Fire biker

Caly est une top modèle recrutée dans sa petite campagne, avec des envies de grandeur et de paillettes. Ni une ni deux elle quitte sa soeur et son père maltraitant. Barry son manager l'entraîne dans le gouffre : drogue et cachets.
En plein trip elle rencontre cet homme tout de noir vêtu, qui lui sauve la vie autant qu'il va tout bouleverser.
Qui est ce motard qui ne parle pas ?
Ces yeux bleu polaire qui indiquent une froideur profonde.
Shade, le sniper des Fire Birds est sur une mission d'exécution mais qui va tourner au vinaigre.
Son passé va ressurgir, des psychopathes qui le cherchent heureusement ceux qui sont dans les Birds sont les piliers de sa vie.
Une histoire qui aborde la trahison, la maltraitance psychologique et physique, le dessous de la vie des mannequins et les risques associés.
Une belle histoire de reconstruction sous fond vengeance.
C'est une romance qui se construit au plein coeur de gang de Bikers, certains plus mauvais et pervers que d'autres.
Un robot ou presque, une femme qui n'a pas la langue dans sa poche .
Un homme où les émotions sont enfermées à double tour, une femme impulsive.
De prime abord des opposés, mais quand ils s'autorisent à creuser ils sont plus semblables qu'il n'y paraît.
En personnage secondaire j'ai vraiment apprécié Nine, la mère poule. Elle mériterait un tome a elle.
En petit point négatif je dirai que l'histoire avec Sorrow est un peu passé à la trappe alors qu'il est le déclencheur, et qu'avec Ana ça se passe trop vite.
L'histoire est très bien construite tant au niveau des personnages avec l'aspect psychologique, que dans les différentes intrigues. Cette histoire ne manque pas de piquant, de rebondissements et d'action. Je l'ai dévoré en une après midi.
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J'ai beaucoup aimé ce roman, la lecture est fluide, les sujets intéressants, mais c'est le thème de gang de bikers qui m'a séduite ! Les personnages sont géniaux, certains sont hilarants et d'autres beaucoup plus touchants. Mention spéciale à Nine et Eagle. le vocabulaire est unique et il va me falloir du temps pour me détacher de ses particularités surprenantes. L'intrigue est bien montée quoiqu'à mon goût, elle manque un peu de péripéties et de profondeurs. L'ensemble du roman est bon, on ne s'ennuie pas et la lecture est rapide, seulement, il y a quelques éléments qui auraient apporté un plus et qui font légèrement défaut au roman. D'abord, j'aurais aimé que les personnages aient un nom de famille, ça paraît complètement banal, mais c'est quelque chose qui nous rattache à nos racines et bien que les personnages s'en soient détachés, ils en ont bien eu un jour… Ensuite, j'aurais trouvé ça vraiment intéressant d'appuyer un peu plus sur les troubles abordés, que ce soit l'anorexie ou les cicatrices mentales, ils manquent un peu d'aboutissement. Enfin, je trouve que l'épilogue aurait pu faire mention du prologue et laisser l'idée d'une trame pour l'avenir des personnages dont la fin s'arrête un peu brutalement. Je mentionne ces trois points, mais en vérité, j'ai adoré ma lecture et j'en garde un très bon souvenir. Les mots motards n'ont pas fini d'être lus et je ne m'arrêterai pas là !

Ce livre a était une véritable surprise. Je n'ai jamais été trop attirée par le genre biker mais finalement j'ai été captivée par l'histoire.
L'évolution de Shade m'a beaucoup plus. Cela a ni était trop rapide, ni trop long. Peu à peu il s'ouvre et se dévoile à la belle Caly. Elle m'a fait de la peine par son histoire et les épreuves qu'elle a vécue. J'ai eu souvent peur pour elle à certains passages.
Ce livre est captivant, nous ressentons beaucoup d'émotions lors des différents rebondissements de l'histoire. J'ai tout de suite plongée dans l'histoire et je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. J'adore la plume de l'auteur et je suis ravie d'avoir découvert leur histoire.

J'avais envie de lire une romance biker et quand j'ai vu qu'Erin Graham en sortait une, j'ai sauté sur l'occasion et je dois dire que je n'ai pas été déçue !

Caly est une célèbre mannequin. On pourrait penser qu'elle vit une vie de rêve mais c'est tout le contraire. Embrigadée dans une agence véreuse depuis des années, Caly ne sait pas comment faire pour quitter ce monde sans y laisser sa peau. Mais alors qu'elle est désespérée, elle tombe sur Shade, membre des Fire Bikers venu exécuter un ordre...
Shade ne s'attendait pas à ramener quelqu'un de sa mission et encore moins une femme ! Mais derrière ses remparts, il a été touché par cette jeune femme qui semblait si frêle.
Et si Shade ne voyait Caly que comme une mission supplémentaire, les sentiments vont très vites s'en mêler... en plus des problèmes !

Caly a subi une grande pression psychologique pendant des années. Elle s'en sort magnifiquement bien malgré quelques failles qu'elle laisse transparaitre par moments. En même temps Caly est complètement seule...

Shade est bien plus secret mais ça ne le rend que plus attirant. On sent qu'il n'a pas eu une vie simple et qu'il a de sombres secrets... mais, même s'il ne s'en rend pas compte, il est très bien entouré par les membres du club.

Beaucoup de romances biker sont très hard, voire trop même. On montre les bikers comme des hommes ultra macho et très vulgaires... C'est assez agaçant car on en trouve de plus en plus ! Les romances de bikers des débuts me manquent énormément et c'est ce que m'a servi Erin Graham avec cette histoire ! Une histoire comme on pouvait en trouver il y a quelques temps. Elle a su trouver un juste milieux !
Bon il est clair que l'histoire n'évolue pas dans un milieu très sain ! Mais l'auteure réussi malgré tout à ne pas donner l'image du parfait c****** mais plutôt du Bad Boy mystérieux (et je préfère largement) à Shade.

Les évènements s'enchainent et sont liés de telle façon que l'on ne s'ennuie pas ! Pour autant on arrive à suivre l'histoire et à s'attacher aux personnages.

En bref ! J'ai adoré ma lecture ! Je ne suis pas trop surprise car jusqu'à maintenant tous les romans d'Erin Graham que j'ai lu ne m'ont jamais déçu !
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Mes premières impressions en commençant le roman, n'étaient pas forcément très encourageantes. Je me suis sentie perdue, larguée parmi la masse d'informations qui m'a été fournie au tout début. Et le premier chapitre me laisse d'autant plus perplexe, on évoque un terme que je n'ai pas vu dans le glossaire du début, d'ailleurs je suis allée vérifier plusieurs fois. Et surtout je ne comprends pas comment on en arrive là, et pourquoi cette scène en particulier. Puis on bascule sur tout autre chose, un moment qui semble crucial mais dont encore une fois on ne comprend pas tout à fait l'implication. Alors oui c'est vrai les quelques premières pages m'ont laissées complètement paumée et dubitative.

Bon j'avoue aussi que je ne suis pas spécialement fan des oiseaux, du coup tout ce vocabulaire tournant autour de cette espèce ne m'a pas non plus emballé des masses. Et puis j'ai trouvé ça un peu trop.. "role play", comme surjoué par les personnages et je n'ai pas réussi à être convaincu par cet aspect de l'histoire.

Et puis le déclic après un peu moins d'une centaine de pages, la scène de l'interrogatoire fait tout basculer. Je prend alors possession de l'histoire pour venir la dévorer avide d'informations.

Mon regard sur l'héroïne prend un tournant nouveau, d'une pauvre fille simple objet sur pattes, elle passe alors à une femme forte qui se bat pour ses rêves et sa survie. Alors on peut s'accorder sur le fait qu'elle le fait d'une manière plus que maladroite et étrange mais au moins elle essaie et ne se laisse pas abattre. Rien que pour cela elle force le respect. Et pourtant ses réactions sont complètement appropriées et justes. Elle tente de se débattre et de sauver sa peau coûte que coûte dans les moments difficiles, perd le contrôle de ses émotions et de son corps sous le coup du stress... Mais malgré tout elle arrive à garder une vision précise de sa situation et des meilleures options qui s'offrent à elle. le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle a du caractère, mais pas juste pour ce donner un genre, non elle sait exactement comment agir au bout moment, quoi répondre pour remettre un gros dur à sa place. Et surtout elle ne plie que rarement l'échine devant quelqu'un, c'est ce qui la rend rafraîchissante.

Shade correspond parfaitement aux stéréotypes que l'on se fait du bikers : froid, sans pitié, et capable du pire comme du meilleur en un claquement de doigt. Et là encore le fait qu'il glisse quelques expressions en russes par ci par là vient ajouter à son charme mais aussi renforcer son image de gros dur. Et il n'y va pas par quatre chemins quand il a quelque chose à dire ou à faire. C'est quelqu'un de droit, qui ne lâche pas son objectif des yeux et fait ce qui doit l'être pour accomplir les tâches qui lui sont fournies.

Même si globalement l'ambiance est assez lourde et violente, bah oui on parle de club de bikers quand même, il n'en reste pas moins que quelques passages apportent un peu d'humour et de légèreté à l'oeuvre en général. Si cela peut ne paraître qu'un détail insignifiant, c'est pourtant nécessaire pour le lecteur afin que celui-ci puisse souffler un peu, mais aussi se faire une autre idée des personnages. Ce sont ces moments qui aident le lecteur à s'attacher à eux. Cela permet également de venir rappeler qu'au-delà de l'apparence de gros dur, se cache des êtres humains.

J'ai trouvé très juste de la part de l'auteur de venir aborder les problèmes alimentaires que rencontrent les mannequins dans notre quotidien. Assister à la d'échéance de cette jeune femme et nous mettre sous le nez ses troubles alimentaires nous aident à comprendre un minimum l'enfer que cela peut être. A quel point avalée ne serait ce qu'une bouchée peut être une véritable torture. C'est un sujet difficile, mais tellement présent dans notre société qu'il est important de l'aborder.

La musique prend une place importante au sein du roman, elle sert à la fois pour exprimer les mots et sentiments que les personnages ont du mal à exprimer, à calmer les esprits ou simplement à transcender un moment. Ça m'a plu de suivre cette trame mélodique de l'histoire. J'avoue que j'ai cherché chaque chanson pour écouter et comprendre ce qu'elle pouvait faire sentir.

Les personnages pour une fois dans une romance de bikers se laissent du temps, leur relation se construit doucement, de manière un peu bancale et étrange certes, mais c'est aussi ce qui en fait toute la magie. Progressivement je me suis aperçu que je m'étais attaché aux personnages au point d'avoir peur pour eux, que toute cette situation si pesante et complexe ne finisse par leur exploser au visage.

Plus l'oeuvre avance, plus on se rend compte du côté sombre et violent des bikers. Progressivement on prend conscience que si ils sont une grande famille, sous la surface la mort et la douleur sont bien présents. Certaines scènes viennent d'ailleurs mettre l'accent sur cet aspect. le lecteur, mais aussi l'héroïne, voient alors l'autre facette du monde des bikers.