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Critique de BRUMANT


c'est le 3ème livre d'Olivier Germain Thomas que je lis. Je me souviens de lui comme d'un homme vieux avant l'âge.' je pense que notre retour a été voulu par Dieu'ˆ. Déjà suivre Marco Polo c'est sortir de soi.
Une vie tellement singulière qu'elle continue de nourrir les songes. Devenir un proche de l'homme qui règne sur la Chine. le pas démesuré et le dépaysement par les terres rouges. Des fleuves impossibles à traverser ou le hasard fait bien les choses. La terre était plate et immobile dans le devisement du monde écrit par Rusticello de Pise. le moyen- age italien me fait penser a Éco. Il est possible de réinventer le Tripitaka les trois corbeilles. Une nuit d'amour avec une princesse chinoise ou un lama tibetain ( quel pied). Une Venise si lointaine avec ses canaux oubliés. Il écrivait en français comme Casanova après lui. Ils rencontrent le vieux de la montagne et les Hachachins les sbires de Maalouf et d'Éco. le roi -prêtre Jean, voir Eco. L'indispensable Marco. J'ai aimé voir les séries le concernant et puis j'aime Venise que j'ai mal visité . Thomas Mann, Mort à Venise, j'aime ce roman même si sa version filmée n'est pas fidèle à cette ville. Les Nestoriens et Alamut.
Tout y est. le desert de Takla Makan et celui de Gobie. Il y avait de fameux vent sur toute la planète de Saint John Perse. Koubilai Khan et Italo Calvino devisent sur les villes invisibles.
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