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Le Maître Chocolatier tome 2 sur 3
EAN : 9782803679133
72 pages
Le Lombard (14/02/2020)
3.92/5   24 notes
Résumé :
Alexis Carret travaille pour un grand chocolatier belge traditionnel, installé dans la prestigieuse Galerie de la Reine à Bruxelles. Sa maîtrise technique et son palais délicat en font un atout pour son employeur. Mais le garçon, réservé et discret, rêve d'autre chose sans oser franchir le pas... Le destin d'Alexis va basculer au cours d'une soirée organisée par son amie Clémence. Il fait la connaissance de Benjamin Crespin, un self-made man au sourire ravageur. Ben... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
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Ce tome fait suite à le Maître Chocolatier, tome 1 : La boutique (2019) qu'il faut avoir lu avant. La première édition date de 2020. Il est coécrit par Éric Corbeyran et Bénédicte Gourdon, dessiné et encré par Chetville (Denis Mérezette), avec une mise en couleurs réalisée par Mikl. Il se termine par une chronique chocolatière de 3 pages par la maison Darricau, sur l'utilisation de l'huile palme, et par 3 pages présentant la recette des ganaches Vibrato de la maison Darricau.

Paul Cuypers travaille pour Cacao de Flandre, une entreprise d'import de cacao. Il reçoit un coup de fil de son beau-frère Walter, le bras droit d'Édouard Carret président de la société Honest et père d'Alexis. Walter demande à Paul D égarer la commande de cacao d'Alexis Carret, de faire en sorte qu'elle ne lui parvienne qu'après les fêtes de Noël. Paul Cuypers accepte tout en faisant le lien de parenté entre Alexis et le patron de Walter. Walter raccroche et rentre en réunion de conseil d'administration où Édouard Carret présente un bilan. Il évoque la progression du chiffre d'affaires, l'effort à fournir sur les barres et les boites, l'objectif de l'année (passer de la quatrième place mondiale à la troisième), et augmenter la part des intérimaires pour diminuer la masse salariale et alléger les bilans. Il conclut en indiquant que Walter et lui prennent l'avion l'après-midi même pour la Côte d'Ivoire afin de négocier les tarifs d'achat. Walter et lui rentrent chacun chez eux pour finir leur valise. À la maison, en terminant sa valise, Édouard a une discussion acide avec sa femme Sophie sur le manque d'ambition de son fils Alexis.

Pendant ce temps-là, Alexis Carret travaille dans son magasin : il apprend à Manon ce qu'est une ganache et comment la faire, en langage des signes : mélange de chocolat et de matière grasse liquide, origine du mot ganache, ajout d'un parfum, de sucre liquide. À la fin de la journée, il l'invite à dîner, ce qu'elle accepte. le soir, Benjamin Crespin s'est rendu au night-club le Pharaon : il y a rendez-vous avec monsieur Logan dans son bureau, l'individu auprès duquel il a contracté un emprunt. Monsieur Logan explique qu'il va falloir rembourser plus vite, et qu'il n'y a qu'une seule chose qui l'intéresse : son profit. Mitch raccompagne Crespjn par l'entrée de service, en passant par le salon où attendent les call-girls. Crespin s'arrête un instant pour en saluer une qu'il a reconnue : Karen, une ancienne amie. Elle est en train de fumer un produit psychotrope à l'aide d'un narguilé. Mitch saisit Crespin par l'épaule pour le faire accélérer et Crespin traverse une longue cour encombrée de déchets jusqu'à parvenir à la cabane de surveillance adossée au mur d'enceinte. Il réveille Momo le gardien et sort dans la rue. Manon et Alexis rentrent de leur dîner en tramway, et elle l'invite à prendre un dernier verre chez elle.

Le lecteur revient pour le deuxième tome, à la fois pour les personnages, pour l'intrigue, pour Bruxelles et pour le chocolat. Bénédicte Gourdon & Éric Corbeyran avaient créé des personnages sympathiques, avec leurs qualités et leurs défauts. Alexis Carret continue à gagner en épaisseur, gentil et prêt à partager son savoir avec Manon, en pleine déprime en apprenant la perte de sa commande de couverture, agressif et amer face à son père et Walter, prêt à demander de l'aide quand il ne sait pas faire, un peu crédule. Comme dans le premier tome, Chetville dirige ses acteurs dans un registre naturaliste pour les postures et les expressions de visage. Lors du repas de Noël, (planches 34 & 35), le lecteur peut lire la colère sur le visage d'Alexis, mais avec une expression de visage très porche de celle de son père. le lecteur peut y voir un mimétisme entre père & fils, comme parfois un soupçon de manque de nuance pour les visages. Cela n'empêche pas les protagonistes, Alexis et les autres, d'être très vivants. le lecteur retrouve leur apparence spécifique : la jeunesse et l'entrain naturel de Manon et Léa (à comparer avec celui tout professionnel de Léna de Fombelle), l'exigence agressive de monsieur Logan, le sérieux empesé d'Édouard Carret, le sourire enjôleur de Benjamin Crespin, l'énergie positive de Clémence. Chetville apporte un grand soin aux costumes : tenues professionnelles pour Paul Cuypers, Alexis Carret et Manon quand ils préparent des ganaches dans le laboratoire, costume strict pour Édouard Carret et Walter, tenue décontractée pour Alexis quand il sort boire un verre avec Benjamin et Clémence, tenues différentes en fonction des occasions pour cette dernière, etc. le lecteur mesure toute la capacité de Chetville à insuffler de la vie dans un personnage avec la première apparition de Karen. Il lui suffit de 5 cases (planche 10) pour définir les nuances de sa personnalité, avec ses postures et son visage, sans aucune exagération. Il retrouve également l'utilisation du langage des signes employé par Alexis et Manon pour communiquer et représenté avec fidélité.

Les coscénaristes continuent de malmener leurs personnages et le lecteur ressent une forte empathie pour eux. Ils mettent en oeuvre des ressorts de comédie dramatique : coup dur professionnel (la commande de couverture qui n'arrive pas et qui oblige à fermer boutique), l'incompréhension entre Manon et Alexis suite à un baiser mal interprété, l'opposition entre le père et le fils Carret et les tensions familiales qui en découlent, les prises de risque de Benjamin Crespin, le caractère un peu têtu de Clémence, l'émotivité de Manon, etc. D'un côté, il s'agit d'éléments très classiques ; de l'autre les personnages sont assez développés pour que ce ne soient pas que des artifices ou des clichés. le dosage est parfois fragile, en particulier quand quelques personnages sont uniquement là pour causer du mal (le père Édouard Carret, Walter, monsieur Logan). Pourtant, même si la relation entre Manon et Alexis s'apparente à une bluette, le lecteur se sent émotionnellement impliqué parce qu'elle sonne juste. Il espère que tous s'en sortiront et que la boutique prospérera.

L'intrigue dégage le même parfum de récit très classique : rivalité familiale (Walter voulant couler Alexis pour prendre sa place de fils de la famille), association à risque avec un malfaiteur, concurrence déloyale, etc. Pour autant, le lecteur remet les pieds dans la discothèque et se retrouve avec crainte devant monsieur Logan très sûr de lui dans son fauteuil. Curieux, il fait connaissance avec Karen. Il suit Walter et Édouard Carret en Côte d'Ivoire, en profitant des dessins qui montrent une place de la ville d'Abidjan et un magnifique hôtel de luxe. Il sourit en voyant arriver Léna de Fombelle, magnifique jeune femme à la réussite insolente, ancienne gagnante de l'émission Master Chef : Chetville sait montrer tout son dynamisme carriériste. Il apprécie le cambriolage, simple et facile, avec une narration visuelle en phase, sans exagération dramatique. Il suit avec intérêt la présentation d'un projet d'exposition sur le chocolat. Il sourit franchement quand Benjamin Crespin explique comment il a fait pour pirater un ordinateur, à Alexis un peu crédule. L'explication réelle est moins romanesque, mais pas complètement crédible pour autant.

Comme dans le premier tome, le lecteur se rend que Chetville s'investit beaucoup pour représenter les différents lieux : l'installation industrielle de chocolat de Flandre (vue générale extérieure, et intérieur), la salle de réunion du conseil d'administration horriblement fonctionnelle, la belle demeure des Carret (vues extérieures et intérieures), le bureau de monsieur Logan, la salle d'attente des filles au night-club, le magasin d'Alexis (espace de vente et atelier), le modeste appartement d'Alexis, etc. Comme dans le premier tome, le lecteur constate qu'au fil des séquences, Chetville représente également plusieurs endroits de Bruxelles avec une grande fidélité réaliste. le lecteur peut voir le quartier de Molenbeek, une commune de Bruxelles-Capitale, avec la boutique Carret implantée en vis-à-vis du canal et les rues quand Alexis court après Manon pour la rattraper, deux ou trois stations de tram avec les immeubles correspondants en arrière-plan, le café À la Mort Subite (rue Montagne-aux-Herbes Potagères) reproduit fidèlement, les galeries royales Saint-Hubert toujours magnifiques, le square de la Putterie. S'il n'y prête pas forcément attention parce que ces éléments de décors apparaissent naturellement en fond de case, le lecteur en prend pleinement conscience avec la planche 48 qui montre une vue de dessus de la Maison du Roi sur la Grand Place de Bruxelles, une vue magnifique, avec un niveau de détail incroyable.

Bénédicte Gourdon & Éric Corbeyran continuent également de parler chocolat. Ça commence par la leçon d'Alexis Carret pour Manon expliquer comment réaliser une ganache, et d'où vient le nom (du patois du sud-est de la France). Ça continue avec l'exposé d'Édouard Carret au conseil d'administration sur la stratégie de la multinationale. le lecteur découvre ensuite les valeurs d'Alexis Carret lors du repas de Noël au cours duquel il donne son avis sur les pratiques des industriels que ce soit sur l'utilisation de l'huile de palme et les conséquences gustatives et écologiques, ou la façon de pressurer les agriculteurs ivoiriens. Cette dimension du récit est complétée par l'exposé de la maison Darricau sur la différence entre le beurre de cacao et l'huile de palme, ainsi que la modification de ce que recouvre l'appellation chocolat. Les plus curieux finissent en apprenant comment faire une ganache dans l'atelier de la maison Darricau.

Ce deuxième tome poursuit l'histoire d'Alexis Carret et des personnes auxquelles il est associé, soit par la famille, soit professionnellement, avec un dessin toujours aussi classique, et toujours aussi discrètement riche. le lecteur peut parfois sourire de la narration un peu naïve ou gentille, mais il ne résiste pas longtemps à la sympathie des personnages, à la qualité de la narration visuelle, et aux parfums de chocolat.
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La Concurrence est dans la continuité directe du premier tome du Maître Chocolatier : l'histoire mêle passion pour le chocolat, intrigues mafieuses, difficultés familiale, concurrence déloyale, complications amoureuses... Cela fait beaucoup de choses pour une B.D. de soixante-dix pages. du coup, j'ai eu l'impression que tout allait trop vite et devenait un peu caricatural.
Comme dans le premier tome, les dessins ne m'ont pas trop plu. Les personnages manquent de naturel et paraissent figés.
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Bénédicte Gourdon et Éric Corbeyran réussissent la prouesse assez incroyable de m'intéresser au destin d'un artisan chocolatier... de prime abord, je n'aurais pas cru cela possible, mais le résultat est plaisant.

Le long du canal de Bruxelles, à deux pas du centre de Molenbeek (tristement célèbre depuis), Alexis Carret se débat pour faire reconnaître ses capacités d'artisan chocolatier. Il faut dire que son père n'aide pas... lui qui est directeur pour la Belgique d'une entreprise multinationale active dans le chocolat industriel. Les auteurs briefent le lecteur sur les provenances de cacao, sur l'huile de palme, la déforestation... avec un petit tour en Côte d'Ivoire.

Entre trahison et compétition pour être le meilleur, Alexis Carret a aussi une vie sentimentale... C'est bon enfant, sympa et cela ne se prend pas la tête, tout en apportant un brin d'érudition... Je prends.

Le dessin est toujours excellent. Les amateurs de Bruxelles se régalent. Les Galeries de la Reine, à deux pas de la Grand Place, sont criantes de vérité. Les plus fins connaisseurs auront recomposé les vrais noms des commerçants présents dans la Galerie. Petites touches d'humour qui apportent de la fraîcheur à l'ensemble.
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Les fêtes de fin d'année approchent. C'est une période cruciale pour "Chocolat Carret". le magasin doit tourner à plein régime. Walter qui travaille pour le père d'Alexis va lui jouer un sale tour de cochon. Grâce à une connaissance, ce dernier va s'arranger pour qu'une livraison importante arrive en retard. Hélas, cette manoeuvre va forcer le tout nouveau magasin installé dans Bruxelles à fermer assez vite ses portes. Alexis, Clem et Benjamin se retrouvent vite acculés. de plus, la nouvelle égérie du chocolat vient comme par hasard d'ouvrir un commerce identique à deux pas. Curieuse coïncidence !

Ils vont devoir rebondir. Les idées ne manquent pas car il faut de toute façon rembourser les créances. Il est important de préciser que l'emprunt contracté par Ben, soit disant légal (voir T1) est loin de l'être. le bailleur de fond commence à s'impatienter et n'est pas tendre ! D'autres ennuis en perspective ...

La maître chocolatier (Chetville, Corbeyran et Gourdon) est une saga familiale et sentimentale avec un brin de suspens. Tout se déroule à Bruxelles. de nombreux endroits de la ville y sont d'ailleurs facilement reconnaissables. L'histoire est toujours aussi dynamique que dans le premier album. En effet, de nombreux thèmes y sont abordés. Au fur et à mesure des pages, on s'instruit en lisant l'aventure. L'album est d'ailleurs agrémenté d'un supplément nommé "La petite chronique Chocolatière" par la Maison Darricau. Ce supplément est très intéressant et aborde le thème de l'huile de palme. S'y trouve aussi une recette de Ganache "Vibrato" qui à l'air plus que délicieuse. Cependant, juste un petit bémol patriotique à mon sens. Pourquoi avoir choisi une Maison basée à Bordeaux alors que toute l'histoire se passe à Bruxelles ? Ce n'est pas ce qui manque en Belgique avec les Maisons suivantes : Darcis, Marcolini ou Deremiens. Il est dommage que l'un de ces artistes belges n'aient pu se joindre au projet. 
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Ce second tome est dans l'exacte lignée du premier : convenu et sans surprise.
La plupart des personnages sont manichéens (attention, derrière toi, un vilain méchant avide et sans scrupule qui, en plus, est manipulateur et infidèle), les rebondissements sont sans surprise et l'histoire se lit sans passion (et même un certain ennui).
L'auteur ne peut pas s'empêcher d'en rajouter toujours plus sur le chocolat, sa vie et son oeuvre.
Côté dessin, attendu et convenu aussi...
Bof
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Contrairement aux autres secteurs de l'industrie agroalimentaire, le chocolat se porte bien. Notre société enregistre chaque année une hausse de son chiffre d'affaires. Hughes vous en donnera le détail dans un instant. Côté produits, le chocolat saisonnier et les tablettes restent nos meilleures ventes cette année encore. Il faudra faire un effort sur les barres et les boîtes. Sur ces segments, nous avons du retard sur nos concurrents. Le marketing est déjà sur le coup. Sébastien vous livrera le résultat de ses premières cogitations. Les objectifs du groupe sont de passer de la quatrième à la troisième place mondiale. Les investissements seront en conséquence. Mais j'invite d'ores et déjà chacun d'entre vous à œuvrer en ce sens. Serge, notre nouveau DRH, nous parlera du plan qu'il a prévu et vous confirmera que nous continuerons de plus en plus à faire appel à des intérimaires, ce qui dégraissera d'autant la masse salariale et allégera les bilans. Je m'envole tout à l'heure avec Walter pour la Côte d'Ivoire où nous devons rencontrer les responsables politiques avec lesquels nous tenterons de renégocier les tarifs pour éviter un emballement des cours comme en 2011.
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Léna de Fombelle à Bruxelles - Après avoir ouvert pas moins de neuf chocolateries en France (dont trois à Paris), Léna de Fombelle s'offre un nouveau défi. Soutenue par les médias, respectée par les professionnels, et adulées par les gourmands, l'ancienne gagnante à Master Chef a en effet décidé de se lancer à la conquête de la Belgique. Et c'est à Bruxelles, plus particulièrement dans le quartier de Molenbeek, qu'elle a choisi d'installer son nouvel atelier. Située le long du canal, la boutique ouvrira ses portes pour les fêtes de Noël.
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Avant, quand j'avais une baisse de moral, je passais un coup de fil à Clémence, on allait boire une bière dans un pub et tout s'arrangeait. Après quelques pintes et quelques éclats de son rire cristallin, mon désespoir s'évanouissait et mon moral remontait en flèche. Ce soir, alors que je tourne le dos à Clémence, à son rire et à la bière, je me demande quel miracle serait capable de chasser ma déprime.
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Tu savais que Christophe Colomb avait balancé par-dessus bord des fèves de cacao qu'on lui avait offertes parce qu'il croyait que c'était des crottes de chèvre ? Du coup, c'est Cortès qui a mis le chocolat à l'honneur à la cour d'Espagne. […] Ce que je veux dire, c'est que Colomb aurait pu devenir l'homme qui a introduit le cacao en Europe, mais que son manque d'instinct l'a privé de ce titre.
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Si on en croit les livres de cuisine, beaucoup de recettes ont été créées à partir d’une erreur ou d’une maladresse…
Alors un conseil : tant que tu es apprentie, profites-en pour des conneries !
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