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EAN : 9782912164391
Ars magna éd. (01/01/2005)
4.5/5   2 notes
Résumé :
Les livres écrits sur les nazis et l'occultisme sont habituellement typiquement sensationnalistes et sous-documentés. Une ignorance complète des principales sources est commune à la plupart des auteurs, et les inexactitudes et affirmations gratuites sont répétées par chaque nouveau venu dans le genre, de sorte qu'il existe maintenant une abondante littérature, basée sur des prétendus "faits" complètement erronés à propos de la Société Thulé, de l'occultisme, et des ... >Voir plus
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Pendant les années 20, le Dalaï-lama s’appelait Thubten Gyatso [1876-1933]. C’était un intellectuel d’une intelligence impressionnante qui cherchait à réaliser un équilibre entre la technologie occidentale et la spiritualité orientale. Il avait entendu parler d’Hitler lorsque le mouvement national-socialiste était encore en train de lutter pour le pouvoir. Parmi les nombreux livres européens que le Dalaï-lama avait traduits dans sa langue, se trouvait Mein Kampf. Il annota son exemplaire avec des commentaires enthousiastes et souligna ses passages favoris à quasiment chaque page. D’Hitler, il disait : « Le Inji [l’honorable étranger] est assisté par Dieu pour quelque haute entreprise dans cette vie ».

Il pensait aussi qu’il devait y avoir une synchronicité car le svastika était le symbole à la fois du national-socialisme et des moines-guerriers de l’ancien bouddhisme Bön. Il notait aussi qu’il existait certaines similarités entre les doctrines nationale-socialiste et bouddhiste, particulièrement dans le fait que servir son peuple est le devoir – le dharma – le plus élevé dans la vie. Par conséquent, quand Hitler devint Chancelier, en 1933, il reçut de chaleureuses félicitations depuis le lointain Tibet.

Pendant les années 1940, des volontaires tibétains formèrent des brigades rattachées aux régiments cosaques qui combattaient le communisme aux côtés de l’Allemagne national-socialiste. Les Tibétains, avec leur endurance aux grands froids et leur refus de se rendre, furent parmi les combattants les plus acharnés contre les soviétiques. Ils étaient des cavaliers exceptionnels et menèrent quelques-unes des dernières charges de cavalerie de l’histoire. Ce sont les restes de ces brigades, qui ont combattu jusqu’au dernier soldat, que l’armée soviétique trouva dans les ruines de Berlin. (Wilfried Grimwald, pp. 4-5)
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