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Une réussite, dans le fond et la forme. On retrouve l'ambiance et l'esprit des textes de Jean-Philippe Jaworski et la mise en forme des dessins propose une double narration très claire. Adaptation de la nouvelle "Mauvaise donne", où l'on découvrait Benvenuto Gesufal, elle promet pour la suite de ce cycle de BD, qui s'attaquera à l'un des meilleurs romans de fantasy francophones.
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Après avoir lu le génial "Gagner la guerre", cette version en bande dessinée et noir et blanc ne convient pas pour moi à cette oeuvre pleine de subtilité et de couleurs... Bien que travaillé, le crayon ne suffit pas à faire ressortir l'ambiance de ce roman de dark Fantasy exceptionnel.
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Oubliez fées, dragons et elfes dans cette série d'heroïc-fantasy adaptée du roman éponyme de Jean-Philippe Jaworski. Cette BD lorgne plutôt du côté de Game of Thrones tant les machinations, complots et intrigues politiques y sont présentes. La république de Ciudalia, qui rappelle par de nombreux aspects, une ville italienne de la Renaissance est en guerre permanente contre le royaume de Ressine. Don Benvenuto, un homme de (mauvaise) main, est chargé d'assassiner un noble pour le compte de la guilde des Chuchoteurs. Malheureusement pour lui, il tombe dans un piège qui le plonge dans de sombres desseins concernant le plus haut dirigeant de la République.
Tout le sel de ce récit tient à la personnalité du protagoniste principal. Tout à la fois, tueur, salaud gentilhomme, mauvais bougre persifleur, il a tout pour être détestable et pourtant on l'adore ! On est loin du gentil héros traditionnel prêt à mener une quête. Don Benvenuto n'a pas peur de se salir les mains quitte à en prendre plein la tronche. Et ça, c'est bon ! Tout comme les dessins magnifiques de Frédéric Genêt qui met en image le monde foisonnant du romancier.
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Je ne suis pas assez connaisseuse ou fan de bd et roman graphique pour émettre une critique. Alors je livrevrai juste mon ressenti en disant que ce tome 1 est un 1er tome donc il présente les personnages et la situation. de ce fait ça manque un peu de consistance.
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Adaptation réussie du roman de Jaworski. C'est beau, Buenvenuto est bien représenté. L'histoire est solide et rythmée. J'ai retrouvé le plaisir que j'avais eu à la lecture du roman.
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J'avais beaucoup aimé le roman "Gagner la guerre" de Jean-Philippe Jaworski et plus généralement toute son oeuvre se déroulant dans le Vieux Royaume. J'ai donc découvert avec plaisir à la médiathèque cette adaptation en bande dessinée, signée par Frédéric Genêt.

Dès les premières pages, j'ai retrouvé l'ambiance si particulière du Vieux Royaume, cet univers de low-fantasy de style Renaissance, avec ses intrigues de cour et ses complots à multiples niveaux. le dessin de Frédéric Genêt nous plonge parfaitement dans cette atmosphère et dépeint très bien les personnages que j'ai eu plaisir à découvrir à nouveau.

Une très bonne adaptation en bande dessinée d'un excellent roman, cela me donne envie de lire le deuxième album, sorti tout récemment.
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J'avais beaucoup aimé le livre éponyme de Jaworski (comme tous ses livres d'ailleurs ) c'est donc avec curiosité (et un brin d'appréhension) que j'ai entamé la lecture de son adaptation en BD .Et la lecture de ce premier album m'a pleinement rassuré , il n'y a pas trahison. le scénario est extrêmement fidèle au roman .Quant au dessin , il est très plaisant avec un beau travail de décors et des scènes de bataille très dynamiques . On fait donc connaissance de Don Benvenuto Gésufal peu honorable membre de la guide des chuchoteurs (en gros des tueurs à gages ) qui évolue dans une république maritime (plus Gêne que Venise) à l'italienne façon Renaissance , avec imbroglio politique et lutte pour la domination des mers avec un état type persan . L'apport fantasy est amené par l'utilisation de la magie (sorcier très impressionnant) . C'est très bon.
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De beaux dessins , mais un scénario manquant de fluidité !
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Je cultive depuis longtemps un amour certains pour les fripouilles et crapules de la pire espèce quant on touche au genre de la fantasy. Ce n'est pas nouveau, ce sont les personnages que j'aime le plus d'amour. Il y a quelques temps, j'ai entendu parler des romans et nouvelles de Jean-Philippe Jaworski, accompagnées d'un cortège de critiques toutes plus élogieuses les unes que les autres. Et oui, j'en étais certaine, c'est un univers qui allait m'enchanter, mais une chose en entrainant une autre, ces titres ont rejoint la liste infiniment longue de livres « à lire un jour » (cette liste n'en finit pas, mon âme est perdue.) L'histoire ne s'arrête pas là. Quand j'ai aperçu en faisant mes courses, dans la vitrine du magasin de BD à côté de chez moi (coucou la Nef!) mon petit coeur a fait un bond : Gagner la guerre en bande dessinée ! le mémoire et la fin de l'année expédiée, j'ai donc acquis ce petit bijou, et comment dire…

Je ne connais de Gagner la guerre que des extraits chapardés ici et là et la quatrième de couverture, donc je ne pourrais rien dire de l'histoire, que je découvre en même temps que lis ce premier volume. Il y a tellement de choses à dire que je ne sais même pas quel bout le prendre. Alors on va commencer par les dessins. Je suis tellement tombée en amour des dessins de Frédéric Genêt. Je connaissais pas du tout le monsieur (bon, je connais pas grand-chose à la BD, on va pas se mentir non plus…). Mon amour pour l'Italie est grand, profond et fort. Alors, comment vous expliquer mon irrésistible envie de prendre le premier avion pour aller retrouver les même décors que ceux de Ciudalia dans un petit bled paumé du fin fond de l'Italie ? J'ai adoré chaque des traits de ce volume, les couleurs, les personnages et les myriades de détails qui me rappellent cette Italie chère à mon coeur. Jean-Philippe Jaworski en parle dans son introduction et le dit : Frédéric Genêt est allé en Italie pour trouver l'inspiration de l'âme de Ciudalia. C'est magistral comme on y est. J'vous jure, là, je veux juste partir pour la Toscane… Franchement, c'est un vrai régal pour les mirettes.

On découvre dans ce volume le personnage principal, Don Benvenuto Gusfal, ruffian de son état et assassin. On le charge d'une mission, assassiner un homme masqué à l'arme blanche uniquement (alors que notre homme, son domaine de compétence, c'est plutôt l'arbalète), de nuit, à un endroit très précis. Comme ça, tout semble facile, sauf qu'il se retrouve pris dans un piège, qui s'avère être une machination plus complexe encore. En effet, la situation politique de la République est instable : la guerre gronde et dans le même temps, il faut préserver l'équilibre politique et commercial. Et voici alors Benvenuto totalement impliqué malgré lui dans ces machinations. L'histoire principale est entrecoupée de flashback dévoilant le passé de phalangiste du Don et les liens qu'il entretient avec les autres protagonistes (en plus de creuser encore plus leur caractère).

Ce volume plante aussi les bases de l'organisation politique de la République. Je pense que ça va me demander un peu de temps pour associer les noms, les partis et les rôles (mais comme il n'y en a pas un milliard non plus, ça ne devrait pas être très compliqué !).

Franchement, il n'en fallait pas plus pour me convaincre : des histoires de guerres, de politiques, des sales bonhommes, des crapules. Je n'avais pas trop de doute que ce serait fait pour moi. le premier volume plante l'univers correctement et on en découvre assez sur les personnages pour savoir à quel point on va les adorer et les détester en même temps. En réalité, le volume s'ouvre sur une belle carte. Et j'adore ça, les cartes. Je passe mon temps à faire des allers-retours entre les récits et celles-ci pour mieux situer l'action et les déplacements des personnages quand ils voyagent.

J'ai vraiment été charmée par ce volume, qui me donne 1) terriblement envie de lire la suite et presto, s'il vous plait. 2) de me procurer tout aussi rapidement les livres de Jean-Philippe Jaworski pour combler mon envie de savoir ce qu'il va se passer.
Lien : https://wp.me/p8gRKQ-ip
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Génial et sobre, peu de magie et ça c'est rare. mais ce qui m'a épaté le plus c'est le génie qu'a l'auteur de brosser une scène d'action, en une phrase on visualise le geste, la position et l'espace. En deux phrase il vous dépeint une pièce, un panorama. Une plume efficace et et bien supérieure à beaucoup d'auteurs de fantasy au style plat ou inexistant. J'attends avec impatience le ou les derniers tomes de " Rois du monde " pour pouvoir entamer cette nouvelle saga d'un auteur que choisi les yeux fermés.
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