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Ce n'est pas du tout mon type d'humour, et l'histoire est aussi vide que la tête de Barry. J'ai lu des fanfics parodiques bien plus drôles que ça. le livre et les personnages sont vulgaires, pleins d'incohérences. Ca m'arrive de ne pas aimer un livre mais jamais à ce point, j'hésite à le garder comme référence pour le pire livre que j'ai lu ou à le virer de ma bibliothèque et renier ce torchon. Ne perdez pas votre que vous aimiez ou pas Harry Potter, que vous aimiez l'humour potache ou non, vous méritez un minimum de qualité.
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Harry Potter a trouvé son antéchrist avec Barry Trotter,héros complètement déjanté et à côté de la plaque.
Je l'ai lu il y a des années et sincèrement ça pète pas trois pattes à un canard.
Je m'attendais à mourir de rire et c'est vraiment lourd ,indigeste et un peu fouillis.
Les personnages sont tous plus branleur les uns que les autres,Voldemort maire d'une sorte de Las Vegas,Dumbledore espèce de vieux fou escroc qui s'accroche à son poste de directeur...Et que dire des amis de Harry,enfin Barry.Un Ron complètement débile,Hermione nymphomane à souhait et Barry plus naze que lui tu meurs.
Moi qui adore les parodies en temps normal,qui aime connaître les deux extrêmes dans une histoire là je n'ai pas pu me faire une deuxième vision des choses tellement c'est "fourni".Trop de parodie tue la parodie.A éviter!
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Barry Trotter est en quelque sorte un genre d'anti-héros. Élève à la plus célèbre école de sorcellerie appelée Coudbar, celui-ci est devenu très important pour cette dernière. Il est en effet sa plus grande célébrité depuis qu'un certain roman, Barry Trotter à l'alcool dans l'gosier, en explosant les records de vente, a permis à l'école de s'enrichir sur le dos de l'un de ses élèves. Modique récompense octroyée par Coudbar à Barry, celle de rester à l'école aussi longtemps qu'il le souhaitera. Aussi Barry se permet-il de « se la couler douce », entouré de ses fans et adoratrices jusqu'au jour où un nouveau film doit être tourné à son sujet. Barry sera-t-il à le hauteur de ce nouveau challenge et empêchera-t-il que l'école soit submergée de fans glandus acharnés, capables de mettre en jeu la réputation de l'école ?
Parodie grotesque dont l'auteur de la série des Harry Potter elle-même n'a pas donné son accord pour cette publication. Bien que divertissant, j'ai trouvé cette parodie sans imagination car elle colle un peu trop ses déformations de noms aux originaux.
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Barry Trotter est à Harry Potter ce que sont Imitation et mords-moi sans hésitation à Twilight. de la grosse daube. J'étais pourtant assez enthousiaste : les noms des personnages et des lieux sont bien trouvés (merci la traduction !), la quatrième de couverture est prometteuse, l'auteur Michael Gerber est « assez » connu pour avoir fait des parodies « assez » réussies.

Mais dès le début de la lecture, le style mets en péril l'histoire. L'humour est lourd, il y a un plein de fautes de langue (voulues, vraiment ?), la trame narrative est imprécise et brouillonne, … On se lasse très vite des blagues salaces pas du tout à propos quand on sait que nombreux sont les jeunes lecteurs et fans de Harry Potter.

D'ailleurs, ce livre ne peut même pas être appelé parodie, puisque l'essence des personnages disparaît totalement. Il y avait pourtant beaucoup à faire pour tourner en dérision les personnages et l'histoire mais là non seulement ils n'ont plu rien à voir mais ce n'est aussi absolument pas drôle. D'où sort-il l'idée d'une Ermine dévergondée ? D'un Lon complètement idiot ?

L'histoire comme le style d'écriture sont à l'image du nom de l'auteur : à « gerber ».
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Lorsque je me prends de passion pour un sujet, j'ai envie de lire/voir tout ce qui s'y rapporte. C'est ainsi que, voyant ce titre en partenariat proposé par Milady sur Livraddict, je me suis précipitée ; l'occasion de compléter ma collection potterienne.
J'aime assez les parodies, quand elles sont travaillées. Je pense notamment à Shrek ou même à Il était une fois qui grossissent les traits propres aux Disneys de notre enfance… j'adore. Et puis, il y a d'autres genres de parodies, celles dans la veine de Scary Movie qui allient l'humour pipi/caca aux vannes sexuelles… typiquement le genre de blagues douteuses dont je ne suis pas fan. Avec Barry Trotter, c'était quitte ou double et malheureusement pour moi, Scary Movie l'a emporté haut la main…

J'ai pris l'habitude, ces derniers temps, de vous proposer mes propres résumés au lieu des quatrièmes de couverture, mais cette fois, je reviens à mes anciennes habitudes. Pourquoi ? Et bien, figurez-vous que, quinze jours après ma lecture, je ne me souviens même plus de l'intrigue ! Pour être honnête, ce livre est tellement brouillon et sans queue ni tête que, à la minute où je l'ai refermé, je me suis rendue compte que j'étais incapable de le résumer. Barry doit empêcher le film qui retrace ses aventures d'être filmé, sous peine de voir l'école de Céldèlbore ravagée par les fans hystériques. Voilà ce que j'ai retenu. S'en suit une accumulation de rencontres et aventures qui ne paraissent pas liées les unes aux autres et qui ne m'ont guère laissé de souvenirs. Qui plus est, on assiste à un retournement de situation dans la toute dernière partie, qui change la donne et qui m'a encore plus embrouillée (si c'est possible) !

Si l'histoire ne m'a pas convaincue, les personnages ne l'ont pas mieux fait. Arrêtez-moi si je me trompe, mais le but d'une parodie est d'amplifier les traits existants, non ? Ne tournons pas autour du pot : selon moi, avec Barry Trotter, c'est raté. Et pourtant, je pense qu'il y avait du potentiel ! Ne vous méprenez pas, j'adore l'univers et les personnages de J.K. Rowling et comme l'auteure nous offre une grande palette de personnalités hautes en couleurs, il y avait de quoi faire !
Chez Michael Gerber, Barry Trotter - 22 ans - ne fait rien de sa vie et est toujours élève (il en profite pour initier la gente féminine aux mystères de l'amour…) ; Lon Muesly est devenu un crétin fidèle (le QI et la fidélité d'un labrador) ; Ermine Cringer est une prof nymphomane, Céldèbore un vieux pervers et Valdemarne est surnommé « Celui-qui-pue » (si si, je vous jure… vous sentez directement la direction que prend l'ensemble du livre avec cette seule expression…). de ces cinq portraits, celui de Lon est peut-être le plus « fidèle » (justement !) parce qu'avouons-le, même si Ron est adorable (et que je l'adore), il n'en reste pas moins « Celui qui suit Harry Potter comme un chien fidèle ». Par contre, je suis plus mitigée pour l'exagération de son bas QI. Même si Ron n'est pas le premier de la classe, Rowling ne le présente pas non plus comme un abruti fini ; il a au contraire assez d'esprit pour détendre l'atmosphère ! Si je peux également concevoir les parodies de Voldemort, Harry et Dumbledore (souvent décrit comme espiègle voire limite « coquin » avec McGonagall, dans les fanfictions), où Gerber a-t-il été chercher la nymphomanie d'Hermione ? Impossible de la reconnaitre dans le personnage d'Ermine…

Qui dit parodie dit humour, n'est-ce pas ? Encore un élément qui n'a pas fonctionné avec la lectrice que je suis. Comme je l'annonçais en préambule, chez Michael Gerber, les blagues sont plus que douteuses et lorsqu'elles ne tournent pas autour du sexe, elles sont scabreuses. Autant de choses qui ne me font absolument pas rire. C'est bien simple, la seule fois où j'ai souri, c'est en lisant l'avertissement de la quatrième de couverture : « BLABLA LEGAL : Ce livre n'a pas été autorisé ou approuvé par J.K. Rowling ou les éditeurs des romans Harry Potter. Harry Potter est une marque déposée de Warner Brothers. Merci. Maintenant, achète. » Et puis, encore une fois, à partir de quels éléments de Rowling, l'auteur peut-il en arriver à un tel humour ? Heureusement pour ma lecture, j'ai eu l'impression que le nombre de blagues salaces allait décroissant au fil des pages (ou alors je me suis habituée ?) ; ce fut un soulagement même si ça reste insuffisant pour remonter le niveau général.
Notons tout de même un point positif (que je ne suis apparemment pas la seule à avoir relevé) : la traduction. Je ne sais pas ce que donne le texte en VO, mais je trouve que les noms propres français sont bien trouvés car, non seulement travaillés au niveau de la phonétique (proches des sons originaux en ajoutant une connotation ridicule) mais également au niveau du sens. Mais encore une fois, c'est insuffisant pour me faire changer d'avis sur ce premier tome des aventures de Barry Trotter. Je crois que si l'intrigue avait été plus cadrée (moins fourre-tout) et les blagues un peu moins douteuses, j'aurais pu tenter la suite. Mais avec des « si », on refait le monde…

Même si, vous l'avez compris, l'aventure Barry Trotter s'arrête définitivement pour moi (contrairement à celle Harry Potter), je remercie tout de même Livraddict et Milady pour la découverte de l'univers de Michael Gerber, je sais dorénavant à quoi m'en tenir !
Lien : http://bazar-de-la-litteratu..
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Comme son nom l'indique, Barry Trotter et la parodie éhontée est une parodie, une parodie où fleurissent les jeux de mots, l'humour pipi-caca et les situations ridicules. Pas franchement convaincue par ce titre, je n'ai pas ri, très peu souri et est était assez pressée de le finir. Je suis passée complètement à côté de l'humour de Michaël Gerber et suis actuellement bien en peine de revenir sur ce que j'ai lu. L'humour est vraiment au ras des pâquerettes et je n'ai pas compris tous les jeux de mots. Quelqu'un peut m'expliquer "Céldélbore" ? Seulement 2 ou 3 petites choses ont dû me faire sourire ; c'est bien peu, même si le livre fait moins de 300 pages. Pour une parodie, c'est un peu le comble de ne pas être drôle, non ?

Michaël Gerber a tout de même fait l'effort de créer une histoire complètement originale là où d'autres se contentent de réécriture une histoire qu'on connaît déjà. Ici, les enfants ont grandi, mènent chacun leur vie et profite plus ou moins du succès des livres de "JG Rollins". Ce ne sont plus des gamins aux pouvoirs magiques capables de vaincre tous les monstres. Et franchement, qui ne s'est jamais la réflexion, même au moins une fois pour les plus grands fans, que faire tous ce que Harry, Ron et Hermione font à 12 ans, c'est tout simplement pas possible ?!?!?!?!

La fin relève vraiment la mauvaise impression du début en remettant clairement en cause le capitalisme de notre société à travers la production d'un film qui viendrait dénaturer le travail d'auteur à créer un monde imaginaire qui permet aux enfants de rêver. Même si cette réflexion est sous-jacente à travers tout le roman, l'humour grivois empêche vraiment de s'y intéresser et il est très agréable de réfléchir vraiment un petit moment sur tout ça.

Enfin, bravo au traducteur qui a dû s'amuser à adapter tous les jeux de mots, blagues potaches ou vulgaires et références diverses de ce titre, parce que ça ne devait pas être du gâteau.
Lien : http://biblio-steph.over-blo..
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Il s'agit d'un livre que l'on m'a offert. Une ENORME DECEPTION, ni fait ni à faire. L'auteur surfe systématiquement sur la facilité, joue sur le graveleux avec une espèce de regard complice avec le lecteur.

J'étais écoeurée par cette lecture, elle se voulait drôle, elle m'a juste donné la nausée. (J'en grimace rien que d'écrire cette critique)
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En passant devant ce livre, je me suis dit que ça pourrait être drôle.
(Ca l'a été, mais à très petites doses..)

L'histoire est sympa, mais parfois un peu trop vulgaire. Les personnages sont bien parodiés et on passe quand même un bon moment.

Attention, Harry Potter est un livre pour ados, mais Barry Trotter doit rester dans les mains d'adultes!

Je lirai certainement les suivant par curiosité.

Lisez-le si vous ne voulez pas trop réfléchir et que vous êtes aussi curieux que moi!
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Commençons cette chronique par l'objet en lui-même. La couverture présente des tons rouges attirant le regard. Je n'aime pas particulièrement le dessin, trouvant à Barry une tête vraiment affreuse mais la couverture colle assez bien avec le roman, entre la tenue débraillée et le hibou fumant des joints. La quatrième de couverture nous fait penser à une histoire qui sera loufoque. le Blabla légal m'a fait sourire mais cela aura quasiment été la seule fois. La première page du livre nous surprend et on se demande ce que cela va donner. Voici un petit extrait pour vous montrer ce que cela va être : « Un message de ton petit frère : Ce livre est zarb', je ne l'aime pas. Harry ne fume pas. Fumer, c'est pour les nuls. »

Chronique entière sur mon blog.
Lien : http://andimagine.wordpress...
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Ce n'est pas une parodie (pour moi une parodie, c'est la même histoire mais détourné sur un ton humoristique, et comme l'histoire n'a strictement rien à voir...).
J'ai trouvé ce livre lourd, et sans humour mais je suis peut-être intransigeante car fan de l'oeuvre originale.
L'histoire est très courte et de la bouche de l'auteur même sans queue ni tête, retrouver un fil narratif tient de l'exploit.

bref, passez votre chemin sans regret.
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