Caroline Giraud/5
4 notes
Résumé :
Alice, une jeune étudiante, va porter plainte à la police après quatre ans de cauchemars, de peur et de solitude. Mais c'est elle qui est coupable, dit-on : elle s'habille mal, elle est insouciante, elle est faible et elle se tait. Oui, c'est elle qui est coupable de son propre viol. Et elle l'a bien mérité.Par un récit à reculons, Caroline Giraud montre les différentes façons dont une victime de viol va être accusée à tort, par la société, son agresseur mais aussi ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3)
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Un viol où, à force de harcèlement, d'attouchement, jouant sur l'angoisse et la fatigue aussi bien physique que psychologique de sa victime, le violeur obtient ce qu'il veut. Et encore une fois la victime, par honte, ne parle pas.
Et c'est là tout l'intérêt de cette nouvelle. Voir la façon dont à vécu cette victime les 4 années qui ont suivi ce ‘crime'. A travers quatre évènements marquants pour elle, nous voyons sa reconstruction petit à petit.
La nouvelle est très courte. On change de date très vite, et on change de temps de narration tout aussi vite ce qui peut être perturbant. Malgré tout, la plume reste fluide et très agréable à lire, le sujet est traité avec beaucoup de douceur, c'est un bon récit.
Et c'est là tout l'intérêt de cette nouvelle. Voir la façon dont à vécu cette victime les 4 années qui ont suivi ce ‘crime'. A travers quatre évènements marquants pour elle, nous voyons sa reconstruction petit à petit.
La nouvelle est très courte. On change de date très vite, et on change de temps de narration tout aussi vite ce qui peut être perturbant. Malgré tout, la plume reste fluide et très agréable à lire, le sujet est traité avec beaucoup de douceur, c'est un bon récit.
Cette nouvelle,proposée gratuitement sur une plateforme bien connue,est extrêmement courte et construite de façon très originale.Sous forme de compte à rebours inversé, l' histoire raconte l'irracontable.Parce qu'il ne faut pas parler de ça, parce que les autres ne veulent pas savoir, parce que,même s'il semble que la société évolue en ce moment même vis-à-vis du sujet, il y a des valises que, quoi qu'on fasse, certain(e)s d'entre nous n'arriveront plus jamais à poser .Une manière sobre, presque factuelle de pointer du doigt un drame d'une banalité consternante.A découvrir.
Chronique de Laurie :
Une nouvelle un peu trop courte à mon goût car elle traite d'un sujet complexe et tellement important.
Il s'agit d'un texte qui vise à dénoncer, à rappeler que les apparences sont parfois trompeuses, et qu'on ne peut juger quelqu'un par rapport à son apparence, sa tenue… Ce n'est qu'un costume, une carapace pour se protéger ou paraître plus sûr de soi!
Un texte pour rappeler qu'une relation sexuelle non consentie, obtenue par insistance est un viol, et ce même s'il n'y à ni violence physique ni verbale!
Un texte pour rappeler aussi que les victimes de viol se taisent encore trop, parce que trop souvent elles sont mal jugées.
« Tu es belle, tu t'habilles de façon trop exubérante : c'est de ta faute si tu te fais insulter ou même agressée, dans un sens tu l'auras chercher! »
Malheureusement c'est encore le genre de phrases qu'on entend trop souvent! Cette nouvelle est écrit tout en simplicité, avec justesse et respect.
Lien : https://followthereader2016...
Une nouvelle un peu trop courte à mon goût car elle traite d'un sujet complexe et tellement important.
Il s'agit d'un texte qui vise à dénoncer, à rappeler que les apparences sont parfois trompeuses, et qu'on ne peut juger quelqu'un par rapport à son apparence, sa tenue… Ce n'est qu'un costume, une carapace pour se protéger ou paraître plus sûr de soi!
Un texte pour rappeler qu'une relation sexuelle non consentie, obtenue par insistance est un viol, et ce même s'il n'y à ni violence physique ni verbale!
Un texte pour rappeler aussi que les victimes de viol se taisent encore trop, parce que trop souvent elles sont mal jugées.
« Tu es belle, tu t'habilles de façon trop exubérante : c'est de ta faute si tu te fais insulter ou même agressée, dans un sens tu l'auras chercher! »
Malheureusement c'est encore le genre de phrases qu'on entend trop souvent! Cette nouvelle est écrit tout en simplicité, avec justesse et respect.
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Citations et extraits (4)
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Et je crois, au fond de moi, que le pardon est ce qu'il y a de plus haut et de plus noble, et qu'on ne peut rester indifférent à la grandeur.
Il est difficile de porter plainte lorsqu’on est coupable d’être une victime.
Ils ne la croient pas parce que c’est trop facile d’accuser les autres. C’est trop facile de venir se plaindre après avoir tout fait pour subir.
Le malheur la dégoûtait autant qu’il lui faisait peur. Le psychologue, c’est l’homme des malheureux.
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🎬 Alors qu'il s'apprête à démissionner de ses fonctions de shérif pour se marier, Will Kane apprend qu'un bandit, condamné autrefois par ses soins, arrive par le train pour se venger. Will renonce à son voyage de noces et tente de réunir quelques hommes pour braver Miller et sa bande. Mais peu à peu, il est abandonné de tous... Ce film de Fred Zinnemann, avec Gary Cooper s'intitule "le train sifflera ... "
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