Dans cette BD le langage inusité est subtil et plein d'humour Achille accumule comme d'habitude les couacs! en inondant ses interlocuteurs d'un délire verbal des plus acerbes comme des plus sophistiqués, auquel nous lecteurs j'espère que vous aussi vous en rirez aux larmes ,peut-être pas ! mais assez pour dérider un peu l'ambiance ! pas toujours drôle en ce moment !
Achille le monument gigantesque de la bêtise humaine ne change pas , il veut toujours être le premier en tout , et il accumule catastrophes sur catastrophes et comme son voisin Hilarion Lefuneste , lui toujours inquiet et prévoyant , le contre il s'ensuit à des représailles illustres ( voir les illustrations
D'ailleurs le dessin de chaque fin de gag est superbe de drôlerie souvent terrible , mais ce sont des personnages de BD intouchables par le mal , quelques bandages et hop on repart dans un autre gag ?
. J'aime aussi les titres de chaque gag : qui vous annonce déja l'histoire comme je cite " faux sans tendre ", "ça poupousse a chattement doux", "l'horreur est humaine ", " la muse y cale ", "predesti-nez", "quand l'épouse y erre " etc...
vous n'avez pas finis de sourire , rire et vous esclaffer
comme une poule qui a trouver une fourchette dans son poulailler Ha! Ha!HA
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Une compilation de station-service destinée aux vacanciers en goguette. Quelques morceaux sympathiques mais il manque la verve d'un bon album d'origine. Chichille y est qualifié dans la présentation de ” monument de la bêtise humaine ” que son “ voisin, Hilarion Lefuneste, observe ”, ce qui d'emblée fait grimacer. L'asticotage me semble au contraire mutuel, continuel et amplement partagé par les deux parties. Quant à réduire Talon à un gros niais rigolo... Son inventivité linguistique à elle seule réduit à néant le qualificatif.
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Stratégie navrante qui ne pouvait conduire qu'à ces thermophyles aggravées d'un zeste de Waterloo. J'ai horreur de m'imposer, mais le sens du devoir n'est pas toujours celui de la modestie. J'interviens!
Le patient remonte subrepticement la pente chaotique et savonneuse d'un rétablissement moralement acrobatique. (30)
Mon cher Arthur vous l'avouerai-je ? Un léger nuage d'incertitude flotte avec persistance dans l'azur habituellement immaculé de mon assurance naturelle.
Une voix mystérieuse, au plus profond du dedans de moi- même, me susurre que, de ce petit vase, pourraient bien jaillir des évènements saisissants.
Le Club des Peur de Rien Les inédits 1, 2 & 3