C'est con la vie, hein John ?
- La mort, c'est encore plus con...
J'ai connu un mec qui disait : ici, en taule, tu dors comme un bébé... Tu te réveilles toutes les deux heures pour pleurer !
Je crois qu’on a tous un endroit sur terre où l’on se sent chez soir, vraiment chez soi. Encore faut-il le trouver… Et je suis content que toi, tu l’aies trouvé, Lennie.
Mona est une femme pleine d'amour avec une force de caractère incroyable. Son fils Jorge fut accusé d'avoir assassiné son ancienne copine et son nouvel amoureux, il est alors condamné à 22 ans de prison malgré le fait qu'il crie à qui veut l'entendre, être innocent.
Son mari ne supportant plus la situation, cette honte d'être montré du doigt en étant le père du tueur et ses difficultés professionnels le conduiront à mettre fin à ses jours.
Ce jeune garçon de 6 ans, qu'elle recueillit alors qu'il était prostré dans un fossé, ne parlant pas et se comportant comme un animal, sera moqué du fait de son handicap.
Un rêve en commun les uni, rejoindre l'Ecosse et plus particulièrement Glen Affric.
La reine du polar est diabolique, elle nous colle une accumulation de délits plus indigestes les uns que les autres, elle nous retourne nos entrailles, cisaille nos chairs et nous regarde nous vider du peu d'humanité qu'il nous reste. Délicieux.
Lennie, c'était un sourire d'enfant, un regard d'innocent et un cœur de géant.
C’est con la vie, hein John?
- La mort, c’est encore plus con…
Ce qui est beau est souvent fragile.
Vicky se met à rire. Un rire que Léonard trouve merveilleux. Comme un pansement à toutes les plaies.
Si tu dois séjourner ici un moment, tu te cultives, tu lis, tu apprends. Tu aiguises tes sens et ton intelligence…Le cerveau, c’est aussi important que les muscles. C’est plus important que les muscles. Tu apprends à te taire quand il faut se taire. Tu apprends à répondre lorsqu’il faut répondre. Toujours avec les bons mots.
C'est con la vie, hein John ?