Un récit pointu sur la texture même des toiles et les qualités des peintures utilisées. Les états d'âme des interlocuteurs sont expliqués et ainsi font comprendre leurs gestes comme l'automutilation de Vincent.
Auteure :Martin Gayford
Genre : récit traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Cécile Chartres et Elisabeth Samama
Éditions : Anne Carrière
Année : 2016
Cote : 7/10
1. le titre :
La maison jaune à Arles, c'est là qu'ont habité quelques mois Vincent van Gogh et Paul Gauguin.
2. L'auteur :
Martin Gayford est professeur d'histoire de l'art à l'académie de Buckingham.
3. Les idées :
Vincent van Gogh cherche la lumière de la Provence, trouve Arles, s'installe dans la maison jaune qui devient son atelier, y invite son ami Paul Gauguin. La petite ville d'Arles leur sied bien. Il y a la nature qui permet d'y installer leur chevalet, les voisins que l'on croque sur la toile, les bordels que l'on fréquente et leurs locataires, les tournesols...
9 semaines de vie à Arles avec les sautes d'humeur de Vincent, ses moments de folie et de tendresse envers son frère Théo, sa soeur Whil, et les amis du coin. Il y a les débordements qui suscitent une pétition. La cohabitation avec Paul Gauguin devient impossible, d'autant que l'état mental de Vincent van Gogh réclame une hospitalisation.
4. le style :
Martin Gayford nous relate de façon très précise la vie de ces deux éminents artistes. Les tableaux qu'ils ont peints sont bien détaillés et, cerise sur le gâteau, certains se retrouvent au milieu du livre. Un récit pointu sur la texture même des toiles et les qualités des peintures utilisées. Les états d'âme des interlocuteurs sont expliqués et ainsi font comprendre leurs gestes comme l'automutilation de Vincent.
