Mon père : Coudonc, tu as donc bien l’air de bonne humeur !
Moi : Yep !
Mon père : Et ça sent bon ici !
Moi : Zak a fait un dégât, alors je viens de laver le plancher.
Mon père : Ouin, j’en connais une qui fait du zèle…
Moi : Est-ce que ça me vaut un ordi ?
Mon père (en fronçant les sourcils) : Not yet.
Moi : Et si je faisais le lavage ?
Mon père : Marilou ! Everything in its own time.
Je te remercie de m'avoir permis de m'exprimer, de crier, de pleurer et de me confier quand j'en avais besoin, mais je sais que je peux maintenant compter sur mon âme féminine pour le faire. Et même si son départ me brise le cœur, ça m'apaise de savoir qu'elle ne sera qu'à quelques touches de clavier de moi.