Ah qu'il est bon de lire
Quattrocento de Greenblatt dans la foulée de la formule de Dieu (*) de
Dos Santos ! Ici, pas d'artifices inutiles qui pourraient égarer le lecteur. le sauvetage des trésors de l'antiquité par un petit groupe d'intellectuels du 14éme siècle se marie bien avec un style classique.
Que cela fait du bien ce rappel indispensable d'
Epicure et de Lucrèce : L'homme n'est pas le centre de l'univers ! Il en est encore moins la finalité !
Le soleil n'a jamais tourné, ne tourne pas et ne tournera jamais autour de la terre nonobstant les autodafés, l'Inquisition et les obscurantismes religieux (toujours d'actualité).
Profiter de la vie, rechercher le bonheur simple dans les bienfaits de la nature et préserver sa liberté d'une avidité mal contenue. Ne faut-il pas le répéter encore et encore. Et puis mourir "nonchalamment" car nul regret de ces choses ne pèsera sur toi.
Merci le Pogge et ses amis(?) d'avoir ramené à la lumière le de rerum natura et Lucrèce cachés dans le coin sombre d'une bibliothèque.
Dans leur lignée j'aimerais donner un éclairage sur certains livres et auteurs qui méritent et semblent relativement oubliés :
Le producteur de bonheur.
Vladimir Minac. (*)
Les Folies-Belgères.
Jean-Pierre Verheggen (*)
La Rumeur.
Hugo ClausL'or.
Blaise Cendrars (*)
Le Bouclage.
Vladimir VolkoffDis-lui que je l'attends.
Takuji Ichikawa (*)
(*) cf critiques précédentes
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